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Bonjour a toutes et tous, Je me présente : Franck 46 ans Marié 3 enfants J'ai une libido assez importante et je souhaite découvrir de nouvelles expériences. Je suis très ouvert d'esprit J'ai déjà testé des jeux soft (menottes, etranglement ...) Je désire rencontrer des femmes désireuse de partager leur expérience que ce soit en tant que soumise ou de dominante. Un de mes grand fantasme étant de me faire prendre par une femme. Je vois souhaite une belle journée   Franck
Oui, cela doit avoir un rapport avec des hormones de plaisir que nous sécrétons pendant les pratiques.  La sublimation c'est comme si l'on devenait plus légère, c'est un boost intérieur, c'est chaud, c'est jaune ou lumineux.  Pour maso le plaisir vient après la douleur, il diffuse, cela le fait trembler. Cela semble très jouissif. Il faut le laisser au calme.  Les pratiques régulières augmentent les effets. 
@Eva  Oui, c'est tout à fait cela. L'amour n'existe et est vraiment profond lorsque l'on ne s'en pose plus la question. Il est et n'a pas besoin de déclarations. Le respect oui, mais bien plus encore. L'entente...c'est à dire se comprendre sans se parler. La confiance qui est un un absolu. Le partage qui se décline en complicité, synchronicite,  Le besoin animal des corps, c'est la duil faut sublimer parfois .  
@M81  Je vais me chercher une mini jupe dans ce camouflage et un gilet sans manches.  Avec des boots de para, mon amant va être ravi.  Comme nous sommes dom tous les deux, cela fait vanille ensemble et c'est que du sexe pour le sexe. 
@M81   je pensais à une galaxie.  Je vais regarder ce camouflage M81 Jusqu'à son remplacement vers 2006, le camouflage Woodland était le camouflage standard de l'armée américaine. Il a été introduit avec la célèbre tenue BDU (Battle Dress Uniform). Ce terme s'applique au camouflage américain « woodland » M81, lui-même dérivé du motif M1948 LRE et comporte la même combinaison de couleurs que le motif LRE de 2ème génération. Les motifs originaux du LRE ont été grossis de 60 %. Introduit en 1981, le camouflage Woodland comportait quatre couleurs. C'était un motif perturbateur à hauts contrastes et à marques asymétriques vertes, noires, marron et couleur sable.
@M81   superbe description. J'aime beaucoup vos pratiques très martiales.  Mon amant adore quand nous allons faire de petites randonnées et que je porte un treillis. Cela le fait bander à coup sur.  Tous les jeux bdsm sur le thème militaire sont très excitants.  Bises
  Pas de bottes en cuir, pour nous. Dès que nous somme seuls chez nous, c'est uniforme réglementaire. Rangers et treillis de couleur camouflage woodland (couleur aussi connue sous la référence M81, d'où le pseudo). Pour tous les deux. La seule chose qui distingue le chef du soldat, ce sont les épaulettes montrant son grade. Les sous vêtements aussi son réglementés. T-shirt vert armée foncé pour le haut et jockstrap traditionnel blanc pour le bas. Pour nous, c'est bien plus qu'un thème : c'est notre manière de vivre dans l'intimité. Comme je l'ai déjà mentionné, je ne suis pas du genre à faire les choses à moitié. A partir du moment où j'ai accepté le BDSM militaire, j'ai poussé mon dominant à aller le plus loin possible dans cette direction, pour que ma soumission ressemble le plus possible à une véritable vie militaire. Par exemple, j'ai obtenu d'inclure dans le réglement l'interdiction pour mon dominant de tenir compte de mes préférences, et l'interdiction pour moi de les exprimer. Un vrai soldat dans une vraie armée n'a pas le droit de refuser d'obéir à un ordre sous prétexte que ce qu'on exige de lui ne lui plait pas. Je tenais à ce que ce soit pareil pour moi, pour rendre le "jeu" aussi réaliste que possible. Il y a eu un contrecoup que je n'avais pas prévu. Mon dominant est allé dans le même sens en ce qui le concerne. Quand un supérieur commet une faute, il doit être sanctionné, lui aussi. Il a insisté pour que ce soit inclus dans le réglement. En 34 ans de BDSM militaire permanent, il a commis 3 fautes, et m'a chaque fois ordonné de le punir au tarif réglementaire. J'ai obéi à chaque fois, même si ça ne me plaisait pas. Le plus paradoxal dans nos pratiques, c'est que nous sommes tous deux antimilitaristes, au départ. Je me suis débrouillé pour me faire réformer parce que je ne voulais pas faire mon service militaire, et je me comporte comme le plus motivé des soldats depuis tout ce temps. Allez comprendre ! Baléze, je pense que ça pourrait nous qualifier aussi. Nous somme tous deux grands, avons tous deux une morphologie en V, épaules larges, taille fine, et nous faisons tous les deux du sport depuis notre adolescence. Nous n'avons jamais arrêté d'en faire. Depuis le début de notre relation, nous avons consacré un tiers du temps disponible aux exercices et à l'entraînement. Le but n'est pas de ressembler à des body builders, mais de garder aussi longtemps que possible une très bonne condition physique. Même si nous ne sommes plus au même niveau qu'au moment de notre rencontre, nous sommes encore dans une forme que nous envieraient beaucoup d'hommes ayant la moitié de notre âge. Tous les ans, nous nous imposons le test d'aptitude physique imposé aux volontaire voulant intégrer notre armée nationale, que nous avons même un peu corsé, et nous dépassons encore tous les deux le minimum requis. On a beau dire, être en forme, ça aide, quand on veut s'adonner à des pratiques sexuelles et BDSM intenses. Depuis une semaine que je suis en arrêt maladie, je pense que c'est le côté sportif de notre relation BDSM militaire qui me manque le plus.
  Le plaisir peut aussi survenir pendant la douleur. C'est même souvent recherché dans le BDSM. Beaucoup de dominants infligent la douleur progressivement, sur une période assez longue. Plus la douleur augmente, plus les hormones se libèrent. Quand le système nerveux en est saturé, l'état de conscience du soumis ou de la soumise est modifié. Perte de la notion du temps, modification des sensations, impression de planer ou d'être sur un nuage, sensation d'euphorie, d'extase... C'est une déconnexion de la réalité, et chacun la ressent à sa manière. Si le dominant fait jouir le soumis ou la soumise quand il est dans cet état, la jouissance atteint des sommets qu'elle ne peut pas atteindre dans un état "normal". Dans le BDSM, on appelle cet état le subspace. C'est un état enviable pour les sensations qu'il procure. Mais c'est aussi un état dangereux si le dominant ou la dominante n'est pas assez attentif et ne connaît pas bien son ou sa partenaire. Certaines personnes ne sont plus capables de parler, ce qui les empêche de signaler si quelque chose ne va pas. Comme les sensations sont modifiées, on peut éventuellement supporter plus de douleur, parfois au point de ne pas se rendre compte que ça va trop loin. Si on veut pousser cet état à son paroxysme, mieux vaut que le dominant soit expérimenté en la matière et soit extrêmement vigilant aux signes susceptible de lui indiquer les limites à ne pas franchir. Quand mon dominant me punit pour une faute normale, il m'inflige les coups sur un rythme rapide et ils ne sont pas assez nombreux. J'ai un "shoot" d'endorphines modéré après la douleur, et je n'atteint pas l'extase. C'est en quelque sorte une manière de me priver du plaisir le plus fort. Mais s'il enchaîne les punitions l'une à la suite de l'autre sans interruption, ou s'il me "torture" d'une manière ou d'une autre suffisamment longtemps, c'est qu'il veut m'emmener au plus haut des sensations. C'est en quelque sorte une manière de me récompenser. Mon dominant est excellent pour éviter de me montrer ses intentions. Il peut très bien m'emmener dans la salle de torture, me préparer longuement et minutieusement, comme s'il allait me tourmenter au maximum de mes possibilités, et me laisser sur ma faim, avec, en prime, un orgasme ruiné. Il peut aussi commencer comme s'il s'agissait d'une punition "banale", me laissant penser que ça ne va pas aller bien loin, et pourtant me propulser au sommet. Il peut me priver d'extase durant des semaines, comme il peut me la faire atteindre plusieurs fois de suite. Je ne sais jamais à l'avance jusqu'où il va m'emmener.
J'ai lu avec intérêt ton profil.  J'adore aussi les pratiques et jeux sur le thème du militaire. Mon maso est un balèze.  J'adore passer de belles bottes en cuir et me servir d'une cravache courte. Je fais horriblement mal. Il adore cela. C'est un pur maso.  En couple stable c'est le pied.   
Le moyen le plus "facile" d'y arriver, c'est d'utiliser l'e-stim ou la milking machine pour provoquer plusieurs orgasmes à la suite. Les premiers sont avec éjaculation. Arrive un moment où il n'y a plus rien à éjaculer. On obtient un orgasme sec, sans éjaculation parce qu'elle est devenue physiologiquement impossible.
  Sublimation ? Utilisez-vous ce terme du point de vue de la psychanalyse ? Le mythe d'Eros et Anteros, mentionné en début de conversation, a aussi été utilisé en psychanalyse. Sachant que les fondements théoriques de la psychanlyse ne sont pas rationnellement validables, je pense qu'il n'est pas pertinent d'utiliser de tels concepts pour tenter de comprendre les activités BDSM. L'outil n'étant pas fiable, les conclusion qu'on pourrait tirer de son utilisation ne sont pas fiables non plus.
Je ne suis pas experte en psy mais il suffit de pratiquer pour sentir la sublimation. Comment définir cela. C'est un ressenti. L'amour se sublime pour aller plus loin dans les pratiques. Cela dominant(e) et soumis (e) le ressente de suite. L'amour est comme un socle. Mais pour aller loin dans les pratiques ils faut sublimer cet amour.  J'adore cette sensation. C'est presque une mystique. Cela transporte. 
Puisqu'on en est à citer des philosophes :      J'ai besoin d'amour,     Des bisous, des câlins j'en veux tous les jours   .                                      Lorie