La réputation en BDSM

Je comprend le souci de réputation pour un Dom personnellement je ne m'en souci pas spécialement me concernant parce que je suis droite dans mes bottes. Ici J'ai un humour grivois et limite et je peux être une vrais chipie c'est souvent du jeu ou de la provocation vis à vis d'une situation ou d'une personne qui m'aura poussé à bout ou avec qui le courant passe bien. Mais ça n'est jamais malveillant ça pique juste un peu l'ego quand c'est suite à de l'agacement. Je suis probablement différente IRL mais ça je suis mal placer pour en parler je me vois rarement être 🤣🤣🤣

Il y a aussi des dames dont on sait qu'elles ne sont pas à approcher de près ou de loin. Bon, c'est vrai que c'est plus facile pour une femme, il y aura toujours un type en manque quelque part pour passer outre.Personnellement, je ne pense pas me prendre trop au sérieux, je suis parfois un peu grande gueule, un peu pédant et donneur de leçons, je suis un troll qui aime avoir raison... Mais ça ne m'empêche pas d'avoir, peut-être pas bonne réputation, j'en sais rien, mais je ne pense pas avoir l'image d'un dangereux malade à éviter, quoique...😁🐙😈

Honnêtement je ne vois rien de spécifique au BDSM dans tout cela. On peut copier ceci dans n'importe quel domaine : travail, groupe d'amis, sport, etc.

Le BDSM est un cercle plus restreint avoir mauvaise réputation est donc plus handicapant ....Suivant qui vous fait votre réputation aussi si c'est certaines "commères" qui se prennent pour le service d'ordre du site c'est sur que nous sommes tous des vilains et des vilaines 😂 Les jugements m'agace j'estime que la seule personne qui peux poser un jugement sur moi c'est celle à qui je suis lié les autres ne me connaissent pas. Et pour finir parfois le mieux c'est de parle de soi en son nom et d'éviter de parler des autres ça évite bien des tracas. Je vais le redire ici je préfère me faire ma propre opinion sur les gens j'ai mes propres codes. Je suis quelqu'un de bienveillant c'est comme ça que je me vois.

J'évite de trop me focaliser sur les commentaires négatifs sur les autres. Je préfère plutôt prendre le positif, les recommandations.On est toujours le con d'un autre, donc sur ce point je préfère me faire ma propre opinion. J'ai des amis qui ne peuvent pas se blairer. Si je les avais écoutés, je serais passé à côté.Mais une recommandation positive, c'est plus facile de prendre contact.Je connais des gens qui sont dangereux. Si je peux prévenir une victime potentielle, je le fais.

Oui j'estime que, dans le milieu BDSM, la réputation peut-être une aide précieuse en matière de sécurité, surtout si on se lance avec un(e) inconnu(e) dans des plans un peu extrêmes et des simulations. Sinon, nous sommes déjà bien suffisamment souvent jugés dans cette vie, parfois à tort, parfois à raison, sans encore en rajouter.

La réputation...Vaste sujet, et qui n'est pas que l'affaire en ce Monde....La problématique de la réputation....C'est qu'elle est issue des autres, de leurs regards et interprétations des signes d'une personne. Elle est donc pas forcément juste, justifiée..Elle peut faire autant de bien que de mal...A raison ou à tort....Je dis souvent que, certes, la réputation est à prendre en compte, mais qu'il faut également voir de ses propres yeux et de juger également par soi-même...Rester sur des 'On dit' ou sur une idée préconçue de ce que reflète une personne...On peut 'rater' ce qu'est vraiment la personne par rapport à soi...Bref...Cella ne fait pas avancer le sujet ;)....Mais se fier à la réputation d'une personne c'est certes utile....mais pas que...

Allez, Allez Tindalos (sans poulpe ... et c'est bien dommage) vous avez bonne réputation (selon moi) ...Au delà de ça, chercher à contrôler sa réputation c'est déja un péché.C'est illusoire, on y passe un temps fou, ça vous bouffe la vie.Donc ... rien à branler . Les ceuses qui viendront, viendront, les autres resteront ... de toute façon, j'écoute pas les rageux !Et puis ... Quiconque uirait ce genre de chose à faire devrait effectivement se poser des questions. Règle générale d'ailleurs. Une relation BDSM reste une relation et elle en suit les principes ... idem pour la réputation (qui émerge au fil des frottements, des relations, des rencontres, des échanges, des expériences ...).En conclusion ... m'en fout ... mais j'aime les gens.

La masse de ce que les gens pensent et croient savoir de ma personne sur ce site et ailleurs, m'indiffère. Trop d'années au compteur pour me soucier de leurs occurrences. Pour celles et ceux que je côtoies et qui me côtoient donc en ligne de manière intime et plus encore irl, étrangement, je ne suis pas ce que la masse peut penser. Comme quoi au village sans prétention j ai mauvaise réputation (ou pas), m indiffère la encore (oui... je sais... j ai tout pompé au grand moustachu "c'est toi".)

Il y a de nombreux niveaux de lecture de cette notion de réputation : -l'importance pour soi : un truc narcissique, de projection de son ego en société ; se présenter comme sûr-sain-consensuel-fiable-prévenant-digne de confiance. Une sincérité initiale (?) qui devient argument de marketing. C'est aussi super facile de créer un personnage et d'utiliser l'image résultante à des fins moins avouables. -l'importance qu'y accorde le lecteur ici. Une façon de chercher des repères, une réassurance face au risque inhérent à la rencontre. Ou au contraire la recherche du discordant, de la faille. -l'importance en société, lors de rencontre, lors de soirée : cette sorte de fierté croisée (le truc qui fait bander l'ego), de monstration (j'aime bien le mot, son sens simple et sa connotation immédiate) étrange.Un site comme celui-ci, c'est un gigantesque cirque, une gigantesque scène de théâtre où chacun a un rôle à jouer et décide du personnage qu'il souhaite incarner (de façon plus ou moins consciente - et avec plus ou moins de conscience de l'image renvoyée au lecteur). Un spectacle qu'il est très intéressant d'observer, entre réflexe clanique, chasse en meute, expression de la relation devant spectateurs voyeurs involontaires (mais parfois - souvent ravis), private jokes ostentatoires et mouvements internes...De façon plus personnelle, je vis un BDSM de couple, relationnel, émotionnel, je n'ai jamais mis les pieds dans une soirée, le consensuel de la masse m'ennuie, et ici je cherche le mot - l'expression - la pensée construite iconoclaste - le sentiment de décalage, qui éveillent l'intérêt, l'envie d'en savoir plus. Ensuite c'est simple. Ma réflexion, mon instinct sont seuls juges, c'est ma responsabilité que j'engage.Et la réputation, dans ce cadre là, n'a aucun intérêt, ni la mienne, ni celle des hommes avec qui j'échange.

Je me moque totalement de ce qu'on pense de moi dans le milieu BDSM. Il y aura toujours des personnes pour critiquer, juger, voire même casser comme dans tous les domaines d'ailleurs. J'ai fait de belles rencontres, j'en ferai encore. C'est le principal

La réputation ? C'est un sujet à la : "ne me mords pas le nœud, connasse !" Lorsque je fréquentais, il y a fort longtemps, certaines soirées BDSM (toujours accompagné... 😉), j'aimais me présenter, avec ce ton d'autorité qui m'est naturel… Lol : - Bonjour, je suis Zuip. Et lire aussitôt l'étonnement, l'admiration, le respect... Relol... Parfois l'effroi ! Aussitôt toutes les petites femelles accouraient pour s'agenouiller et me baiser la main... Rerelol... Je connaissais physiquement certaines. La plupart avaient joui en lisant mes textes. Les Dhoms me regardaient méchamment à la dérobée. Cela flattait mon gros Z'Ego. Et rendait très fière celle qui m'accompagnait. Quoi ? Quoi ? Je fabule ?... A peine… C’était pire !Je ne hante plus les soirées BDSM (toujours accompagné)... Rererelol... La réputation ?Tout ça, c’est du virtuel… Juste quelques bulles de savon… Un petit nuage d’extases…Tout ça, c'est des bruits de chiottes... Tirons vite la chasse d'eau pendant qu'elle a la tête dedans et que je la baise !

Je ne parle pas forcément de la réputation en mode concours de quéquette.Mais du fait d'être considéré comme quelqu'un de responsable, fiable, respectueux...Bref, peut-être pour reformuler un peu, la confiance qu'on peut inspirer aux autres, qui permet d'ouvrir les portes, et pas forcément en ligne.Quand ma soumise m'a emmené pour la première fois dans une soirée, j'ai bien vu que j'étais observé, déjà parce que c'était ses amis qui ne voulaient pas qu'elle tombe entre de mauvaises mains, mais aussi pour prendre la mesure de la personne et d'éventuelles interactions futures. Et je fais de même, je ne laisse que des personnes de confiance toucher à ce qui m'appartient.

Depuis peu je m'intéresse aux sites et aux réseaux BDSM puisque après avoir vécu ma relation en vase clos, aujourd'hui je suuis en recherche et bien que de bon aloi mon cercle familial amical professionnel et ludique ne comprend pas de "sympathiques sympathisantes" avec qui je pourrais faire copain copine touche pipi et plus si affinités.Pour le passé, je ne me plains pas c'était superbe et je souhaite à quiconque y compris à moi de vivre ou revivre cela.Aujourd'hui le BDSM semble s'être démocratisé, à la fois il touche un public plus large et à la fois on en parle davantage y compris sur la sphère vanille... C'est un plus peut être mais aussi le revers de la médaille c'est la venue le passage ou l'arrivée de perturbateurs de baratineurs et fabulateurs de tous poils.Et ce sujet qui m'interpelle à plus d'un titre mérite vraiment qu'on en discute.Les nouvelles vont vite et si on peut être affublé en deux coups de cuillères à pot d'un costume de circonstance assez déplaisant, il est très difficile d'en changer ensuite alors qu'à l'inverse il ne suffit pas de montrer patte blanche pour être reconnu(e) de ses pairs comme un bon ou une bonne Dominant(e).Fort heureusement d'ailleurs. Sauf qu'en lisant certains récits de certaines soumises je suis horrifié de voir ce qu'elles ont subi alors qu'elles n'étaient pas forcément des oies blanches mais le BDSM favorise les prédateurs puisque les Dominants moins nombreux, le jeu de l'offre et la demande, ont le beau rôle (je ne mets pas au féminin) et les soumises (je ne mets pas au masculin) sont parfois dans la dépendance avant même le début du début d'une relation car les D ont un ascendant de prime abord ou "a priori".La notion de réputation telle que Tindalos la décrit à savoir la confiance le respect, être fiable est essentielle pour une personne Dominante surtout Mais pour une personne soumise il vaut mieux je crois, dans le doute, ne pas accepter comme ami quelqu'un sur qui on aurait le moindre doute ou pas assez de visibilité plutôt que laisser le loup entrer dans la bergerie.Sur internet on peut liker laisser des reconnaissances des témoignages mais il serait peut être temps de permettre aux soumises et soumis de détester, haïr car bannir ou interdire n'informe pas les autres d'un mauvais ressenti d'une mauvaise expérience ou pire d'une obstination forcenée d'un forçage d'un viol et des dangers de la fréquentation d'un tel prédateur. J'utilise encore ce mot car le BDSM est intimement lié, c'est un pléonasme ça, au sexe et les soumises sont des proies faciles alors s'il est vrai qu'on est toujours le con de qqun d'autre il n'empêche que cela pourrait être utile à la communauté de ne pas l'ignorer.

Tindalos vous nous avouez donc que vous n'avez pas la plus grosse kékétte en ces lieux.Un mythe s'effondre !Y a un mot anglais (y en a trop j'ai oublié rrrrrrrrrrr) sur ce qui permet d'être "assuré" que la personne est de confiance justement par l'avis des autres.En gros on se certifie les uns et les autres et ça renforce cette confiance, ainsi que la bonne réputation dont vous parlez Tindalos