Bonjour.Le rapport au sexe, c'est surtout une question d'éducation et d'auto-discipline... indépendamment du genre. J'ai vu suffisamment de nana "griller un fusible" devant deux biscoteaux et un beau sourire pour comprendre que le sexe n'est pas un critère qui suffit à expliquer l'assujettissement au désir. Que le sexe soit un but en soit... heu... on a les buts qu'on est capable de se donner?Pour mes deux cents; cette prédominance de l'aspect sexuel dans les rapport intimes c'est ultra frustrant, car ça pose une barrière qui chez certains est une muraille de Chine. Mais je suis peut être un cas à part; puisque mon mode par défaut, c'est la répulsion physique tant que ne s'est instauré une relation respectueuse, égalitaire et constructive.Je partage actuellement mon quotidien avec une soumise; et n'étant pas d'une libido débordante, je suis content qu'elle puisse s'épanouir avec d'autres doms quand son appétit dépasse ma capacité à la satisfaire pleinement... à côté de ça, je pense que je lui apporte certaines choses pour lesquelles une relation ayant pour finalité le sexe se montre très insuffisante... et j'veux pas dire, mais ça rend la vie plus riche et ça fait la différence.J'ai des ressentis beaucoup plus forts et complexes avec mes mains qu'avec ma queue... et la possibilité de prendre beaucoup de plaisir en cheminant dans des abstractions ou en savourant un contexte, une idée... donc à choisir, c'est vite vu. Je mets ma main au feu que d'autres se reconnaîtront au moins en partie dans ces propos doms ou soumis.En BDSM, la sexualité esthétisée, maîtrisée, sublimée devient tout de suite plus acceptable car elle permet un exutoire à nos pulsions tout en échappant à ça:

2 personnes aiment ça.