daniela_soumise
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Je me souviens d'une adorable apprentie coiffeuse trans à Toulon il y a très longtemps.
J'avais autour de 18 ans et elle la vingtaine et était en cour de transition.
Mon Maître, gérant de sex-shop, m'avait entraîné chez elle très tôt dans la mâtiné, peu avant l'ouverture, tenue en laisse, munie d'un collier de chienne en acier chromé, dans ma robe de viscose bleu à poix blancs, perchée sur mes bottines vernies à talons aiguille, un plug rose bonbon coincé entre les fesses, l'anus encore dégoulinant après m'avoir baisé toute la nuit sous les yeux de ses amis invités pour l'occasion, alors que j'étais solidement emballée, marinant de transpiration sur son lit depuis des heures.
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Une fois à l'intérieur du salon,
il m'a ordonné de retirer ma robe pour rester en bas résilles, porte-jarretelles et soutien-gorge noirs en dentelles, avant de me scotcher sur son siège de travail et me bâillonner, puis de me recouvrir d'une blouse en plastique transparent à pois noirs.
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Elle m'a ensuite shampouiné puis teint les cheveux en noir geais (bleuté), puis fait une permanente avec rouleaux avant de me mettre un casque chauffant sur la tête au fond du magasin, dos à la rue, tout en remplaçant mon plug par un vibromasseur.
Celui ci fut maintenu en marche durant des heures, n'étant retiré tout au long de la journée que pour en changer les batteries dès qu'il cessait de ronronner.
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Son patron est ensuite venue lever le rideau pour l'ouverture tandis que les premières clientes arrivaient pour se faire coiffer.
J'ai du rester ainsi toute la journée, même une fois la permanente terminée, le casque en position, jusqu'à la fermeture de la boutique où la mignonne coiffeuse et son patron m'ont forcé à le sucer en remplaçant l'adhésif qui m’empêchait de parler par un bâillon écarteur, tandis qu'elle me godait et me branlait en même temps.
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J'ai ensuite été libérée à la nuit tombée de mes entraves et du bâillon qui maintenait ma bouche prête à l'usage, pour me remaquiller, remettre ma robe et les suivre dans leur véhicule jusqu'à la maison de mon Maître pour qu'il m'emballe à nouveau mais cette fois sans recouvrir mon visage encore poisseux de sperme, à fin de le laisser me prendre en photos, menaçant malicieusement, de les montrer à ma famille si je tardais à revenir lui servir de sac-à-foutre à lui et ses amis dès qu'il m'inviterait à nouveau à le rejoindre.
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Nous avons bien déliré ensemble durant des mois, jusqu'à ce que le service militaire m'appelant, j'ai dû l'abandonner bien malgré moi et lui de trouver une nouvelle soumise pendant ce temps mais je n'ai hélas jamais réussi à récupérer les dites photos ni même en obtenir des doubles, ce qui m'aurait bien plu, pour me souvenir du temps où j'étais encore assez excitante pour susciter les désirs les plus délicieusement pervers.
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Si d'aventure vous êtes coiffeuse ou tenez un salon,
et que par chance, vous appréciez le BDSM, sachez que je serais ravie de revivre ce genre d'expériences si excitantes avec vous.
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Au plaisir de vous lire,
daniela pour vous servir. ;-)
Dernière modification le 08/04/2018 19:59:06 par daniela_soumise.
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