genderbender
#29
Ce qui me fait sourire, moi, c’est cette habitude qu’ont certains hommes de parler du BDSM comme d’une vocation ou d’un sacerdoce, alors qu’ils n’en ont encore jamais pratiqué la moindre parcelle réelle. L’expérience ne se mesure ni en test en ligne ni en discours théoriques, mais dans la façon d’incarner le lien, de le comprendre, de l’assumer. Quant aux femmes qui ne veulent pas de pervers, peut-être qu’elles veulent simplement des hommes capables de se tenir, pas de se justifier. On peut être Dominant sans être dérangé, Maître sans se prendre pour un gourou, et adulte sans se sentir attaqué à chaque nuance.
 
j'adore votre fougue et votre perspicacité melyara, vous êtes un véritable révélateur d'incohérence et d'inconsistance. je lis vos échanges avec plaisir ! évidemment qu'aucune femme ne veut d'un pervers, au sens psychologique du terme, puisque la sécurité est la base de la relation. ceci dit, ce mot "pervers" peut perfois être entendu d'une autre oreille, et certains pensent plutôt à quelque chose de l'ordre de l'interdit, du croustillant, du sulfureux. bref, je reprends un cornet de pop-corn et je continue ma lecture
Soyez la première personne à aimer.