Personnellement, j'ai toujours été très sexuel et envisage toujours les jeux BDSM, lorsque je les pratique, comme un biais de plaisir sexuel. Très polyvalent, je ne pourrais pas me classer dans une case, mais certainement pas dans celle qui prône le BDSM uniquement cérébral, sans excitation érotique/sensuelle/sexuelle.
La case la plus proche de mon cas serait globalement "switch" ou "dominant", mais avant tout hédoniste et libre.
Avec ma soumise je suis dominant le plus souvent (voire dominateur, mais pas "Maître" car ce terme sous-entendrait que nos rôles seraient définis à l'aune de règles et dogmes auxquels je ne souscris pas), mais je deviens parfois juste amant et nous faisons aussi l'amour tendrement (ce qu'on appelle péjorativement "vanille" ) ;
Avec d'autres femmes je ne suis que dominateur, car elles ne veulent que ça, et ça me va ;
Avec d'autres je switche ;
Avec d'autre encore je ne suis que vanille ;
Avec d'autres je libertine, et tout est possible dans tous les sens... etc
Mais toujours du sexe et du plaisir à la clef, parfois cru parfois tendre. Sans s'encombrer d'apparats d'artifices, de dogmes, d'adoration et de notion d'appartenance, qui par définition entament la liberté.
Pour moi le BDSM est un jeu auquel je joue parfois au sein d'ébats sexuels, pas une vocation ou un style de vie, ni une attitude ou un crédo fier et figé pris au sérieux. Ceux qui s'y prennent au sérieux et n'envisagent rien d'autre me font toujours halluciner, et forcément leur mépris ne peut concevoir que ce ne soit pour moi qu'une façon (parmi une multitude) de jouer et d'atteindre (et surtout donner en général) du plaisir. À leurs yeux, je ne "suis" pas dans le vrai BDSM. Pas de problème. Et alors ? J'aime plus le sexe et l'expérimentation que les considérations à œillères.
Je n'ai absolument aucun problème à dire ici que "je ne suis pas BDSM" !
Faire l'amour, baiser bestialement, jouer, séduire, dominer, être dominé, switcher, ... tout est possible, et sans tabou ni restriction. Du moment que c'est consenti mutuellement et que c'est bon.
La case la plus proche de mon cas serait globalement "switch" ou "dominant", mais avant tout hédoniste et libre.
Avec ma soumise je suis dominant le plus souvent (voire dominateur, mais pas "Maître" car ce terme sous-entendrait que nos rôles seraient définis à l'aune de règles et dogmes auxquels je ne souscris pas), mais je deviens parfois juste amant et nous faisons aussi l'amour tendrement (ce qu'on appelle péjorativement "vanille" ) ;
Avec d'autres femmes je ne suis que dominateur, car elles ne veulent que ça, et ça me va ;
Avec d'autres je switche ;
Avec d'autre encore je ne suis que vanille ;
Avec d'autres je libertine, et tout est possible dans tous les sens... etc
Mais toujours du sexe et du plaisir à la clef, parfois cru parfois tendre. Sans s'encombrer d'apparats d'artifices, de dogmes, d'adoration et de notion d'appartenance, qui par définition entament la liberté.
Pour moi le BDSM est un jeu auquel je joue parfois au sein d'ébats sexuels, pas une vocation ou un style de vie, ni une attitude ou un crédo fier et figé pris au sérieux. Ceux qui s'y prennent au sérieux et n'envisagent rien d'autre me font toujours halluciner, et forcément leur mépris ne peut concevoir que ce ne soit pour moi qu'une façon (parmi une multitude) de jouer et d'atteindre (et surtout donner en général) du plaisir. À leurs yeux, je ne "suis" pas dans le vrai BDSM. Pas de problème. Et alors ? J'aime plus le sexe et l'expérimentation que les considérations à œillères.
Je n'ai absolument aucun problème à dire ici que "je ne suis pas BDSM" !
Faire l'amour, baiser bestialement, jouer, séduire, dominer, être dominé, switcher, ... tout est possible, et sans tabou ni restriction. Du moment que c'est consenti mutuellement et que c'est bon.
Dernière modification le 15/10/2015 09:51:01 par Abyme.
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