Mes textes

Petite histoire que j'avais envoyé à une jeune soumise novice pour la titiller.Tu es là nue devant le miroir. Je suis derrière toi et t observe au dessus de ton épaule. Je passe ma main et la pose sur ton ventre. Ta peau est douce et chaude. Je remonte en faisant glisser mes ongles. Je prends un sein à pleine main. Je prends le téton entre mes doigts et le fait glisser et le pince. Celui ci durci aussitôt et ton corps se couvre de frissons. Je passe à l autre sein qui subit le même traitement.Mon autre main vient se poser sur ton bas ventre et glisse doucement vers le bas. Je sens ton corps se tendre. Ta respiration devient haletante. Mes doigts arrivent sur tes lèvres humides. Je glisse un doigt en toi pour écarter les lèvres, prends de la mouille et je remonte vers ton clito que je travaille en même temps qu un téton. Je te sens tremblotante. Je vois dans le miroir que tu as fermé les yeux et que tu as entrouvert les lèvres.J'aime le dessin de tes lèvres, elles sont parfaites pour m'embrasser sur chaque partie de mon corps. Je continue de te masturber pendant que de mon autre main, qui a eu du mal à quitter cette poitrine parfaite, je retire ma ceinture. Je la manipule pour faire courir le cuir sur ton dos, ton cou et je continue sur le devant. J'arrête de te masturber.- mets tes mains dans le dos.Tu t exécutes tout de suite. J'attache tes mains avec la ceinture. Je me dirige vers mon sac et sors quelque chose. En me retournant j'aperçois que tu essayais de voir ce que je prenais. Je fais style de rien et reviens toi. J'attrape tes fesses à pleine main et approche ma bouche de ton oreille et dis :- la curiosité est un vilain défaut.Ma main claque tes fesses et tu pousses un cri.- oui Mon Maître.- écarte les jambes.Tu te positionnes, je me mets devant toi, et je repose ma main entre tes cuisses. Je rentre un doigt, puis deux et enfin trois. Je vais de plus en plus vite. Je fais bouger mes doigts en toi. Ta mouille coule et inonde ma main. Je me met à genoux et je mord ton ventre. Je retire mes doigts et tu sens quelque chose entrer en toi, tu comprends ce que je suis allé chercher dans le sac, un vibro. Je le rentre au plus profond et ne bouge plus.- je t interdis de jouir.Je met en route le vibro et commence à te travailler. Parfois doucement parfois rapidement, parfois profondément parfois juste au bord, ton corps tremble tu respires de plus en plus fort. Tu te mords les lèvres pour pas succomber et d'un coup un jet de mouille coule jusqu'au sol et je t'entend jouir malgré que tu essayes de garder la bouche fermée. J'arrête le vibro et le retire de ton corps. Tu as tes jambes en coton, tu es rempli de spasmes de la jouissance. Je détache tes mains et retourne vers mon sac. - va te mettre en position de levrette sur le lit.Je me dirige vers le lit et vois ce magnifique cul. Je vois les marques de mes doigts encore bien rouges. - as tu joui?- oui Mon Maître.- avais tu le droit ?- non Mon Maître.À peine avais tu fini ta phrase que tu ressens une douleur à tes fesses. Cette douleur se répéta 2 fois. Tu as des larmes aux yeux. Tu savais qu'il n'aura pas d'autre coup de cravache. Jamais plus de 3.Je regarde mon œuvre tout en me déshabillant. Une fois nu, je viens placer mon gland à l'entrée de ton sexe et je rentre doucement, tout doucement. Je sens ton sexe me happer, la chaleur de ton corps, l humidité de ton sexe, je profite de cet instant de délice de possession. Je commence mes va et viens sans me presser. Nos corps s'accordent au rythme, notre désir et plaisir montent. Mais tu as déjà joui alors que tu n'avais pas le droit. Je me retire de toi et m'allonge. Tu attends sagement et je regarde ce magnifique corps qui est miens avec beaucoup de plaisir et d'envie.- finis moi.Tu te tournes afin de me prendre en bouche tout en mettant tes fesses à la portée de mes mains comme je te l'ai appris. Tu me suces divinement bien mon gland rempli de ta mouille. Instinctivement mes doigts se portent à ton sexe et j humidifie mes doigts, j étale la mouille sur ta rondelle et je rentre un doigt dans ton cul. Je le bouge pendant que ta langue et tes lèvres me remplissent de plaisir.Je joui d'un coup avec force et rempli ta bouche de semence. Tu avales tout et continu de me lécher pour me nettoyer. Je retire mon doigt, tu te lèves et va chercher un coton humide dans la salle de bain, tu reviens me nettoyer le doigt. Après avoir déposé le coton tu viens t allonger à côté de moi. J'ouvre mes bras et tu viens te lover contre moi. J'apprécie aussi ces instants l'un contre l'autre.

Petite femme des temps modernes,Tu te promènes dans les ruelles ternes,Un sourire éclaire ton visage encore enfantin,Heureuse d’aller rejoindre tes copains.Petite femme de la citée,Du monde entier tu te sens mal aimé,Malgré ton jeune âge tu traînes avec entrain,Te sentant en sécurité dans ta bande de copains.Ou vas-tu si loin de chez toi ?La vie est dangereuse pour les angesTe crois tu si forte hors de ton toit ?Le monde est rempli de gens étrangesPetite dame en colère contre tes parents,Grandir et t’affirmer, tu penses qu’il est temps,Tu n’écoutes plus les conseils ni les interdictions,Tu veux être avec eux, avec lui sans restrictions.Petite dame incomprise par ta famille.Tu rêves d’un monde nouveau ou rien ne part en vrille,Prête à tout donner pour voir ton souhait se réaliser,Avec eux, avec lui tu es préparée à tout excuser.Ou vas-tu si loin de chez toi ?La vie est dangereuse pour les angesTe crois tu si forte hors de ton toit ?Le monde est rempli de gens étrangesPetite mademoiselle sûre de tes choix,Après une dispute tu as prit ta voie,Ne supportant plus la discrimination de tes amis,Tu t’es enfui pour pouvoir vivre avec lui.Petite mademoiselle victime du destin,On te retrouvera dés le lendemain,Ta confiance en eux en lui, tu avais donné,Pourtant ils t’ont violé et tué.Ou vas-tu si loin de chez toi ?Te voilà dorénavant un angeTe crois tu si forte hors de ton toit ?Le paradis sera pour toi un monde étrange

Bonjour, vous pouvez proposer vos textes dans la section articles, ça leur évitera de disparaître dans les tréfonds du forum...

Si vous le voulez, pas de soucis

Oh, moi je ne veux rien, c'est vous qui voyez ce que vous voulez faire de vos écrits...