Yelahia a dit...
Putain c'est sublime !!!
Merci!
joliepulpeuse a dit...
sublime c'est clair..mais la bougie qui brule jusqu'au bout aie..tout comme la cire a l'interieur..aie..
je suis admirative
Alors en fait si je suis vraiment honnête avec vous, je dois démystifier le truc: c'est plus spectaculaire que douloureux. Bon, ça chauffe quand même, hein! Mais c'est loin d'être intenable.
Dans le cas de la bougie plantée dans le sexe de ma victime, bien sûr, ça chauffe fort, mais c'est très progressif, et la peau s'habitue (c'est comme la différence entre entrer dans un bain brûlant ou y être déjà et rajouter de l'eau chaude pour en faire monter la température). En outre la deuxième photo a été prise quelques instants avant que je ne souffle la bougie, car là, ça devenait vraiment dur pour elle.
Mais ce qui était susceptible de la sauver, c'est que sous la cire, la belle elle aussi se liquéfiait. Si, si! La preuve, il n'y a pas que de la cire qui coule, là:

Dans le cas de la cire répandue sur un orifice ouvert au speculum (comme sans speculum, d'ailleurs), ce sont les premières gouttes qui sont les plus violentes. Très vite, la première pellicule de cire protège la peau (ou les muqueuses) des suivantes, et la sensation devient celle d'une très agréable gangue de chaleur.
D'ailleurs les vrais sadiques enlèvent la cire au fur et à mesure pour éviter les accumulations protectrices, et recommencent plusieurs fois de suite...
Hell a dit...
L'histoire des bougies de couleur est liée à une température de combustion.
La cire de couleur fond à des températures plus hautes que la cire à base de parafine, il me semble. Donc elle diminue le risque de brulûre.
A ma connaissance, la proportion de paraffine qui entre dans la composition de la bougie fait en effet varier la température de fusion. Mais rien ne sert d'ergoter beaucoup là-dessus car la proportion de paraffine n'est jamais indiquée sur les emballages. Il faut donc toujours faire des essais empiriques en testant sur le dos de la main par exemple, avant tout autre usage.
Dans les bougies blanches qu'on trouve en supermarché, il existe d'une enseigne à l'autre des différences énormes de température de fusion, et certaines peuvent occasionner de réelles brûlures qui n'ont plus rien d'érotique! Et je ne suis même pas sûr que dans une même enseigne la température soit constante: il me semble (au moins subjectivement) avoir observé des irrégularités. Je teste donc toujours chaque bougie une à une avant de jouer avec.
Et puis un dernier truc, si on veut utiliser des bougies de couleur (notamment en verrines) qui semblent trop chaudes au moment de la fusion à la flamme, on peut tenter de les liquéfier au micro-ondes ou au bain-marie, puis attendre qu'elles refroidissent assez pour qu'il soit confortable (et parfaitement indolore) de plonger un doigts dedans. On peut alors en verser délicatement le contenu à destination...
Et si on vise pas trop mal avec un single tail (utilisé très délicatement) ou un quirt, on peut affiner les contours d'un cache-sexe en cire pour obtenir un tracé assez précis en faisant sauter les bordures, là où la cire est la plus fine:

Dernière modification le 26/11/2013 00:59:10 par analogique.
7 personnes aiment ça.