Je rejoins entièrement Koï et la dernière partie postée par Jean Renoir.
Je viens complexifier la discussion, ne m'en voulez pas, en exprimant d'expérience qu'il y a d'une part beaucoup de sujets sous ces quatre lettres BDSM et, d'autre part, autant de vécu et d'attente de la part de la perle que j'ai choisie de prendre en mes mains que de personnes sur cette planète.
Instruire, éduquer, faire progresser est un élément de satisfaction personnelle quand je constate les progrès, le chemin parcouru. Cela dans tous les domaines : obéissance, codes, soumission, exploration personnelle, douleur, notre cher lâcher prise...
Se sentir altruiste est bon. Comme donner pour faire du bien, aider la Croix Rouge, une dame à porter ses courses, un ami que l'on soutient dans le pénible... En BDSM, il y une attente (désir immédiat, découverte, approfondissement, vécu masochiste intense, vivre l'opposé de sa vie sociale, humiliation, transgresser en secret, et tant d'autres). Cette attente se découvre par l'étude (pardon pour ce mot) de la personne concernée, et de ce travail nécessaire naît le plaisir de l'altruisme.
Se donner, s'offrir à sa ou son Dom implique que cette dernière ou ce dernier peut à tout instant exprimer (de façon préparée, réfléchie, contrôlée) son sadisme, le libérer.
La ou le Dom peut également également à tout instant prendre le plus animal des plaisirs (rapports selon son unique envie, gorge profonde, sodomie ... et même caresses, ce n'est pas incompatible).
Les cordes offrent le plaisir du geste, du lien, des odeurs, de la contrainte et du visage épanoui de la personne encordée. Je le retrouve également dans d'autres formes d'entraves. Le maintien en abandon, le plaisir ressenti de la personne entravée que je perçois de façon limpide me donnent plaisir (il doit y avoir là un processus chimique car le bien-être et le plaisir physique sont très clairement présents).
Main, martinets, badine, Wartenberg, fouet.. en pur SM exaltent à la fois le plaisir du geste (ce que ressent un danseur) et l'interaction entre les deux personnes : frôler la limite, pousser et jouir sadiquement des cris et mouvements réflexes de ma soumise. Excitation très cérébrale mais très jouissive. L'engin situé dans mon entre jambe peut parfois être au garde à vous et parfois non. Cela démontre à mon sens que ce plaisir SM est à la fois physique et cérébral : parfois plus l'un que l'autre, parfois les eux ensemble. D'où l'intérêt du sujet posté par Shalimée car la variabilité du plaisir chez un Dom rend ce dit plaisir.. "confusant".
Je viens complexifier la discussion, ne m'en voulez pas, en exprimant d'expérience qu'il y a d'une part beaucoup de sujets sous ces quatre lettres BDSM et, d'autre part, autant de vécu et d'attente de la part de la perle que j'ai choisie de prendre en mes mains que de personnes sur cette planète.
Instruire, éduquer, faire progresser est un élément de satisfaction personnelle quand je constate les progrès, le chemin parcouru. Cela dans tous les domaines : obéissance, codes, soumission, exploration personnelle, douleur, notre cher lâcher prise...
Se sentir altruiste est bon. Comme donner pour faire du bien, aider la Croix Rouge, une dame à porter ses courses, un ami que l'on soutient dans le pénible... En BDSM, il y une attente (désir immédiat, découverte, approfondissement, vécu masochiste intense, vivre l'opposé de sa vie sociale, humiliation, transgresser en secret, et tant d'autres). Cette attente se découvre par l'étude (pardon pour ce mot) de la personne concernée, et de ce travail nécessaire naît le plaisir de l'altruisme.
Se donner, s'offrir à sa ou son Dom implique que cette dernière ou ce dernier peut à tout instant exprimer (de façon préparée, réfléchie, contrôlée) son sadisme, le libérer.
La ou le Dom peut également également à tout instant prendre le plus animal des plaisirs (rapports selon son unique envie, gorge profonde, sodomie ... et même caresses, ce n'est pas incompatible).
Les cordes offrent le plaisir du geste, du lien, des odeurs, de la contrainte et du visage épanoui de la personne encordée. Je le retrouve également dans d'autres formes d'entraves. Le maintien en abandon, le plaisir ressenti de la personne entravée que je perçois de façon limpide me donnent plaisir (il doit y avoir là un processus chimique car le bien-être et le plaisir physique sont très clairement présents).
Main, martinets, badine, Wartenberg, fouet.. en pur SM exaltent à la fois le plaisir du geste (ce que ressent un danseur) et l'interaction entre les deux personnes : frôler la limite, pousser et jouir sadiquement des cris et mouvements réflexes de ma soumise. Excitation très cérébrale mais très jouissive. L'engin situé dans mon entre jambe peut parfois être au garde à vous et parfois non. Cela démontre à mon sens que ce plaisir SM est à la fois physique et cérébral : parfois plus l'un que l'autre, parfois les eux ensemble. D'où l'intérêt du sujet posté par Shalimée car la variabilité du plaisir chez un Dom rend ce dit plaisir.. "confusant".
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