Bonjour,
Ce sera pour moi un modeste et rapide témoignage de sodomite invétéré.
Je n'ai pas subi d'abus sexuel dans mon enfance ni après, et je n'ai pas été élevé dans un environnement machiste... Ça me semble même étrange qu'il faille ici convoquer de telles explications, comme s'il était besoin de justifier une telle "déviance", comme si c'était anormal d'aimer se faire sodomiser quand on est un homme hétéro, au point qu'il faille vraiment chercher à comprendre. Mais admettons: s'il s'agit de rechercher les ressorts d'une sodomie vécue et perçue comme une humiliation, la piste de la pression normative autour de l'image de l'homme viril qui a un phallus mais pas d'anus n'est certes pas à exclure.
Chez moi, pas le moindre sentiment d'humiliation, et surtout pas la moindre part féminine quand je me fais copieusement enculer par ma chère et cruelle: homme je suis, homme je reste, y compris jusque dans la béance du sphincter, et sans doute plus que jamais lorsque je prends conscience de ma prostate...
J'aime ça depuis aussi loin que je me souvienne, tout simplement parce que c'est super bon: un plaisir archaïque qui vient nous chercher au fond des tripes!
Et comme je suis hétéro et pas trop complexé, c'est tout naturellement que j'ai toujours aimé partager ce plaisir avec mes partenaires femmes, indifféremment soumises ou dominantes, vanilles ou bdsm. Me faire investir de mille manières par ma partenaire facilite indéniablement ma descente et mon entrée en soumission, mais n'invalide en rien le sentiment que j'ai de ma virilité, et c'est par ailleurs quelque chose que j'aime suffisamment pour le commanditer quand je domine.
Sur ce, il faut que je vous laisse: ma switchtresse a chaussé son share. J'y retourne.
Ce sera pour moi un modeste et rapide témoignage de sodomite invétéré.
Je n'ai pas subi d'abus sexuel dans mon enfance ni après, et je n'ai pas été élevé dans un environnement machiste... Ça me semble même étrange qu'il faille ici convoquer de telles explications, comme s'il était besoin de justifier une telle "déviance", comme si c'était anormal d'aimer se faire sodomiser quand on est un homme hétéro, au point qu'il faille vraiment chercher à comprendre. Mais admettons: s'il s'agit de rechercher les ressorts d'une sodomie vécue et perçue comme une humiliation, la piste de la pression normative autour de l'image de l'homme viril qui a un phallus mais pas d'anus n'est certes pas à exclure.
Chez moi, pas le moindre sentiment d'humiliation, et surtout pas la moindre part féminine quand je me fais copieusement enculer par ma chère et cruelle: homme je suis, homme je reste, y compris jusque dans la béance du sphincter, et sans doute plus que jamais lorsque je prends conscience de ma prostate...
J'aime ça depuis aussi loin que je me souvienne, tout simplement parce que c'est super bon: un plaisir archaïque qui vient nous chercher au fond des tripes!
Et comme je suis hétéro et pas trop complexé, c'est tout naturellement que j'ai toujours aimé partager ce plaisir avec mes partenaires femmes, indifféremment soumises ou dominantes, vanilles ou bdsm. Me faire investir de mille manières par ma partenaire facilite indéniablement ma descente et mon entrée en soumission, mais n'invalide en rien le sentiment que j'ai de ma virilité, et c'est par ailleurs quelque chose que j'aime suffisamment pour le commanditer quand je domine.
Sur ce, il faut que je vous laisse: ma switchtresse a chaussé son share. J'y retourne.
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