Dans le cadre d'une relation BDSM basée sur la domination et la soumission (D/s), il est vrai que le rôle du dominant (ou maître) implique souvent de décider des punitions appropriées pour le soumis (ou soumise). Cependant, cette dynamique est beaucoup plus nuancée et est établie sur une fondation de consentement mutuel, de communication et de confiance. Voici quelques éléments à considérer :

  1. Consentement : Le consentement est fondamental dans toute relation D/s. Avant de s'engager dans une quelconque forme de jeu BDSM, les parties doivent discuter et consentir explicitement aux différents types de jeu, y compris aux punitions qui peuvent être impliquées.

  2. Communication Ouverte : Il est vital que les deux parties communiquent ouvertement sur leurs limites, leurs désirs et leurs besoins. Cela inclut des discussions sur les types de punitions qui sont acceptables et sur celles qui ne le sont pas.

  3. Contrat : Dans certaines relations D/s, les parties établissent un "contrat" écrit qui détaille les termes de la relation, y compris les types de punitions qui peuvent être utilisées. Cela crée une structure claire et des limites prédéfinies.

  4. Sécurité Physique et Émotionnelle : La sécurité doit toujours être une priorité. Les punitions ne devraient jamais mettre la santé physique ou émotionnelle du soumis en danger.

  5. Safe Word (Mot de Sécurité) : Les parties peuvent convenir d'un "safe word" ou d'un signal non verbal qui, lorsqu'il est exprimé, met immédiatement fin à toute activité.

  6. Aftercare (Soins après jeu) : Après une séance de jeu, y compris les scènes impliquant la punition, il est essentiel de prendre le temps de se reconnecter et de s'occuper du bien-être émotionnel et physique de chaque participant.

  7. Réévaluation : Les relations D/s ne sont pas statiques. Les parties doivent régulièrement réévaluer les termes de leur relation et ajuster en conséquence.

  8. Respect des Limites : Le dominant doit respecter les limites prédéfinies du soumis. Ignorer ces limites est un abus de confiance et peut être traumatisant pour le soumis.


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Maxime distingue les punitions, qui correspondent au châtiment d’un comportement, d’une attitude ... qu’il juge déplacé des sévices, coups, qu’il est en droit a tout moment de m’infliger parce que mon corps lui appartient et qu’il est en droit d’en user à sa guise, sans justification autre que l’excitation que ça lui (nous) procure, tout simplement parce que lui « appartiens ».
En matière de punition, c’est lui seul qui décide, si je dois être punie, pour quoi et comment.
Nous avons « ritualisé » mes punitions. Je dois me prosterner devant lui, nue, sans entrave, pour subir librement le châtiment qu’il aura décidé. Selon la nature et la gravité de ma « faute », ce sera le ceinturon, la cravache ou la badine, sur le dos, éventuellement les seins et le sexe, à charge pour lui de décider.
A l’issue de la punition, je dois embrasser son sexe ou l’emplacement de celui-ci, pour le remercier de m’aider à me corriger.
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