Non, ta question est intéressante, et tu as eu raison de la poster, espèce de connard, pute, chienne.
Je suis moi aussi très sensible à la langue et aux mots, et j'en ai d'ailleurs fait mon métier, et traîner sur internet est assez pénible pour moi en voyant les mots écorchés par des fautes, ou un mauvais usage de la langue, mais j'ai fini par m'habituer, presque.
Mais j'ai bien compris que ton propos n'est pas là, petit enculé, lopette, sous-merde !
Le côté cérébral de ton cas est en effet indiscutable, d'après ce que tu décris, peut-être ton taux de fantasmes dépasse-t-il celui de tes ressentis physiologique purement érogènes, raclure, salope ? Ou peut-être devraient-ils être plus complémentaires pour que tu t'attaches moins à l'importance du fantasme vocable, trou-du-cul, pustule ?
Ce qui est sûr c'est que ça correspond certainement à un besoin de rabaissement, d'humiliation intellectuelle, oui, traînée, petit con, branleur.
Personnellement, les insultes me font l'effet inverse : je les prends trop au mot, et lorsqu'un indélicat m'insulte dans la rue pour une bousculade par exemple, ça me touche énormément, je n'arrive pas à prendre ça à la légère. Comme quoi on peut intellectualiser dans n'importe quel sens.
Pour plus d'info, un article trouvé sur le web : http://philippevert.over-blog.com/article-29140709.html
P.S.: Tu as vu, j'ai fait l'effort de t'être agréable dans mon commentaire, je suis trop sympa quand même.
Je suis moi aussi très sensible à la langue et aux mots, et j'en ai d'ailleurs fait mon métier, et traîner sur internet est assez pénible pour moi en voyant les mots écorchés par des fautes, ou un mauvais usage de la langue, mais j'ai fini par m'habituer, presque.
Mais j'ai bien compris que ton propos n'est pas là, petit enculé, lopette, sous-merde !
Le côté cérébral de ton cas est en effet indiscutable, d'après ce que tu décris, peut-être ton taux de fantasmes dépasse-t-il celui de tes ressentis physiologique purement érogènes, raclure, salope ? Ou peut-être devraient-ils être plus complémentaires pour que tu t'attaches moins à l'importance du fantasme vocable, trou-du-cul, pustule ?
Ce qui est sûr c'est que ça correspond certainement à un besoin de rabaissement, d'humiliation intellectuelle, oui, traînée, petit con, branleur.
Personnellement, les insultes me font l'effet inverse : je les prends trop au mot, et lorsqu'un indélicat m'insulte dans la rue pour une bousculade par exemple, ça me touche énormément, je n'arrive pas à prendre ça à la légère. Comme quoi on peut intellectualiser dans n'importe quel sens.
Pour plus d'info, un article trouvé sur le web : http://philippevert.over-blog.com/article-29140709.html
P.S.: Tu as vu, j'ai fait l'effort de t'être agréable dans mon commentaire, je suis trop sympa quand même.
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