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unforgiven
#3
Je poursuis parce que j'aime bien l'exercice [mode vexé on] même si j'ai l'impression que tous le monde s'en fout :p XD [mode vexé off]
Le maître de la maîtresse.
Par commodité, on va dire qu'elle se nomme Claire. Claire est une belle femme, juste 40 ans, célibataire sans enfant. Elle est blonde, les yeux bleu, un beau visage, un côté bohème-chic, mais distinguée. Dans la vie, elle est institutrice, et quelque chose me dit que il doit y avoir pas mal de papas qui vont chercher leurs enfants à l'école là où elle travaille, en tous cas plus que dans d'autres écoles. C'est vrai que quand on la voit dans ses jeans moulants, son gilet écru... Il y a un quelque chose de très excitant à s'imaginer au lit avec une femme d'apparence aussi sage.
C'est la première fois que je viens chez elle, même si nous avons déjà couché ensemble plusieurs fois (elle a emménagé il y a peu, les travaux sont tout juste terminés et elle voulait que ce soit parfait avant de recevoir des visites). Lors de nos ébats, j'ai senti chez elle un joli potentiel pour la soumission : elle aime être prise en levrette avec force et vigueur, se faire agripper les fesses (voire claquer), tirer doucement les cheveux (je fais comme pour de les caresser, mais j'y vais plus fort...). Peu à peu, on s'est écarté de la baise papa-maman pour s'adonner à des choses plus sauvages, mais sans pour autant mettre cartes sur table.
Nous sommes chez elle donc, nous prenons un verre dans le salon. Il y a vraiment beaucoup de livres chez elle, et nous discutons à bâtons rompus de nos auteurs préférés, de ce que nous aimons lire, et de quels auteurs doivent rester dans l'histoire de l'humanité et de quels autres peuvent être oubliés même si on aime bien lire leurs livres (et ce sont d'ailleurs ceux-la qu'on lit le plus elle et moi : Harlan Coben, Fred Vargas...).
Au bout d'un moment, je me lève pour examiner une bibliothèque et faire des commentaires sur ce que j'y trouve. Comme on a déjà bu plusieurs verres, on est francs et directs dans ce qu'on dit. C'est là que je tombe sur "50 nuances de gris". Je le sors des rayonnages, et le montre, assorti d'un petit commentaire sarcastique : "ho-ho ! Madame l'institutrice est une coquine dirais-t-on" !
-Ça ? Ho, c'est bête, et pas très bien écrit, tu sais, répond-t-elle.
-En attendant tu as les trois tomes !
-Oui, ça me faisait rire de les lire.
-Oui, oui, c'est ça... Appelle ça rire !
Elle rougit un peu, ce n'est pas l'alcool. Elle a un peu honte.
Je me rassoit. "Tu sais... Y a pas de honte à lire ça, ou même à être émoustillée. Quand on y pense, c'est plutôt le signe d'une avancée pour les femmes, la reconnaissance d'une sexualité complexe avec des fantasmes. Les hommes aussi ont une littérature pleine de sexe, et personne ne se moque. Pourtant c'est nul. T'as déjà lu un SAS ? C'est carrément naze ! Le mec arrive et craque, la fille tombe dans son plumard, et il l'a fait jouir avec des grand coups de sa brosse bite sans trop s'occuper d'elle finalement".
-"Non, j'en ai jamais lu, et là, tu ne me donne pas envie d'en lire" ! Elle rit. "J'ai discuté d.e '50 nuances' avec mes copines, de ce qu'elles en pensait, et ça les chauffe pas mal aussi. Il y en a même qui ont essayé ! Mais ce qu'elles trouvent toutes nul, c'est le côté godiche de l'héroïne. Elle est soumise au lit et dans la vie.
-Oui, vu sous cet angle, ce n'est pas un message aussi libérateur de ce que j'imaginais. Et dis-moi... Tu as essayé ce genre de trucs toi ?
-Pas vraiment... Je fantasme juste ! Elle rit. Elle est belle quand elle rit.
-Tu es resté bien sage alors finalement ! Plus que tes copines !
-Et oui !
-Et plus que moi...
-Elle me regarde avec la bouche ouverte, puis rit à nouveau : "ça m'étonne pas !"
-"Pourquoi ça ne t'étonne pas ?"
-"Je sais pas... T'es très gentil, tu sais être délicat, mais il y a aussi un côté ferme dans tes gestes, au lit... Tu aimes dominer je suis sûre ! "
"J'avoue, j'avoue, j'ai un peu d'expérience en la matière. En fait, les filles qui ont envie d'essayer ne sont pas rares tu sais".
-"J'imagine... J'imagine...".
- "Ça te dirait, à l'occasion de pimenter un peu le truc ?"
-"Pimenter comment ?"
-Bah des choses qui excitent mais qui sont facilement accessibles... Être attachée, les yeux bandées, des fessées... tu vois le truc".
- "Je sais pas... Pourquoi pas".
Cette réponse. Pour moi ça veut dire "oui, mais j'ose pas le dire".
J'y vais alors d'une citation plus ou moins issue de la série télé "Californication" : "on a tous quelque chose qui déclenche l'excitation chez nous. Si on admet que ces choses sont normales et qu'on arrête de les refouler, on se sent mieux dans la vie".
Elle me dit que j'ai raison. Je la sens un peu gêné et excitée tout à la fois. Elle me regarde en souriant, elle glousse, elle passe sa main dans ses cheveux. Elle enlève même ses chaussures pour montrer ses pieds aux ongles soigneusement vernis. Elle finit par étendre ses jambes par dessus les miennes sans demander la permission, avec sur la figure un petit air mutin. Je pense qu'elle a très envie de s'envoyer en l'air.
On discute de ça un moment, tout en continuant à boire. La conversation tourne autour des fantasmes et des expériences coquines. Finalement, au bout d'un moment, on finit par s'avouer que parler de tout ça nous excite tous les deux, et on se commence à passer à l'action, avec l'envie de mettre en application ce dont nous avons discuter. On se met d'accord pour un scénario à base de mains et de bras attachés, de soumission, de tapes sur les fesses, de parler cru. De la domination. Elle sera à mes ordres, mais il faudra tout de même que je prenne soins d'elle, que je fasse ce qu'il faut pour qu'elle prenne son pied. Parce que c'est quand même ça l'objectif, au bout du compte !
Que la fête commence ! J'emprunte sa salle de bain, puis je l'y envoie. La consigne est la suivante, elle doit être -très- clean, et se passer sur le corps un lait ou du parfum. Elle devra en ressortir non pas nue, mais revêtue de la culotte la plus provocante de sa garde-robe. Elle a le droit de mettre des bijoux, mais pas de boucles d'oreilles trop longues ou trop pendantes, c'est potentiellement dangereux pour la suite. Pendant ce temps, je préparerai la suite de la soirée. Pour ce faire, je lui emprunte quelques ceintures dans son placard, et un chiffon pris dans sa cuisine. Je trempe le chiffon dans l'eau froide, et je l'essore. Puis je vais m'asseoir sur le canapé du salon, où je l'attend.
Au bout d'un moment, elle revient, préparée. Elle est très belle, et très excitante : elle a pris l'initiative de mettre des bas noirs et des chaussures à talon. Elle a passé sur son bassin un string très échancrée. Je lui demande de faire un tour sur elle-même : c'est un string ficelle. Elle est silencieuse, j'imagine qu'elle est tout à la fois concentrée, impatiente, excitée, anxieuse.
"Dis-moi, lui dis-je, tu trouve vraiment que ta façon de marcher est adaptée à la situation ?
-Tu trouve que je devrais me déhancher plus ?
-Non. Mais tu es habillée comme une chienne. Les chiennes ça marche à quatre pattes. Mets-toi à quatre pattes !
Elle hésite un peu. J'insiste : à quatre pattes, j'ai dis ! Vite !
Elle le fait, un peu confuse. Ses joues rougisses.
C'est bien. Tu as compris les règles du jeu, c'est très bien. Je m'approche et je l'embrasse, sur les lèvres et dans le cou. Puis je la fais se mettre à plat ventre sur sa table basse, et à l'aide d'un long chèche pris dans le placard de son entrée, je lui attache les mains aux pieds de la table basse. La longueur du chèche me permet de l'entraver de telle façon qu'en le desserrant légèrement, je pourrais modifier sa position : elle sera soi sur le ventre, soi sur le dos.
- Alors comme ça tu as envie de sexe canaille ? D'être prise comme une bête. Comme une chienne. Comme la chienne que tu es au fond de toi. Tu fais bien de laisser ressortir cette chienne. C'est comme ça que tu es, dès que tu as le cul à l'air.
Ça la fait sourire. Immédiatement, le torchon humide fend l'air et s'abat sur ses fesses avec un bruit mat. Elle retient un petit cri, elle ne s'attendant pas à ça.
-C'est moi le chef, compris ? Toi, tu m'obéis. Sinon... Et je recommence avec le torchon. Tu vois ce qu t'attends ?
Et vlan!un nouveau cul sur le cul.
- Et plus tu seras insolente, plus tu seras punies.
Et je multiplie les coups de torchon sur son postérieur.
-T'as compris ?
-Oui.
-Oui qui ?
- Oui, maître.
-Voilà, c'est bien. Mais pour être certain que tu comprennes bien, je vais te faire un petit rappel. Et je lui administre un paire de fessées qui claquent. Ses fesses en restent rouge.
-Hou dit-elle, ça fait mail.
-C'est ce que tu voulais,non ?
-Oui, maître.
Et je recommence à lui donner des fessées. Puis je m'arrête, et je la masse délicatement. Les épaules, les jambes, le dos, les pieds. Je frictionne son corps avec de l'huile de massage. Elle sourit, elle me remercie. Avec une serviette, j'essuie l'excédent d'huile. Ensuite, je retire mon t-shirt et je la cingle avec, sur le dos, les bras, les fesses.
Je l'oblige à lécher mon torse, puis je me glisse derrière elle. J'écarte sans mal la ficelle -symbolique- de son string et je masse son sexe. Il est moite, et plus je masse, plus il devient humide. Puis, je me positionne au niveau de son visage, et je me mets à genoux pour être à la hauteur de sa bouche. Je retire ma ceinture, je dégrafe la braguette de mon jean.
-"Ouvre la bouche. Tu sais ce que tu va faire maintenant ?
-Oui.
Une claque sur la joue. "Oui qui ?"
-Oui maître.
-Tu vas faire quoi ?
- Je vais vous sucer.
Encore une claque. "recommence. Ta phrase n'est pas correcte".
-Je vais vous sucer, mettre".
-Voilà. Tu vas me sucer bien comme il faut. Avec tout ton cœur.
Et je m'enfonce dans sa bouche. Tout entier. Elle ne s'attendait pas à ça, clairement. Elle réprime un haut le cœur, je fais machine arrière immédiatement. Elle reprend son souffle, crache, tousse, halète.
-Doucement...
Une baffe.
-Doucement maître.
-Et ton code de sécurité ? (elle tient dans sa main droite une balle contenant un grelot à agiter si elle ne peut plus parler et que ça va trop loin).
-J'en étais pas là, maître.
-Très bien, alors j continue. N'hésite pas à saliver sur ma queue, ça te facilitera les choses.
Et je recommence à m'enfoncer dans sa bouche. Je l'attrape par les cheveux, et je viens dans sa bouche comme je le ferai dans son sexe. Je l'entends respirer par le nez alors de temps, je lui bouche le nez. Elle écarte alors un peu les lèvres pour respirer. Je presse donc son visage contre mon bas ventre. Elle lute comme elle peut pour se dégager, mais étant à plat ventre et les bras attachés, ce n'est pas évident pour elle. Je vois ses jambes qui s'agitent : elle essaye de continuer sans s'avouer vaincu, mais elle n'en peut plus : j'entends teinter le grelot. Je me dégage, elle tousse. Elle crache, elle a les yeux qui coulent. Elle respire comme quelqu'un qui aurait fait quatre longueurs de piscine sans respirer.
Je souris, et elle aussi.
-On recommence ?
-Oui, maître.
Et c'est reparti. On continue comme ça un petit moment. De temps en temps je interromps pour lui faire lécher mes couilles. Je sens le plaisir monter en moi, mais je n'ai pas envie de jouir tout de suite, alors je met un terme à ce jeu. Je desserre le chèche qui la maintient entravée, et je la retourne sur le dos, puis je serre à nouveau l'entrave. J'avance mon bassin au dessus de sa bouche, et je fais rentrer mes couilles en contact avec sa bouche. Elle a bien compris, elle se met à lécher. Je me penche en avant pour lui rendre la pareille. Puis je me dégage et je met mon sexe dans sa bouche. A nouveau je vais et je viens dans sa bouche. Dans cette position, je peux lui prendre la bouche et caresser sa chatte en même temps. Je vois ses jambes qui se raidissent devant la difficulté de ce que je lui impose. J'attrape sa gorge avec mes mains, et je serre, pendant que je continue mes vas et viens de plus en plus profondément. Je m'enfonce autant que je peux, je serre son cou plus fort. Ses jambes s'agitent. Elle lutte, mais elle me laisse continuer. Au bout de quelques secondes comme ça, la clochette teinte. J'arrête. Elle reprend son souffle et tourne la tête sur le côté pour cracher. Son maquillage coule.
-Tu t'es bien défendue. La cochonne qui est en toi s'est bien réveillée, c'est bien.
Elle sourit. Je lui tapote la joue, puis je vais chercher un mouchoir en papier que j'humidifie légèrement pour lui nettoyer le visage. Après quoi, je m'agenouille entre ses jambes. Son string, facilement écarté, est vraiment symbolique, il ne cache vraiment pas grand chose. A peine une petite touffe de poil taillée d'une façon charmante, et une vulve épilée avec soin, qui sent à la fois le savon et la cyprine. J'adore ! Son sexe est gonflé, rougeoyant, humide. Je pose ma bouche dessus, et je commence à l'embrasser à cet endroit. Puis ma langue se promène sur sa vulve et insiste sur son clitoris. Je le chatouille, l'aspire, le presse doucement mais fermement avec ma langue. Elle gémit. Ensuite, j'enfonce un doigts, puis deux, dans son vagin, et je continue mon manège avec ma langue. De ma main libre, je lui titille les seins. De temps en temps je cherche à lui faire du bien avec ses seins, mais de temps aussi je les pince plus fortement. Je la fais osciller ainsi entre plaisir et douleur. Puis je fais remonter cette main de sa poitrine vers sa gorge. Et je serre. De plus en plus fort. J'atteins même un niveau qui me surprend moi-même. J'arrête, puis je recommence. Jusqu'à ce qu'elle prononce le safe-word. Alors ma main remonte sur son visage, et mes doigts appuient sur sa bouche. Elle entrouvre les lèvres, et je glisse un doigts à l'intérieur. Puis un autre, puis trois, et bientôt quatre. Je ressort ma main, mes doigts sont pleins de salive. Alors, tout en continuant le cunnilingus que je lui administre, je redescend ma main de sa tête vers son bassin. Je constate que mon majeur est plein de sa salive, et cela me donne une idée : j'appuie avec sur son anus, puis je l'enfonce progressivement, doucement mais fermement, jusqu'au bout. Elle ne dit rien, mais je la sent qui se contracte. Je continue à la lécher, mais je ne bouge que les lois qui sont dans son vagin. Puis, doucement, je remonte le majeur qui est dans son anus pour exercer une pression en direction de son vagin. Elle se met à gémir très fort et rapidement, elle se tortille. Elle jouit en haletant. Elle se tortille, demande à ce que j'arrête; mais je continue un peu, elle n'a pas dit maître !
Je cesse finalement, et lui rappelle son erreur. Je lui gifle les seins. Ma main passe au raz de ses seins et heurte ses tétons.
Je la fais à nouveau changer de position : elle reste les mains et les bras attachés à la table basse, mais elle est maintenant à quatre pattes dessus, les fesses relevées. Je me positionne devant elle et lui ordonne de sucer mon sexe. Elle s'exécute docilement, consciencieusement. Puis je me mets derrière elle, je l'attrape par les hanche, et je m'enfonce en elle. Et je la baise. De toute mon énergie. J'y vais du plus fort que je peux. Elle crie. Je l'attrape par les cheveux, que je tire d'une main. Avec la main libre, je lui claque le cul aussi fort que je peux.
-T'aimes ça, être baisée comme ça ?
-Oui, maître.
-Alors dis-le. Demande-moi, supplie-moi de te baiser.
-Baisez-moi, maître, baisez-moi !
-T'es une chienne ? Une salope ? Dis-le !
-Oui maître, je suis une salope.
Je la pilonne encore et encore. La table basse grince. Les pieds du meuble se soulèvent au et retombent au rythme de mes coups de reins. Une pensée me travers l'esprit : que vont penser ses voisins ? Cela m'amuse de me dire qu'ils vont se dire que c'est une cochonne, mais qu'ils ne lui diront jamais. Qu'elle va éveiller de nombreux fantasmes dans l'immeuble.
Je lâche ses cheveux pour glisser mes doigts dans ses narines et tirer son nez vers le haut quelques secondes, puis je glisse à nouveau mes doigts dans sa bouche. Elle les suce comme elle ferait d'une queue.
-Tu voudrais avoir plusieurs bites à ta disposition en ce moment hein ? Cochonne !
Et vlan, je lui claque très fort le cul de mes deux mains. Je crache sur son trou du cul, et je glisse mon majeur à l'intérieur. Tout en continuant à la baiser en levrette, je fait vibrer rapidement mon majeur dans son cul.
J'augmente encore le rythme et la cadence. Elle déclare qu'elle va jouir à nouveau. Ce qui arrive au moment où je suis moi-même sur le point d'atteindre l'orgasme. Je me retire précipitamment et me positionne devant son visage. J'éjacule à grands jets sur son visage, en visant son front. Mon sperme jaillit puis coule sur son front, son nez, ses joues, sa bouche. Puis j'enfonce ma queue dans sa bouche aussi profondément que possible. Quand elle fait tinter sa clochette, je me retire. On se regarde en rigolant. Elle a toujours du sperme sur le visage. De mon doigt, j'en attrape les gouttes et je les ramène jusqu'à sa bouche. Elle les avale en me regardant dans les yeux. Je lui souris, et l'embrasse sur le front.
- C'était bon ?
- Oui maître.
- C'était bon pour moi aussi. Tu as été dans ce jeu une partenaire fantastique.
- Merci maître.
- Tu as été ma petite catin, n'est-ce pas ?
- Oui maître.
- Ce mot te va si bien. Il a un côté raffiné et cultivé, comme toi. Mais finalement, il désigne une fille qui se fait trousser vigoureusement à la hussarde.... Comme toi !
Ça la fait rire.
- Holala, dit-elle. C'est vrai que c'est un peu moi ce soir, ça.
-Il n'y a pas de hontes à avoir. Nous n'avons fait de mal à personne, bien au contraire. Tu voudrais recommencer ?
-Oui, je crois bien que oui.
- Je pourrais te sodomiser la prochaine fois, si tu veux.
- Je crois que ça me plairais bien de rajouter ça.
-Catin, va!
Elle rit à nouveau.
Nous trinquons.
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