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Vaste sujet. Et à voir les post qu’il suscite, chacun a visiblement sa propre perception des choses.
Pour ma part, je définirai la cérébralité, dans un contexte bdsm, comme la faculté de prendre du recul et d’intellectualiser ce que l’on ressent, au moment où on le ressent.
C’est souvent plus fréquent chez les femmes (et les soumises) que chez les mecs (dominants).
N’y voyez, Messieurs, aucun jugement de valeur. C’est plus facile de prendre du recul quand on subit (volontairement) vos assauts que lorsque l’on agit et cela tient aussi à vos caractéristiques physiques et votre rapport au sexe.
A Chen, Tindalos et Dumuzy, je n’aime pas beaucoup le terme « primal » et ses connotations psy. Même si l’époque est au vocabulaire « politiquement correct » et que primal est sans doute plus acceptable que bestialité, parler de bestialité ne me choque pas. Au contraire.
Et pour ma part, j’apprécie ce comportement chez Maxime lorsqu’il me possède et qu’il se laisse conduire par ses pulsions du moment, à « ses instincts de soudard, abuseur, violeur » en m’utilisant pour les assouvir.
A Miss Lou. D’accord avec vous sur le fait que la cérébralité est une composante essentielle dans la relation D/s, où la contextualisation est décisive. C’est sans doute moins vrai dans les relations sm, où le volet physique est plus important.
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