Messages
LL
.Posté dans Sodomie Scato
Bonsoir tout le monde, Je me présente, je suis nouveau ici j'ai 28 ans, de région Parisienne et je suis Scato Curieux/Amateur. Après de nombreuses recherches ne trouvant aucune réponses, ou même forum abordant ceci je tente ma chance ici : Je voulais donc savoir au niveau de pratique scato pour ceux qui ont déjà eu ce genre d'expérience, est-ce que pratiquer la sodomie quand l'autre fait (ou essai) en parallèle de faire son besoin, apporte du plaisir pour celui/celle qui reçoit ? J'aimerai vraiment réaliser ça mais je voudrais avant des retours d'expérience afin d'être sur que ma copine va apprécier de déféquer quand je la pénètre par derrière en meme temps (la scatophile l'attire aussi pour précision). Si jamais ce post n'a pas lieu d'être ici, pouvez-vous me dire ou le partager ? Et éventuellement si vous avez connaissance de sites avec des Forums pour ça je suis preneur. Bonne soirée à vous
#
.Posté dans Sodomie Scato
Bonjour je cherche une femme scato pour de la sodomie
#
.Posté dans Sodomie Scato
Il y a quelques jours un ami du lieu m'a parlé de certaines pratiques scato.... comme pénétrer une femme classiquement pendant qu'elle défequait...et petit à petit des connexions de plaisir se faisait sur ces deux choses réunies. On en apprend de ces choses ici! Have fun! 😉
.Posté dans Sodomie Scato
Personnellement je préfère recevoir en étant "propre" mais si vous avez envie tout les deux d'essayer pourquoi se priver?
.Posté dans Sodomie Scato
Tu le sauras quand tu y seras en plus si vous êtes tous les deux attirés par cela vas-y fonce
Bonjour Dans ce genre de produits je connais les gels décontractants avec de la lidocaïne dedans qui insensiblise. On s'en sert pour sonder l'uretre mais on peut l'utiliser pour la sodomie. Il est contenu dans une seringue : de 6 ou 11 ml. Je conseille ce produit pour une prremière sodomie ou une première sonde dans la verge. Mais le produit fait tellement effet qu'on ne sent plus rien donc est-ce vraiment le but recherché ?
Bonjour,  Afin de me faire sentir qu’elle est en capacité de m’ôter tout plaisir et de transformer mes gestes de plaisir en simples actes utilitaires, ma Maîtresse imagine me sodomiser en utilisant une crème anesthésiante.  Avez-vous déjà pratiqué ceci d’un coté ou de l’autre ? Comment avez-vous vécu cette expérience ?   Pour précision : il s’agit d’une crème plus forte que certains lubrifiants indiqués comme comprenant un peu d’anesthésiant, et que nous avons déjà pu tester en usage externe sans problème spécifique.      Pour clarifier le sens de la démarche, il s’agit d’un travail de domination par la frustration qui vise à casser la relation (instinctive ou acquise) « une situation donnée implique une récompense physique » pour la faire évoluer en « une situation donnée implique une récompense physique si ma Maîtresse le veut ». Ma Maîtresse joue déjà, selon sa volonté, sur la finalité de la sodomie : douloureuse ou plus ou moins créatrice de plaisir. L’idée est d’aller plus loin dans l’emprise sur le corps de la personne soumise en mettant la personne dominante en capacité de couper directement le robinet des sensations. Evidemment, cette pratique s’inscrit dans une séquence scénarisée, qui intègre une montée initiale du désir pour mieux exacerber le manque. Ne pas savoir quand, ni même si, elle sera mise en œuvre (dans une semaine, six mois, un an...) crée une incertitude qui incite également à vivre différemment les autres relations.   Attention : il s’agit ici de pratiquer entre deux personnes expérimentées l’une avec l’autre. Il est généralement déconseillé d’utiliser des produits anesthésiants pour des néophytes, la sensation de douleur étant alors un marqueur de sécurité essentiel.
Merci pour vos contributions et vos mises en garde, tout à fait justifiées : la douleur est un signal important dont il faut tenir compte. La perspective de pratique à l'origine de cette discussion est toutefois à mettre dans un contexte spécifique, comme ma mise en garde en fin du message introductif le précise : une Maitresse et son soumis, qui se connaissent à la fois eux-même et respectivement très bien et qui connaissent également bien leur matériel. Certains godes peuvent se prêter à cette situation, parce que nous savons comment ils sont acceptés et comment ils doivent être manipulés, et d'autres plus exigeants sont à proscrire car pouvoir ressentir le signal de la douleur demeure impératif. De même, il ne s'agit pas de chercher à dépasser la douleur pour accéder à de nouvelles pratiques plus audacieuses, ce qui serait en soi dangereux, mais bien rester dans le spectre de ce qui est dans notre palette courante et maîtrisé. La douleur n'est d'ailleurs pas incontournable en matière de sodomie, ma Maîtresse sachant bien ce qu'il faut faire pour la faire naître ou au contraire l'éviter.