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Je conçois que dans une relation D/s il puisse y avoir un intérêt (réciproque) à renommer la soumise (ou le soumis).
Pour moi, en tant qu’ « esclave », je n’en ai jamais éprouvé le besoin.
Quand nous sortons, au restau, au ciné, au théâtre, avec les autres, amis, famille, je suis Laure et lui Maxime.
Dans l’intimité, je n’ai pas de nom : je suis son esclave, sa chose, un objet sexuel animé qu’Il utilise pour son plaisir.
Et on ne nomme pas un objet, on le désigne.
Selon son humeur du moment je suis « pute », « chienne », « esclave », « salope » ou simplement « L » et Lui, « Maitre » ou « Seigneur ».
Et j’aime qu’il me désigne ainsi, comme sa chose.
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