Cher apprentiesclave.je vous rejoins sur beaucoup de points, une relation BDSM n'est pas fondamentalement différente d'une relation "vanille".In fine, ça reste une relation entre deux individus, avec certaines spécificités en matière érotico-sexuelles.Par contre, et précisément en raison de ces "spécificités" (dans le cadre d'une relation suivie, s'entend, s'il ne s'agit que d'un plan d'un soir, la question ne se pose pas dans les mêmes termes), les notions de confiance, de dialogue, de désir sont plus importantes dans une relation bdsm que dans un cadre "vanille".S' "offrir" pour un ou une esclave à un Maître ou une Maîtresse n'est pas juste baiser avec un mec ou une fille. Cela touche à notre intimité, à ce que nous sommes, à notre être profond.Ceux ou celles qui "jouent" avec des soumis, a fortiori des esclaves ne méritent pas leur place parmi nous.Concernant les "codes", les règles et les pratiques, il y en a, cela fait partie du BDSM.Mais il ne s'agit pas de règles intangibles. Pour ma part, j'ai toujours pensé que c'était à chacun, avec l'autre, de définir e propres règles, codes et rituels.Quant à l'égalité, existe-t-elle vraiment, même dans le monde vanille ? Quoi qu'il en soit, mais là encore ce n'est que mon point de vue, dans une relation Maître/esclave, je ne pense pas qu'il y ait pas place pour une notion d'égalité.Comme esclave, je me vois, je me veux inférieure à mon Maître. Mais seulement dans nos relations intimes.En dehors de ce cadre, nous avons, même esclaves, droit au respect de la part de ceux qui nous dominent dans la vie privée.Un dernier mot : ce n'est pas parce que vos désirs vous poussent à la soumission aux femmes que vous vous devez d'être "humble".Alors, de grâce, évitez de signer "humblement" et soyez fier de ce que vous êtes.Comme nous tous ici, dom ou soumis(s), Maître(sse)s ou esclave(s).
2 personnes aiment ça.