Le pouvoir de reprendre sa liberté étant le pouvoir de mettre fin à la relation, je suis du camp de ceux qui pensent que, ultimement, c'est la personne soumise qui détient le véritable pouvoir dans la relation. Si elle n'est pas satisfaite des services/sévices de la personne dominante, elle s'en ira.Je suis un adepte des pratiques "forcées", des contraintes, mais je sais pertinemment qu'au-delà du jeu du transfert de pouvoir, si on se place d'un point de vue méta-relationnel, ces contraintes ne doivent l'être que dans le cadre consensuel défini d'un commun accord ; c'est d'ailleurs toujours un moment bancal, je trouve, la check-list, ça fait un peu liste de courses un peu glauque au milieu du plaisir de faire connaissance.
Soyez la première personne à aimer.