Depuis peu je m'intéresse aux sites et aux réseaux BDSM puisque après avoir vécu ma relation en vase clos, aujourd'hui je suuis en recherche et bien que de bon aloi mon cercle familial amical professionnel et ludique ne comprend pas de "sympathiques sympathisantes" avec qui je pourrais faire copain copine touche pipi et plus si affinités.Pour le passé, je ne me plains pas c'était superbe et je souhaite à quiconque y compris à moi de vivre ou revivre cela.Aujourd'hui le BDSM semble s'être démocratisé, à la fois il touche un public plus large et à la fois on en parle davantage y compris sur la sphère vanille... C'est un plus peut être mais aussi le revers de la médaille c'est la venue le passage ou l'arrivée de perturbateurs de baratineurs et fabulateurs de tous poils.Et ce sujet qui m'interpelle à plus d'un titre mérite vraiment qu'on en discute.Les nouvelles vont vite et si on peut être affublé en deux coups de cuillères à pot d'un costume de circonstance assez déplaisant, il est très difficile d'en changer ensuite alors qu'à l'inverse il ne suffit pas de montrer patte blanche pour être reconnu(e) de ses pairs comme un bon ou une bonne Dominant(e).Fort heureusement d'ailleurs. Sauf qu'en lisant certains récits de certaines soumises je suis horrifié de voir ce qu'elles ont subi alors qu'elles n'étaient pas forcément des oies blanches mais le BDSM favorise les prédateurs puisque les Dominants moins nombreux, le jeu de l'offre et la demande, ont le beau rôle (je ne mets pas au féminin) et les soumises (je ne mets pas au masculin) sont parfois dans la dépendance avant même le début du début d'une relation car les D ont un ascendant de prime abord ou "a priori".La notion de réputation telle que Tindalos la décrit à savoir la confiance le respect, être fiable est essentielle pour une personne Dominante surtout Mais pour une personne soumise il vaut mieux je crois, dans le doute, ne pas accepter comme ami quelqu'un sur qui on aurait le moindre doute ou pas assez de visibilité plutôt que laisser le loup entrer dans la bergerie.Sur internet on peut liker laisser des reconnaissances des témoignages mais il serait peut être temps de permettre aux soumises et soumis de détester, haïr car bannir ou interdire n'informe pas les autres d'un mauvais ressenti d'une mauvaise expérience ou pire d'une obstination forcenée d'un forçage d'un viol et des dangers de la fréquentation d'un tel prédateur. J'utilise encore ce mot car le BDSM est intimement lié, c'est un pléonasme ça, au sexe et les soumises sont des proies faciles alors s'il est vrai qu'on est toujours le con de qqun d'autre il n'empêche que cela pourrait être utile à la communauté de ne pas l'ignorer.
Soyez la première personne à aimer.

