Cela fait bien longtemps que ce sujet me trotte dans la tête et j'ai mené sous cape une petite enquête IRL. Je souhaite parfaire mon savoir sur le sujet à travers vos impressions ici.
En entrant en soumission, j'ai accepté de ne plus jamais "faire l'amour". Pour moi, "faire l'amour" c'est avoir le pouvoir d'initiative, la possibilité de dire NON ou ENCORE, de lever une jambe sans autorisation. C'est être deux sur un même pied d'égalité dans une envie, voire pulsion personnelle (même si l'on se soucie du plaisir de l'autre).
Alors que mon statut de soumise me réussit parfaitement, bizarrement, il m'est pénible, voire indigeste d'admettre qu'en matière sexuelle, tout mon savoir, mon expérience acquise par les années et les différents partenaires, voire mes envies et fantasmes en la matière versent in facto dans mes meilleurs souvenirs.
Il m'est impossible d'envisager de faire l'amour à mon Maître. L'initiative intégrale lui revient à ce sujet (entre autres). C'est Lui qui décide s'il veut, quand il veut et comme il veut. Il ne me consulte pas sur la question, il m'utilise et je suis à disposition de sa perversité pour.
Mon cas n'est pas isolé et après enquête auprès des couples D/S que j'ai rencontrés, le renoncement en la matière est le même et il paraît qu'il faut environ 3 ans pour ne plus jamais ressentir de tristesse, de frustration et de manque.
Et chez vous ? ça se passe comment ? faites-vous vraiment l'amour ou est-ce le/a dominant/e qui prend toute forme d'initiative ?
Pour plus de faciliter et par opposition à faire l'amour (à deux), mon Maître me baise ! Certains trouveront le terme vulgaire ou inadéquat mais si vous avez un autre vocabulaire à proposer, c'est bienvenu !
En entrant en soumission, j'ai accepté de ne plus jamais "faire l'amour". Pour moi, "faire l'amour" c'est avoir le pouvoir d'initiative, la possibilité de dire NON ou ENCORE, de lever une jambe sans autorisation. C'est être deux sur un même pied d'égalité dans une envie, voire pulsion personnelle (même si l'on se soucie du plaisir de l'autre).
Alors que mon statut de soumise me réussit parfaitement, bizarrement, il m'est pénible, voire indigeste d'admettre qu'en matière sexuelle, tout mon savoir, mon expérience acquise par les années et les différents partenaires, voire mes envies et fantasmes en la matière versent in facto dans mes meilleurs souvenirs.
Il m'est impossible d'envisager de faire l'amour à mon Maître. L'initiative intégrale lui revient à ce sujet (entre autres). C'est Lui qui décide s'il veut, quand il veut et comme il veut. Il ne me consulte pas sur la question, il m'utilise et je suis à disposition de sa perversité pour.
Mon cas n'est pas isolé et après enquête auprès des couples D/S que j'ai rencontrés, le renoncement en la matière est le même et il paraît qu'il faut environ 3 ans pour ne plus jamais ressentir de tristesse, de frustration et de manque.
Et chez vous ? ça se passe comment ? faites-vous vraiment l'amour ou est-ce le/a dominant/e qui prend toute forme d'initiative ?
Pour plus de faciliter et par opposition à faire l'amour (à deux), mon Maître me baise ! Certains trouveront le terme vulgaire ou inadéquat mais si vous avez un autre vocabulaire à proposer, c'est bienvenu !

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