DormeurDuVal_ a dit...
Les poils, par leur porosité et la densité de leur tissage, forment un abri, un piège à parfums, une chatte poilue acquiert ainsi plus facilement les propriétés odorantes du fauve, la préférence est une question de goût. (tout comme les épices en cuisine)
Ils piègent les parfums en effet. Du coup, glabre, j'ai au contraire l'impression qu'il n'y a plus de barrage pour stopper les parfums ni le flux. Plus indécent, donc plus en phase avec certains désirs de dominants/as.
En revanche d'accord avec vous sur le fait que l'épilation en soi est un vrai labeur, une soumission à part entière, durant laquelle on pense forcément à celui pour lequel on s'astreint à cette douce torture
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