Sujet dont on a parlé il y a peu. Pour moi si le soumis / la soumise est capable de tout faire pour sa ou son maître.sse, il appartient à celui-ci de ne pas tout lui demander. L’esclavage bdsm n’a rien à voir pour moi avec l’esclavage au sens des sombres période de notre histoire.Et, malgré la foudre que je peux recevoir ici, une personne soumise désirant l’esclavage en ce dernier sens n’est pour moi qu’une personne ayant développé un trouble de l’attachement et un besoin maladif de dépendre du fait de son histoire propre, souvent avec une dimension autodestructrice, cachée sous l’illusion d’un bdsm consenti. Le bdsm a bon dos pour cacher des problématiques personnelles qui nécessiteraient des soins psychologiques notamment sur l’estime de soi, le respect de soi, la dépendance affective, l’autonomie de la personnalité etc.Pour moi le consentement donné est noircit par l’incapacité psychique à prendre LA bonne décision. Évidemment, je conçois que certain.es soit disant puristes du « vrai bdsm » me disent intolérante et me considère comme une très mauvaise soumise (c'est moche...), mais comme toute atteinte irréversible ou comme toute destruction psychique cela n’est pas digne d’être du bdsm. Juste l’expression de perversions qui n’ont pas la place dans un bdsm d’épanouissement et de bienveillance. Ce n’est que mon avis.
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