La masturbation, dans le contexte de la dynamique de domination et soumission (D/s), peut être utilisée comme un outil de jeu, de contrôle, de récompense ou de punition. Dans ces situations, la capacité d'une personne à se masturber, la manière dont elle le fait, ou si elle est autorisée à atteindre l'orgasme, est souvent contrôlée ou dictée par le dominant. Voici comment la masturbation peut être intégrée dans une relation D/s :

  1. Contrôle de l'Orgasme (Orgasm Control) : La personne dominante peut décider quand, où, et si le soumis est autorisé à se masturber ou à atteindre l'orgasme. Le contrôle de l'orgasme peut renforcer la dynamique de pouvoir et de contrôle.

  2. Tease and Denial (Allumeuse et déni) : Le dominant amène le soumis au bord de l'orgasme, puis l'empêche d'atteindre le point culminant. Cette pratique peut être répétée plusieurs fois.

  3. Chasteté Forcée : Le soumis est souvent équipé d'un appareil de chasteté qui empêche la masturbation ou l'érection. L'appareil ne sera retiré que lorsque le dominant le décide.

  4. Masturbation sur commande : Le soumis peut être ordonné de se masturber pour le plaisir du dominant, souvent de manière spécifique ou pour une durée déterminée.

  5. Masturbation en public : Dans certaines situations et avec un consentement mutuel, un soumis peut être dirigé pour se masturber en public ou devant d'autres personnes.

  6. Punition ou Récompense : La permission de se masturber (ou l'interdiction) peut être utilisée comme une forme de récompense ou de punition, selon le contexte.

  7. Jouets et Accessoires : Les dominants peuvent exiger que les soumis utilisent certains jouets ou accessoires pendant la masturbation, pour augmenter la sensation, le plaisir, ou pour ajouter une dimension de défi ou de contrainte.


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