Merci Nina de l'ouverture de ce post.
Le titre de ce sujet est "strangulation". Or, il s'agirait là de la notion d'étrangler (pour tuer). OK, je n'ai pas ouvert Wiki ou Larousse. C'est MA définition à moi de ce mot.
Je dirais plutôt, comme le dit si bien Point47 (qui a pratiqué cela avec son ex-Maître puisqu'on en a déjà parlé ensemble...) de l'étouffement maîtrisé.
Etouffer, c'est suffoquer par le manque d'air, c'est appauvrir l'apport en oxygène au cerveau et être grisée de cette asphyxie. La motion de "maîtrisé" adoucit la pratique et surtout l'encadre pour en garantir la bonne fin.
J'ai connu cette sensation extraordinaire mêlée de panique et de confiance un partenaire de jeu dont c'était la "spécialité" et qui m'a fait découvrir cette pratique ; j'ai adoré !
J'ai parlé de cette découverte à Masterlau en l'invitant à s'initier sur mon cou pour se parfaire dans cette pratique. C'est bien la confiance absolue que je lui porte qui lui a permis d'apprendre, de comprendre, de veiller sur moi et de contrôler mes réactions, savoir quand s'arrêter...etc. C'est bien parce que je le sens responsable et jamais emporté par le trip que je m'apaise, que je m'abandonne et que je savoure.
Sentir ses mains enserrer mon cou ou condamner simultanément bouche et nez pour me priver d'air me transcende littéralement. Je ressens sa puissance et son pouvoir sur moi. La notion d'abandon de soi et de confiance prend toute sa dimension aussi.
Bizarrement aujourd'hui, contrainte et prise par mon Maître, je me suis trouvée le visage enfoui profondément dans la couette. Le manque d'air s'est vite fait sentir et je n'ai pas eu l'impression que Masterlau avait voulu cet étouffement. Du coup, j'ai ressenti une forme passagère de panique et j'ai suffoqué...puis j'ai replacé ma confiance en me disant que, me concernant, RIEN ne pouvait échapper à mon Maître. Rapidement et avec un sourire, je l'ai senti me "libérer" et mes yeux dans les siens, j'ai respiré à pleins poumons...
Tout ceci exprimé, il ne faut pas négliger le danger de telle pratique car cela s'apparente au jeu du foulard tristement connu dans les collèges. Et il est absolument nécessaire que les pratiquants aient conscience, en amont, des risques encourus. A pratiquer avec modération, pour le plaisir des deux.
B
Le titre de ce sujet est "strangulation". Or, il s'agirait là de la notion d'étrangler (pour tuer). OK, je n'ai pas ouvert Wiki ou Larousse. C'est MA définition à moi de ce mot.
Je dirais plutôt, comme le dit si bien Point47 (qui a pratiqué cela avec son ex-Maître puisqu'on en a déjà parlé ensemble...) de l'étouffement maîtrisé.
Etouffer, c'est suffoquer par le manque d'air, c'est appauvrir l'apport en oxygène au cerveau et être grisée de cette asphyxie. La motion de "maîtrisé" adoucit la pratique et surtout l'encadre pour en garantir la bonne fin.
J'ai connu cette sensation extraordinaire mêlée de panique et de confiance un partenaire de jeu dont c'était la "spécialité" et qui m'a fait découvrir cette pratique ; j'ai adoré !
J'ai parlé de cette découverte à Masterlau en l'invitant à s'initier sur mon cou pour se parfaire dans cette pratique. C'est bien la confiance absolue que je lui porte qui lui a permis d'apprendre, de comprendre, de veiller sur moi et de contrôler mes réactions, savoir quand s'arrêter...etc. C'est bien parce que je le sens responsable et jamais emporté par le trip que je m'apaise, que je m'abandonne et que je savoure.
Sentir ses mains enserrer mon cou ou condamner simultanément bouche et nez pour me priver d'air me transcende littéralement. Je ressens sa puissance et son pouvoir sur moi. La notion d'abandon de soi et de confiance prend toute sa dimension aussi.
Bizarrement aujourd'hui, contrainte et prise par mon Maître, je me suis trouvée le visage enfoui profondément dans la couette. Le manque d'air s'est vite fait sentir et je n'ai pas eu l'impression que Masterlau avait voulu cet étouffement. Du coup, j'ai ressenti une forme passagère de panique et j'ai suffoqué...puis j'ai replacé ma confiance en me disant que, me concernant, RIEN ne pouvait échapper à mon Maître. Rapidement et avec un sourire, je l'ai senti me "libérer" et mes yeux dans les siens, j'ai respiré à pleins poumons...
Tout ceci exprimé, il ne faut pas négliger le danger de telle pratique car cela s'apparente au jeu du foulard tristement connu dans les collèges. Et il est absolument nécessaire que les pratiquants aient conscience, en amont, des risques encourus. A pratiquer avec modération, pour le plaisir des deux.
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