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@M81   je pensais à une galaxie.  Je vais regarder ce camouflage M81 Jusqu'à son remplacement vers 2006, le camouflage Woodland était le camouflage standard de l'armée américaine. Il a été introduit avec la célèbre tenue BDU (Battle Dress Uniform). Ce terme s'applique au camouflage américain « woodland » M81, lui-même dérivé du motif M1948 LRE et comporte la même combinaison de couleurs que le motif LRE de 2ème génération. Les motifs originaux du LRE ont été grossis de 60 %. Introduit en 1981, le camouflage Woodland comportait quatre couleurs. C'était un motif perturbateur à hauts contrastes et à marques asymétriques vertes, noires, marron et couleur sable.
@M81  Je vais me chercher une mini jupe dans ce camouflage et un gilet sans manches.  Avec des boots de para, mon amant va être ravi.  Comme nous sommes dom tous les deux, cela fait vanille ensemble et c'est que du sexe pour le sexe. 
@Eva  Oui, c'est tout à fait cela. L'amour n'existe et est vraiment profond lorsque l'on ne s'en pose plus la question. Il est et n'a pas besoin de déclarations. Le respect oui, mais bien plus encore. L'entente...c'est à dire se comprendre sans se parler. La confiance qui est un un absolu. Le partage qui se décline en complicité, synchronicite,  Le besoin animal des corps, c'est la duil faut sublimer parfois .  
Antoinette, nous pratiquons des "jeux" avec les besoins. M'obliger de demander, et pouvoir m'accorder ou me refuser de les faire, ou m'imposer de les faire dans certaines conditions, est avant tout une question de discipline. Il m'interdit toute initiative personnelle, sauf cas de force majeure, ce qui augmente sa sensation de contrôle total et augmente ma sensation de soumission totale. Il est clair entre nous qu'il n'est pas question que je me retienne, sauf quelques minutes, le temps de terminer quelque chose. Quand il me refuse l'autorisation, je fais mes besoins malgré tout. Si je suis habillé, dans mon uniforme. Si je suis nu, là où je suis et dans la position où je suis, ce qui m'oblige souvent à me salir. Il lui arrive d'uriner sur moi, habillé ou nu, où il veut sur mon corps, ou sur mon visage, et même dans ma bouche, la plupart du temps sans m'obliger à avaler (dans ce cas, je laisse couler ou je recrache), mais une fois pas semaine en m'obligeant à avaler. Il peut aussi cracher sur moi, y compris au visage, y compris dans la bouche en m'obligeant à avaler. Il lui arrive aussi d'utiliser mes excréments, le plus souvent quand je suis nu, attaché d'une manière ou d'une autre, ou en position de stress, pour les étaler où il veut sur mon corps, y compris sur le visage, parfois. C'est très humiliant pour moi. Je n'aime pas ça, mais je suis capable de le supporter, et, à ma demande, le règlement précise qu'il doit m'imposer des contraintes que je n'aime pas. Il y a une seule chose dans ce style que je refuse catégoriquement : les excréments dans la bouche. La sodomie, c'est selon les limites établies par chaque couple. Nous sommes homos. Il est assez rare que les homos refusent la sodomie, même s'il en existe. Nous aimons tous les deux, que ce soit en recevoir ou en donner. D'ailleurs, au cours de notre BDSM, il lui arrive régulièrement de me donner l'ordre de le sodomiser. C'est toujours dans le style "Soldat, prouve moi que tu es un homme ! A fond dans mon cul !" Quel que soit mon état d'excitation quand il donne l'ordre, je dois être en érection rapidement et le pénétrer comme il l'exige, et tenir aussi longtemps qu'il l'exige avant d'éjaculer. Ou bien me retirer juste avant d'éjaculer s'il l'exige. Bref, il garde un contrôle total sur ma sexualité, même dans ce cas. Nous ne nous considérons pas comme des guerriers. Est-ce que ça tient au fait que nous sommes homos et que nos envies différent en partie de celles des hétéros ? Plusieurs scénarios sont possible, dans le jeux militaires homo. Souvent fantasmés, plein de clichés, caricaturaux. Il y a ce que j’appelle le fantasme du dortoir : des hommes qui dorment dans la même pièce, dans un milieu traditionnellement masculin, ça finit en partouze, peu importe qu'il y en ait 10, 4 ou 2. Ca peut être vanille, DS ou SM, selon les envies des participants. Il y a le scénario DS sans SM du supérieur qui abuse sexuellement d'une jeune recrue ou d'un soldat moins jeune. Il y a aussi des scénarios BDSM, par exemple le soldat capturé par l'ennemi qui se fait torturer pour qu'il avoue des secrets militaires, ou le soldat puni très sévèrement par un supérieur, ou le soldat que le supérieur endurcit par des contraintes pénibles et des douleurs, et d'autres mises en situation plus ou moins similaires. Souvent, le BDSM militaire homo est une glorification de la virilité. Le supérieur fait en permanence la démonstration de son autorité, de sa force, de sa puissance et son endurance physiques et sexuelles, et le soldat prouve son courage en supportant les contraintes sans manifester exagérément sa douleur. C'est inspiré par une image idéalisée du militaire, un homme grand, musclé, fort, dur, et de préférence mieux membré que la moyenne, au moins pour le supérieur. Nous correspondons à peu près à cette image, par notre apparence virile et sportive. Sauf pour le dernier point, puisque nous avons tous les deux des érections dans la moyenne. Mais il faut savoir être réaliste. Les hommes particulièrement membrés sont rares, très rares. Et la taille du pénis ne garantit pas la complémentarité des envies, pas plus que la maîtrise "technique". Outre que je l'aime, mon dominant est parfaitement capable de me procurer des sensations intenses,
Comme vous Antoinette j'ai besoin d'aimer pour me soumettre réellement. Et être amoureuse... c'est un peu la cerise sur le gâteau 🤗 Si l'amour est partagé bien sûr, aimer sans l'être en retour me serait trop difficile à gérer émotionnellement parlant. J'aime les mots doux de mon maitre autant que les mots crus. L'un va avec l'autre, un cercle vertueux. Il a aussi ses besoins de tendresse et je suis là pour le servir, donc combler ses besoins, voilà qui tombe bien 😇 Je pense mael que le respect me suffirait pour une relation sans véritable lien, de plaisir immédiat, de jeux. Mais mon don serait fortement limité. Me donner à un dom qui me respecte uniquement n'est pas suffisant, ce n'est pas le genre d'homme qui m'interesserait. En tout cas aujourd'hui à ce stade de ma vie. Je me dis que cela peut fluctuer selon nos besoins à un moment précis de la vie sans qu'il soit possible de généraliser. Peut-être 🤷‍♀️
@ Antoinette Je suis mazo aussi, mais pas uniquement. Le sexe est une composante essentielle de nos pratiques. C'est un besoin pour tous les deux. Et il y a la composante mentale du BDSM, les brimades, les humiliations... C'est un ensemble composé de plusieurs éléments. Nos limites semblent plus semblables. Chez nous, c'est pas de plaies, pas de sang, pas de traces définitives. En commençant la journée de service, tout est impeccable chez nous aussi, y compris les uniformes. Mais quand le Chef oblige le soldat à ramper dans de la boue pendant l'entraînement, je suis tout boueux, forcément. Et lui aussi, puisqu'il suit le même entraînement que moi pour rester en pleine forme. L'intérieur de la maison reste toujours propre. Nous changeons de vêtements avant d'y rentrer s'il le faut. Les contraintes uro et scato se passent uniquement dehors ou dans la salle de torture, que nous avons aménagée dans une grande remise. Quand il le faut, elle est nettoyée juste parès les activitéss salissantes. Une vieille croyance prétend que l'éjaculation diminue l'énergie. En fait, l'orgasme, même sans éjaculation, fait produire une hormone qui déclenche la satiété sexuelle, et aussi de la somnolence pouvant aller jusqu'à une envie de dormir. Le taux de cette hormone redescend après une heure. Passé ce délai, toutes les études sérieuses montrent qu'il n'y a quasiment pas de différence de performances physiques entre des personnes ayant eu une relation sexuelle récemment et des personnes n'en ayant pas eu, que ce soit pour des activités nécessitant de l'endurance ou des activités nécessitant de la force. La privation d'éjaculation n'apporte rien, sauf le plaisir du contrôle de la sexualité du soumis par le dominant. C'est justement pour exerce un contrôle total sur ma sexualité que mon dominant me fait subir régulièrement des orgasmes ruinés. Il m'excite au maximum, que ce soit par masturbation, fellation, sodomie, vibromasseur, milking machine ou e-stim, puis arrête, me laissant sur ma faim, laissant mon excitation redescendre, me privant d'éjaculation et d'orgasme. Il me connait bien, il sait jusqu'où il peut aller, et il sait aussi quand il peut redémarrer pour m'en priver plusieurs fois de suite.
Je rajoute qu'avec un guerrier, sa libération avec un orgasme et une libération de sperme doit être rare. Le but de la pratique très régulière est d'arriver aux orgasmes en cascade mais sans libération de la moindre goutte de sperme.  Cela renforce le guerrier et sa maîtrise des énergies internes. 
@M81 Pour nos pratiques sm avec des scénarii militaires, nous sommes style Stanley Kubrick, Tout doit être impeccable et plus, cela doit briller plus que dans un bloc opératoire.  Les tenues aussi doivent sentir le propre. Tout doit être absolument nickel chrome . Lhyper propreté  et organisation méticuleuse de tous les détails crée déjà une excitation. 
@ M81  c'est intéressant de vous lire.  Le plus important c'est que chaque couplé trouve les pratiques et le mode de fonctionnement qui lui va bien, qui procure du plaisir aux deux.  Pour notre part c'est plus simple, pas d'uro, de scato, ni de penetrations sexuelles. Juste faire le plus mal possible. Cela lui fait du bien. Il en a besoin. Par contre ne pas le blesser, ne pas le marquer, juste bien le rougir.  A la fin je mets des gants coton blancs  et je le fais jouir dans ma main. Et il doit avaler en lechant mes gants. Les gants cotons peuvent être très douloureux sur un gland turgescent et en erection. Même dans sa jouissance, je rajoute de la douleur.  Avec un pur mzso, tout est plus simple
Petit aparté. Même si je vais mieux, je n'en ai pas encore totalement fini avec mon petit problème de santé. D'habitude, je fais un rhume ou laryngite ou quelque chose du même style une fois tous les 3 ou 4 ans, et c'est fini en une semaine maximum. Là, ça s'accroche ! C'est parce que j'ai été réveillé par une quinte de toux que j'écris en fin de nuit. Mon dominant, amant et mari a décidé de prolonger mon "arrêt maladie" d'une semaine. Moi qui pensais reprendre le servie actif ce samedi... Je dois bien avouer que je n'ai pas encore entièrement retrouvé ma forme habituelle. Pour le moment, nous continuons les relations sexuelles en mode "vanille".
Pour commencer il n'est pas si aisé de definir " l'amour" .. aimer sa femme, sa maitresse, ses enfants, sa maman, ne recouvrent pas exactement la meme chose. On pourrait donc supposer qu'il peut exister une autre forme d'"amour", aimer son Maitre, qui pourrait egalement etre d'une autre nature que "aimer sa soumise". On pourrait englober dans cette notion, des termes flous tel que 'respect', 'plaisir', désir', 'fidelité'...   si on definit 'l'amour comme un "sentiment nous poussant à rechercher la proximité avec une personne en dehors de toute cause rationnelle consciente' alors on ne peut dire que l'amour serait le ciment necessaire d'une relation BDSM, puisque par definition, la relation Maitre/soumise est reflechie et consentie, et non irrationnelle et/ou inconsciente. L'amour devient un probleme lorsqu'il n'est pas partagé ("en amour il y en a toujours un qui est malheureux et l'autre qui s'ennuie" dit le dicton cynique). De plus, Il doit etre partagé et de meme nature deux epoux doivent ressentir un sentiment de meme nature, deux amants, ou des parents  et leurs enfants. C 'est la raison pour laquelle une personne adulterine peut  aimer sincerement son conjoint et son amant, mais pas de la meme maniere. Une relation BDSM se batit sur un accord tacite ou verbal : on definit ensemble des limites qu'on sengage a respecter. C'est sur cette base que se construit une recherche asymétrique. Il n'y a donc ni besoin d'amour et encore moins de reciprocité des sentiments.     Que certains puissent éprouver de l'amour dans le cadre d'une relatin BDSM, releve du cas personnel. Cela me parait sans grand interet  pour une reflexion plus generale sur le theme. si je suis a titre personnel secretement amoureux de ma banquiere, cela ne me parait pas d'une importance massive pour l'etude des mecanismes conduisant à l'endetement des menages..
Perso j'ai besoin d'aimer mon maso pour bien le dominer. Et il n'existe plus aucune barrière, limite, ou autre. C'est au feeling à chaque fois.  La seule sécurité est ce l'amour ? Même cela n'est pas certain.   Bises et belles pratiques  
Dans les jeux militaires, il ne faut pas se parler. Je commande et il se met au garde à vous et obéit en tout et pour tout. J'adore le faire passer en cours martiale avant de bien le corriger.  Les seules remarques que peut faire soldat maso dans ces jeux militaires, c'est comme dans l'armée prussienne, par écrit et en trois exemplaires. C'est très dissuasif. Après ces jeux bdsm sur le mode militaire peuvent se décliner suivant les armées. C'est pas du tout pareil. Entre Rome, Sparte, la Prusse, les amazones et j'en passe, les jeux et scénarii sont innombrables.  Le seul point commun c'est qu'au final mon maso se prend une terrible correction et que visiblement il adore se la prendre.   
  A la fois d'accord et pas d'accord. Je pense que ça dépend de la personnalité de chaque partenaire. Certaines personne ont besoin de déclarations, qu'on leur dise régulièrement qu'on les aime, ou de le dire, alors que d'autres non. Ou de petits gestes ou d'attentions spécifiques. De même, se comprendre sans se parler, c'est très bien, c'est même nécessaire en BDSM, mais il faut aussi être capable de s'exprimer totalement ouvertement quand on l'estime nécessaire, ne fut-ce que pour régler un doute ou une incertitude. Parfois, de petites choses sans grandes importance peuvent faire éclater un couple, si elles s'accumulent. Dans notre BDSM militaire, notre communication est extrêmement codifiée. Elle ne permet pas toujours de tout exprimer. C'est rare, mais il arrive que l'un de nous dise à l'autre "Il faut qu'on parle." Dans ce cas, on arrête immédiatement le BDSM et on discute d'égal à égal. Parfois, c'est réglé en deux ou trois phrases, parfois, on en reparle le lendemain, aussi longtemps qu'il le faut pour mettre les choses à plat, prendre le recul nécessaire qu'on ne peut pas toujours avoir quand on a "la tête dans le guidon". Quand nous estimons tous les deux que le problème est réglé, ou qu'il n'y a pas de problème, nous retournons immédiatement au BDSM.