Ce qui me fait sourire, moi, c’est cette habitude qu’ont certains hommes de parler du BDSM comme d’une vocation ou d’un sacerdoce, alors qu’ils n’en ont encore jamais pratiqué la moindre parcelle réelle. L’expérience ne se mesure ni en test en ligne ni en discours théoriques, mais dans la façon d’incarner le lien, de le comprendre, de l’assumer. Quant aux femmes qui ne veulent pas de pervers, peut-être qu’elles veulent simplement des hommes capables de se tenir, pas de se justifier. On peut être Dominant sans être dérangé, Maître sans se prendre pour un gourou, et adulte sans se sentir attaqué à chaque nuance.
Soyez la première personne à aimer.

