Le BDSM est souvent perçu comme une pratique âpre et violente (notamment quand il y a soumission par la sodomie), mais il peut aussi être envisagé sous un angle positif et bienveillant. Punir son partenaire, surtout dans une dynamique de dressage, peut avoir des conséquences psychologiques négatives. Il est essentiel de distinguer le jeu de la réalité : si certains voient le BDSM comme un simple jeu, d'autres y voient des enjeux profonds.

La peur constante de commettre une erreur peut plonger le soumis dans un état de stress et d'anxiété, de crainte de la punition, nuisant à la relation. À l'inverse, l'anticipation positive de faire plaisir au dominant renforce le lien entre les deux partenaires. L'idéal serait d'amener le soumis à développer son propre discernement et son auto-jugement, afin qu'il puisse grandir à travers cette relation.

Pour cela, le renforcement positif est crucial. Il s'agit de récompenser le soumis de manière à stimuler une réaction positive dans son cerveau. Cependant, il est essentiel de comprendre ce qui constitue une véritable récompense pour lui, car ce qui est gratifiant pour l'un peut ne pas l'être pour l'autre.
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Sujet: Sodomie
Dame Nathalia
#17
100ciel a dit...

Bonsoir,
En préambule même si les initiés le savent, cette parenthèse s’adresse aux moins initiés.
La sodomie demande quelques préliminaires comme le lavement, une formation anale pour certain/es selon la capacité a recevoir et les objectifs (simple sodomie ou fist) et bien sur du lubrifiant adapté a la circonstance.
Ne pas oublier le préservatif bien entendu si la personne active et méconnue de vos services et sévices.
Sourire.
D’un point de vu général il peut s’agir d’un acte sexuel dont le but est d’atteindre la jouissance du passif et/ou de l’actif s’il est un homme ( a moins que certaines femmes puissent avoir un orgasme au travers de la personne sodomisé).
Le contexte, la préparation, le mental sont facteurs de réussites.
Il peut aussi s’agir d’un travail de dilatation progressif et régulier dont le but et d’augmenter l’ouverture de l’anus afin de pouvoir pratiquer le fisting mais pour cela la formation anale quotidienne a l’aide de plugs et fortement recommandé, le lubrifiant aussi.
Quoiqu’il en soit la sodomie est un plaisir sexuel et consensuel.
Loin d être humiliante selon moi la sodomie peut donner trois plaisirs différents : deux plaisirs physiques et un plaisir mental.
Le premier plaisir physique c’est la stimulation de la prostate comme évoqué par d’ autres personnes sur ce fil de discussion.
Un plaisir qui peut amener ou pas a une érection du passif, au pré-cum aussi.
Tout cela dépend bien sur de l’art et de la manière dont c’est pratiqué.
Le second plaisir est lié à la zone érogène qu’est l’anus, ce dernier étant constitué de nerfs multiples ( beaucoup plus nombreux chez l’homme que chez la femme) selon mes lectures…
Enfin le troisième, le plaisir mental, celui d’être soumis, l’ anus offert a disposition de la personne active.
Les yeux bandés ou pas, des entraves corporelles ou pas, de la cire pour en détourner l’attention, un massage, être féminiser selon les fétiches …
Je m’égare.
Concernant l’acte en lui même et selon mon expérience, j’ai pu pratiquer la pénétration anale avec un homme (dominant) et une femme (dominatrice).
Un acte finalement commun pour deux ressentis différents.
Ces deux cas ne sont pas une généralité mais bien deux expériences qui sont miennes.
Dans le cadre d’une pratique homosexuelle la pénétration est progressive avec des va et vient que seul un actif (homme) peut ressentir et interpréter.
Comme chez la femme, le sexe de l’homme cherchant à stimuler le point G, dans ce cas de figure il s’agit de stimuler le point P ( pas celui qui vend les matériaux) mais bien celui de la prostate.
Sourire.
Un autre facteur entre en jeu aussi, celui de la post éjaculation du membre actif que l’on sent grossir avant de sentir la semence se répandre.
La sodomie hétérosexuelle selon mon expérience (une seule fois a mon actif) est plus cérébrale, davantage dans la préparation, les préliminaires, une forme de sensualité je crois, une recherche peut être moins égoïste face au plaisir.
Même si l’animalité peut être sous jacente…
De toute évidence la sodomie détend les mœurs…
Sourire.


Bonsoir,
Votre remarque m'interpelle, il est vrai que je ne m'étais jamais posé la question sur ce qu'un mec peut ressentir quand on le gode, suivant si c'est un homme, doté de son membre viril, ou si c'est une femme avec son gode-ceinture en plastique, bien souvent..
Je pense effectivement que les deux sont totalement différent, et que le soumis fisté y voit deux plaisirs différents.
A méditer...
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