Pour compléter le propos de Lady Spencer et de Lady Hydre, et ne parlant de ce que je connais, moi et mon Maitre, dans ces interactions complexes, entre Dom/Maitre(se) et soumis(e)/esclave, c’est nous, soumis(e)s/esclaves qui avons paradoxalement la posture la plus confortable. Dès lors que cette confiance s’est établie, nous n’avons qu’à nous abandonner alors que lui/elle doit demeurer en permanence aux aguets, pour adapter son comportement à notre manière de réagir. Cette connaissance, cette volonté de compréhension intime du(de la) soumise/esclave est la condition nécessaire d’une relation où chacun trouvera son équilibre et son plaisir. A l’époque où j’ai rencontré Maxime, j’étais en quête de ce que je pratiquais alors, un plan cul pour satisfaire à mes désirs. Ce mois qu’il a passé a me questionner, par mail, par courrier que nous échangions (je les ai toutes gardées, évidemment), lors de nos conversations téléphoniques, m’a paru interminable.Aujourd’hui je lui suis reconnaissante de me (de nous) l’avoir imposé. C’est ce qui a rendu magique notre relation dès la première rencontre « en vrai ».
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