Cher Tindalos, Vous n’êtes pas le seul à être « tiraillé » de la sorte. Et il y a souvent un fond de vérité dans la psychologie de comptoir. Je n’ai jamais été attirée, pour ma part, par les « winners »ou autres golden boys, mais cette image de la virilité traditionnelle, je la « traîne » moi aussi comme un atavisme. Pas dans ma vie sociale ou professionnelle mais clairement dans mon rapport à l’homme lorsqu’il est question de sexe. Et si je n’aime pas le terme caricatural, ce besoin que je ressens de m’inscrire dans mes relations intimes au hommes dans un rapport soumise/dominant relève sans doute de cela, cette recherche d’une hyper-virilité de la part de celui qui me « possède ». Comme si, au fur et à mesure que nous avançons dans l’égalité hommes/femmes, certaines, moi en tout cas, éprouvaient le besoin, dans la sphère intime, de se raccrocher à l’image traditionnelle de l’homme, du mec, du Mâle, qu’on retrouve si bien dans le texte que vous citez. Merci pour votre témoignage.
Soyez la première personne à aimer.