Bonjour Malyza,
Je réponds car c'est un problème qui me touche aussi d'une certaine façon même si c'est en tant que soumis et non en tant que dominant.
Je suis arrivé au SM il y a maintenant plus de 10 ans pour assouvir un véritable besoin qui me poussait à l'auto-mutilation. J'étais et suis toujours marié. Mon épouse n'a jamais perçu ce besoin et je n'ai à l'époque pas osé lui en parler. Je suis persuadé que si je n'avais pas découvert le SM et ma première maîtresse, notre couple aurait cassé tellement je devenais irritable et nerveux.
C'est un peu plus récemment d'ailleurs que j'ai réellement retrouvé un équilibre avec ma nouvelle Maîtresse à qui je dois beaucoup.
Je n'ose toujours pas maintenant en parler à mon épouse mais pas pour les mêmes raisons. A l'époque c'était parce que j'avais honte de ces pulsions masochistes. Maintenant, c'est parce que je sais que mon épouse ne comprendrait pas que je lui ai caché mes pratiques pendant autant de temps.
Et pourtant, je pense que la découverte du SM a sauvé notre couple.
Peu avant de changer de Maîtresse, j'ai essayé en vain à travers différents moyens (livres trainant incidemment sous ses yeux par exemple, incitations à me punir physiquement quand je faisais des choses qui ne lui plaisiaient pas...) de susciter auprès de mon épouse un intérêt pour le SM. Je pense que ce n'est pas dans son caractère.
Pour autant le SM et ma vie vanille sont 2 choses totalement distinctes et je n'ai jamais eu de rapports sexuels avec mes Maîtresses (les 2 que j'ai eues étant d'ailleurs mariées).
Si mon épouse finit par découvrir mes pratiques (ce qui pourrait bien finir par arriver), je lui expliquerai tout çà, mais je préfère lui épargner çà tant que je peux.
Peut-être donc que votre mari est dans un cas un peu semblable. Puisque vous avez découvert ses pratiques, je pense que le mieux est dans discuter longuement et calmement avec lui (si possible car ce n'est pas évident de dépassionner ce genre de choses) et de voir si vous pouvez trouver un mode de vie qui vous convienne à tous les deux.
Bon courage...
Je réponds car c'est un problème qui me touche aussi d'une certaine façon même si c'est en tant que soumis et non en tant que dominant.
Je suis arrivé au SM il y a maintenant plus de 10 ans pour assouvir un véritable besoin qui me poussait à l'auto-mutilation. J'étais et suis toujours marié. Mon épouse n'a jamais perçu ce besoin et je n'ai à l'époque pas osé lui en parler. Je suis persuadé que si je n'avais pas découvert le SM et ma première maîtresse, notre couple aurait cassé tellement je devenais irritable et nerveux.
C'est un peu plus récemment d'ailleurs que j'ai réellement retrouvé un équilibre avec ma nouvelle Maîtresse à qui je dois beaucoup.
Je n'ose toujours pas maintenant en parler à mon épouse mais pas pour les mêmes raisons. A l'époque c'était parce que j'avais honte de ces pulsions masochistes. Maintenant, c'est parce que je sais que mon épouse ne comprendrait pas que je lui ai caché mes pratiques pendant autant de temps.
Et pourtant, je pense que la découverte du SM a sauvé notre couple.
Peu avant de changer de Maîtresse, j'ai essayé en vain à travers différents moyens (livres trainant incidemment sous ses yeux par exemple, incitations à me punir physiquement quand je faisais des choses qui ne lui plaisiaient pas...) de susciter auprès de mon épouse un intérêt pour le SM. Je pense que ce n'est pas dans son caractère.
Pour autant le SM et ma vie vanille sont 2 choses totalement distinctes et je n'ai jamais eu de rapports sexuels avec mes Maîtresses (les 2 que j'ai eues étant d'ailleurs mariées).
Si mon épouse finit par découvrir mes pratiques (ce qui pourrait bien finir par arriver), je lui expliquerai tout çà, mais je préfère lui épargner çà tant que je peux.
Peut-être donc que votre mari est dans un cas un peu semblable. Puisque vous avez découvert ses pratiques, je pense que le mieux est dans discuter longuement et calmement avec lui (si possible car ce n'est pas évident de dépassionner ce genre de choses) et de voir si vous pouvez trouver un mode de vie qui vous convienne à tous les deux.
Bon courage...
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