Fan apocope de fanatique, mais quelle mouche me piquePassionné de marquage enivré, je reste un éternel passionné De sa peau refroidie par le ventilateur de mes envies Chaque pale de cuir ricoche sur le sommet de ses désirs Chaque coup calanche sur sa croupe de soumise asservie Instigateur de sa douleur, adorateur de sa candeur Égérie de mes écrits, béni oui-oui de mes pulsions établies Ventilons ventilons , je suis fan de son don, chutttttt mes ton bâillon !!!! Rehaël…..
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