Bon sans ce que ça fait du bien de vous lire rphdom.
Je me sens d'un seul coup moins seul...
Oui, le bdsm est a des années lumières d'un "petit jeux coquin du samedi soir".
C'est un état d'esprit, un art, un art de vivre, une quette physique, mystique, spirituelle, de soi, de l'autre...
Un cheminement sans fin, une découverte permanente de soi, de l'autre, du couple.
C'est aussi la recherche de ses limites, la volonté de les repousser, toujours plus loin, toujours plus haut. Non pour la "performance" ou pour la "frime", mais pour s'offrir les plus larges et les plus fabuleux paysages de plaisir et d'épanouissement possible.
Contrairement à ce que certain pense ici, je ne met aucune hiérarchie dans la façon de vivre son BDSM. Simplement, pour moi, le BDSM ne commence que lorsqu'il "coûte".
C'est un voyage qui se gagne, exige son du de larme, de peur, de souffrance (physique comme mentale). On ne parvient à comprendre que lorsque l'on parcours soi même ce chemin. On ne peux pas tenter de le faire en étant spectateur.
Peut importe la façon, il y en a des millier: Mais toutes les relations BDSM exige leur prix d'investissement à payer.
Tout ceux qui parcours ce chemin vous le dirons: ILS ONT PAYER LE PRIX: En échec, en déception, en désespérance même parfois. Mais tous ceux qui ont trouvé leur "âme sœur" vous le dirons également: Cela en valais la peine au delà de toute leur espérance...
Alors, si pour vous le BDSM n'est qu'un jeux, si vous n'avez encore payé "aucun prix", ayez l'humilité de vous dire "je ne sais pas de quoi ils parlent" et de respecter ceux qui cherche, et même qui ont besoin de savoir et de comprendre.
Soyez conscient du fait que derrière la façade 'drôle', ou "provocatrice" de certain post, il y a des personnes en quette d'elle même. Qui ont désespérément besoin d'avoir des réponses aux émotions ou au pulsions qui les envahissent.
Je me souviendrai toute ma vie je crois de cette femme d'une cinquantaine d'année qui après avoir discuté avec ma Reine s'est écrié: "dieu soit loué je ne suis pas folle"....
Et cette question là, nous nous la sommes tous posée et bien souvent, même après des années d'expériences, nous nous la posons parfois encore....
Je me sens d'un seul coup moins seul...
Oui, le bdsm est a des années lumières d'un "petit jeux coquin du samedi soir".
C'est un état d'esprit, un art, un art de vivre, une quette physique, mystique, spirituelle, de soi, de l'autre...
Un cheminement sans fin, une découverte permanente de soi, de l'autre, du couple.
C'est aussi la recherche de ses limites, la volonté de les repousser, toujours plus loin, toujours plus haut. Non pour la "performance" ou pour la "frime", mais pour s'offrir les plus larges et les plus fabuleux paysages de plaisir et d'épanouissement possible.
Contrairement à ce que certain pense ici, je ne met aucune hiérarchie dans la façon de vivre son BDSM. Simplement, pour moi, le BDSM ne commence que lorsqu'il "coûte".
C'est un voyage qui se gagne, exige son du de larme, de peur, de souffrance (physique comme mentale). On ne parvient à comprendre que lorsque l'on parcours soi même ce chemin. On ne peux pas tenter de le faire en étant spectateur.
Peut importe la façon, il y en a des millier: Mais toutes les relations BDSM exige leur prix d'investissement à payer.
Tout ceux qui parcours ce chemin vous le dirons: ILS ONT PAYER LE PRIX: En échec, en déception, en désespérance même parfois. Mais tous ceux qui ont trouvé leur "âme sœur" vous le dirons également: Cela en valais la peine au delà de toute leur espérance...
Alors, si pour vous le BDSM n'est qu'un jeux, si vous n'avez encore payé "aucun prix", ayez l'humilité de vous dire "je ne sais pas de quoi ils parlent" et de respecter ceux qui cherche, et même qui ont besoin de savoir et de comprendre.
Soyez conscient du fait que derrière la façade 'drôle', ou "provocatrice" de certain post, il y a des personnes en quette d'elle même. Qui ont désespérément besoin d'avoir des réponses aux émotions ou au pulsions qui les envahissent.
Je me souviendrai toute ma vie je crois de cette femme d'une cinquantaine d'année qui après avoir discuté avec ma Reine s'est écrié: "dieu soit loué je ne suis pas folle"....
Et cette question là, nous nous la sommes tous posée et bien souvent, même après des années d'expériences, nous nous la posons parfois encore....
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