Des fois j’aimerais t’envelopper comme une couverture le ferait, de haut en bas, de la tête aux pieds, entourer ton corps et ton cœur de tout mon être et te transmettre ma chaleur… J’aimerais que tu décharges ton mal-être sur moi, que tu puisses hurler ton désespoir dans mes oreilles. J’aimerais être ton éponge, absorber cette espèce de lueur qu’il y a des fois dans ton regard. Caresser tes cheveux en te disant que tout va bien, on a grandi et bien changé tu sais... Que je suis fière de toi, fière de ce que tu es étais et seras… T’es belle…
J’aimerais te serrer dans mes bras en mêlant mes pleurs aux tiens… Jusqu’à m’en craquer les os, jusqu’à ce qu’on soit à bout de souffle et que nos cous soient mouillés de nos larmes entremêlées…
Alors là, maintenant, je te regarde. Je te souris... Mes yeux rient, mes fossettes se creusent… Tout va bien…
J’aimerais te serrer dans mes bras en mêlant mes pleurs aux tiens… Jusqu’à m’en craquer les os, jusqu’à ce qu’on soit à bout de souffle et que nos cous soient mouillés de nos larmes entremêlées…
Alors là, maintenant, je te regarde. Je te souris... Mes yeux rient, mes fossettes se creusent… Tout va bien…
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