Discussion marqués avec: plaisir

DormeurDuVal_ a dit...Dans certains cas l'orgasme est suivi d'un épisode de dégoût et de lassitude, le corps féminin me semble avoir perdu sa grâce, l'acte sexuel devient trivial et laid, ni plus ni moins que celui des chiens ou des bovidés...Ah si, j'éprouve parfois cette descente brutale, mais uniquement dans l'onanisme, et d'une manière beaucoup moins marquée. Simplement, le désir est tombé et je me demande ce que je fiche là, chevauchant mon oreiller, et pourquoi c'était aussi irrépressible de le faire, mais bon, ça ne me perturbe pas bien longtemps. Je dois avoir un Surmoi très laxiste sur le sexe (Il se rattrape ailleurs. )

Je remonte ce sujet, puisqu'on parle ici et là de la jouissance physique. Au plaisir de continuer à lire vos très intéressantes contributions.

Merci pour votre sincérité. Après l'orgasme donc... Je ne ressens jamais cela pour ma part. Plutôt un doux émerveillement, un lien renforcé, de vives bouffées de tendresse. Et parfois, lorsque mon prince me repousse enfin (le plus souvent) ou qu'il vient se lover contre moi (hmmm, si rare), une grande gratitude et de l'admiration. Lorsque c'est la nuit et que nous nous affalons ensuite pour dormir, je me trouve le plus souvent très émue, presque protectrice : j'ai envie de l'envelopper dans mon amour et de l'y bercer pendant son sommeil.Dans le cadre de jeux strictement SM, il me tease à mort, et je n'ai qu'une envie : recommencer, recommencer, et je deviens presque (totalement !) animale, presque folle, rendue à quelque chose d'hyper-instinctif, à ramper et à le lécher tant je le veux.

DormeurDuVal_ a dit...Dans certains cas l'orgasme est suivi d'un épisode de dégoût et de lassitude, le corps féminin me semble avoir perdu sa grâce, l'acte sexuel devient trivial et laid, ni plus ni moins que celui des chiens ou des bovidés...Ah si, j'éprouve parfois cette descente brutale, mais uniquement dans l'onanisme, et d'une manière beaucoup moins marquée. Simplement, le désir est tombé et je me demande ce que je fiche là, chevauchant mon oreiller, et pourquoi c'était aussi irrépressible de le faire, mais bon, ça ne me perturbe pas bien longtemps. Je dois avoir un Surmoi très laxiste sur le sexe (Il se rattrape ailleurs. )

Très intéressant..."Every animal is sad after coitus except the human female and the rooster."Tous les animaux connaissent une tristesse post-coïtale, sauf la femme et le coq !!!!!!!

Pourriez-vous décrire en quelques lignes votre façon de jouir ? Ou même VOS façons...Oui c'est un peu intime.Où se localise physiquement votre jouissance, que ressentez-vous ? (les manifestations extérieures m'intéressent moins).La jouissance masculine m'intrigue particulièrement. Elle reste pour moi un mystère, et j'avoue, j'ai horreur de cette ignorance. Je finirai ma vie hélas sans avoir fait cette expérience de jouir au masculin...J'emprunte ce gif publié par Heartbeat sur le mur :Au féminin aussi je m'interroge :j'ai certaines amies qui jouissent principalement avec leur clitoris, ce qui n'est pas mon cas. Ce qu'elles ressentent semble très différent de ce que moi j'éprouve. Jusqu'à nos visages, nos cris, la durée des sensations, les émotions les accompagnant, la présence de vagues de jouissance ou non, le côté "sourd" ou "aigu" du plaisir...Je pense à l'orgasme physique, pas au subspace ni à la jouissance purement cérébrale (qui sont traités dans d'autres fils), mais vous pouvez bien sûr digresser.(En vérité, je dis juste ça parce que je ne vais pas pouvoir vous en empêcher. )

Je remonte ce sujet, puisqu'on parle ici et là de la jouissance physique. Au plaisir de continuer à lire vos très intéressantes contributions.

Merci pour votre sincérité. Après l'orgasme donc... Je ne ressens jamais cela pour ma part. Plutôt un doux émerveillement, un lien renforcé, de vives bouffées de tendresse. Et parfois, lorsque mon prince me repousse enfin (le plus souvent) ou qu'il vient se lover contre moi (hmmm, si rare), une grande gratitude et de l'admiration. Lorsque c'est la nuit et que nous nous affalons ensuite pour dormir, je me trouve le plus souvent très émue, presque protectrice : j'ai envie de l'envelopper dans mon amour et de l'y bercer pendant son sommeil.Dans le cadre de jeux strictement SM, il me tease à mort, et je n'ai qu'une envie : recommencer, recommencer, et je deviens presque (totalement !) animale, presque folle, rendue à quelque chose d'hyper-instinctif, à ramper et à le lécher tant je le veux.

Très intéressant..."Every animal is sad after coitus except the human female and the rooster."Tous les animaux connaissent une tristesse post-coïtale, sauf la femme et le coq !!!!!!!

Je ne suis pas certain qu'être soumise signifie abandonné son plaisir. Je comprends que l'on peut ressentir du plaisir en voyant l'autre heureux mais l'abandon de son propre plaisir est une pente dangereuse pour un couple. J'ai entendu dire que parfois certaine soumises ont des relation avec des Dom en excluant la partie sexuel. Comme une sorte de mur virtuel qui se construit entre les deux mondes