Viols, abus.. quand le BDSM dérape

Bonjour eneidem,Je vais juste vous donner deux exemples... le 1er se déroule un soir dans un club à Paris que je ne citerai pas...une soirée pour débutantes parait-il... dans une alcôve un siège de gynéco ancien modèle a été installée et homme se dit fisteur réputé... Une jeune femme tentée pose ses pieds dans les étriers en disant "je n'ai jamais fait je suis douillette" et le fisteur commence...à forcer comme une brute. je surveille de loin et j'interviens de façon ferme lorsque je vois des traces de sang...lui est ivre de folie Elle est ravagée par la douleur...elle finira aux urgences de l'hôtel Dieu. A aucun moment elle n'a prononcé de safewordJ'ai porté plainte contre cet homme et au commissariat on m'a dit "Monsieur vu l'endroit où cela s'est passé on enregistre pas ça se retournerai contre vous...!Comme le dit Némésis la responsabilité pleine et entière repose sur les épaules du Dom...et je rajoute toujours "un Dom a des devoirs une soumise a des droits"le 2ème exemple se déroule avec Ma Princesse soumise : Elle a un passé d'enfant battue. Un jour bien après notre mariage, j'achète un stick de dressage (puisqu'en plus je suis cavalier il me sert sur les paddock)Ce jour là Kelly veut tester le stick...enfin Elle fait tout ce qu'il faut pour... Nous convenons dans notre séance de finir par 6 coups de stick. au 6ème je m'arrête pour lui montrer toute l'affection et la reconnaissance que j'ai dans le don qu'Elle me fait...et là Elle me dit..."un 7ème s'il vous plait Maître"... "tu es sûre...," "OUI je le veux pour Moi.."Pendant notre long "after"... nous avons échangé et Elle m'a confié avoir joui sur ce 7ème coup.Pour moi tout est dit : je pose une barrière ferme et infranchissable par le Dom sur les limites de la soumise sauf si la soumise en fait la demande explicite. C'est pour moi la frontière entre le BDSM et le viol. Après si on dépasse la ligne rouge ON ASSUME...