zig63
#0
Vous pouvez cliquer sur ce lien, ce n'est évidemment pas un virus^^.
Il explique le consentement.
https://nawajutsu.fr/consentement-oui-non-peut-etre/
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électron libre
#1
Pas peur suis sous linux :-)
J'ai pas tout compris mais intéressant
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zig63
#2
Sous linux aussi^^. J'avais un W 10 qui plantait sans cesse. là, plus de problèmes^^.
Tu n'as pas tout compris? Très simple en fait. Tu peux te faire le tortionnaire d'un(e) maso à sa demande express si rien ne fait apparaître que ce dernier est un débile profond, pas capable de réfléchir.
Putain moi et les synthèses :joy:
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#3
il explique pas justement, il pose des questions...
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zig63
#4
Ce que je lis c'est que si les acteurs sont d'accord sur un procédé, que la séance a pour structure un échange pour que chacun sache, en âme et conscience, à quoi il s'engage, c'est open bar.
Non?
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#5
Attention, l'article part d'un jugement européen disant que si les partenaires pratiques dans le cadre d'un consentement éclairé, tout va bien.
Mais quand tout le monde est content, on ne se retrouve pas au tribunal en général, sauf dans le cas d'une accusation par une tierce personne.
De plus, la notion de consentement éclairé est parfois subtile.
En gros, je rencontre quelqu'un demain... Cette personne me dit qu'elle aime l'impact... Génial.
On discute, on s'entend bien, on décide de passer à la pratique. Au cours des discussions, je la convainc de tester le fouet qu'elle ne connait.
Si la séance se passe mal, je ne pourrais probablement pas me réfugier derrière le consentement. En effet, elle n'avait aucune connaissances autre que ce que je lui ai dit et ce consentement n'est donc pas éclairé. D'autant que j'ai pu la manipuler en affirmant commencer en douceur, la chauffer progressivement, gagner sa confiance...
De plus, en France, le droit à disposer de son corps autorise une personne a se laisser faire, mais pas un sadique à pratiquer. Si la personne va déposer plainte, même un contrat écrit ne nous protégera pas, justement parce qu'on partira du postulat que la victime a été manipulée pour qu'elle accepte des choses dont elle ne mesurait pas l'ampleur.
C'est donc loin d'être openbar, et lieux vaut être méfiant et attentif.
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Je confirme.
La jurisprudence de la CEDH est en la matière plus "tolérante" que le droit positif français, pour qui le consentement peut-être une circonstance atténuante mais non pas exonérante, en l'état actuel du droit.
Cela étant, la dernière fois, de mémoire, que la Cour de Cass a eu à se prononcer sur le sado masochisme, c'était en 2009.
Et elle avait posé alors comme limite que "si une personne peut revendiquer le droit d’exercer des pratiques sexuelles le plus librement possible, une limite qui doit trouver application est celle du respect de la volonté de la victime de ses pratiques dont le propre droit au libre choix quant aux modalités d’exercice de sa sexualité doit aussi être garantie".
Pour conclure, dans le cas qui lui était soumis, que "ceci implique que les pratiques se déroulent dans des conditions qui permettent un tel respect ce qui ne fut pas le cas."
Mais aujourd'hui, la Cour de Cass a tendance à appliquer strictement la jurisprudence de la CEDH.
Bref, si un nouveau cas lui était soumis, on ne sait pas trop (encore) comment elle statuerait.
Ce qui est clair en tout cas, c'est la nécessité absolue du consentement et que pour la CEDH les Etats n'ont pas à se mêler de morale sexuelle.
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zig63
#7
Merci @oneiros,
Je pense qu'il est judicieux d'avoir pas mal de traces écrites, via les échanges sur les fofos (MP) et ailleurs (courriels par exemple) afin de pouvoir démontrer que la personne était "éclairée".
Il va sans dire que je ne blesse pas les gens et je ne manipule pas non plus, je suis pas con, j'aime les jeux sains.
En fait, pour simplifier : Pour avoir pratiqué en couple (Madame et moi qui dominions), on faisait gaffe aux supers masos qui voulaient être marqués à vie...mais ne pas avoir mal. (ce n'est pas une boutade malheureusement). Juste ce "bémol", par écrit, change la donne.
Pour l'intégralité de ton post, j'admets que l'on marche sur des œufs quand on veut jouer avec des gens qui viennent de nulle part.
@FemmeFemelleEsclave, c'est ça. Maintenant, la prétendue victime peut toujours dire "je ne savais pas en fait"
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#8
Tout va bien si vous respecte les limites fixées par le soum. Quand il ne connaît pas certaines pratiques au Dom d être prudent, il faut toujours être prudent, oui on peu facilement parler de personne sous influence donc il faut toujours être responsable et respectueux
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