Effectivement, toutes les précisions ont déjà été apportées soit dans le récit initial soit via mes commentaires.Merci Munartis pour votre questionnement malgré tout.Je comprends que cette expérience interroge, gêne voire choque : mais tout fut très clairement établi avant. Comment les hommes pouvaient être sûrs du consentement de la "proie" pour vivre une telle situation ? Il y a eu une part de confiance des supposés agresseurs tant pour la vidéo qu'à travers nous également : ils nous ont fait confiance sur le scénario de l'acte, et nous leur avons fait confiance pour ne pas dépasser "nos" limites, comme je l'ai déjà précisé.Une mise en scène extrême certes, pour réaliser le fantasme de Sylva, avec des prises de risques, oui.Le referions- nous aujourd'hui ? Oui, je pense, car comme l'a souligné Mental avec justesse, aucun amalgame n'est à faire avec l'affaire Mazan ou avec toute autre maltraitance violente contre des femmes ou des hommes victimes d'abus. C'est essentiel de bien comprendre cela sans mélanger la colère légitimement ressentie sur des crimes de viol et la scénarisation d'un fantasme d'une jeune femme bien dans ses baskets.
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