Bonjour à tous,
Impressionné par la longue explication de Poison-Délice et si je puis me permettre de troubler une eau aussi pure, je dirai que j'ai besoin, pour ma part, de dominer pour atteindre une sorte de plénitude, de satisfaction profonde dans mes rapports à une femme (je n'ai pas encore essayé avec un homme...). Ce sentiment de domination peut se traduire dans la réalité, par des actes ou des paroles, elle peut demeurer fantasmatique, n'être qu'imaginée.
Peut-être la question se situe-t-elle là : dans le rapport fluctuant entre réalité et imaginaire. Je trouve une intense satisfaction à fantasmer à jouer des mots et la plupart du temps une intense déception à vivre la réalité, trop souvent décevante, banale, imparfaite, bancale. C'est une question esthétique.
Pour dire les choses nettement : j'ai besoin de l'esthétique de la D/S pour jouir. Mais pour revenir au belles phrases de Poison Délice, je dirais qu'à son exemple, je crois profondément que les relations de pouvoir au sein d'un couple se résolvent immédiatement lorsque le rapport Domination/Soumission fonde le couple. La dimension fantasmatique du couple, c'est à dire son ciment, est ainsi fixée et n'est pas remise en cause à la moindre vaisselle oubliée dans l'évier.
la comparaison de Poison Délice avec les animaux me pose davantage de problème parce que j'y adhère tout en sentant bien que c'est une position indéfendable de nos jours.
Au plaisir de vous lire les uns et les autres
Quatuor
Impressionné par la longue explication de Poison-Délice et si je puis me permettre de troubler une eau aussi pure, je dirai que j'ai besoin, pour ma part, de dominer pour atteindre une sorte de plénitude, de satisfaction profonde dans mes rapports à une femme (je n'ai pas encore essayé avec un homme...). Ce sentiment de domination peut se traduire dans la réalité, par des actes ou des paroles, elle peut demeurer fantasmatique, n'être qu'imaginée.
Peut-être la question se situe-t-elle là : dans le rapport fluctuant entre réalité et imaginaire. Je trouve une intense satisfaction à fantasmer à jouer des mots et la plupart du temps une intense déception à vivre la réalité, trop souvent décevante, banale, imparfaite, bancale. C'est une question esthétique.
Pour dire les choses nettement : j'ai besoin de l'esthétique de la D/S pour jouir. Mais pour revenir au belles phrases de Poison Délice, je dirais qu'à son exemple, je crois profondément que les relations de pouvoir au sein d'un couple se résolvent immédiatement lorsque le rapport Domination/Soumission fonde le couple. La dimension fantasmatique du couple, c'est à dire son ciment, est ainsi fixée et n'est pas remise en cause à la moindre vaisselle oubliée dans l'évier.
la comparaison de Poison Délice avec les animaux me pose davantage de problème parce que j'y adhère tout en sentant bien que c'est une position indéfendable de nos jours.
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