Questions : j'ai compris que tu n'avais pas porté plainte, mais lors de ce second examen "méchant", qu'as tu dit au gynéco ? Tu lui as ordonné d'aller plus doucement, plus lentement ? Attention à ce que je vais écrire, ne vous fâchez pas mais nous, les femmes, avons aussi notre part de responsabilité dans les actes subis : j'explique.Si depuis le temps que nous écartons les cuisses sur ces fichues tables gynécos, nous avions eu le courage de râler, de dire "non", de monter le ton plutôt que de serrer les dents, et de remettre en place tous ces praticiens se croyant tout permis juste parce qu'une femme doit être invasivement examinée "pour son bien" , les examens se passeraient sans doute différemment.A force de tout accepter, nous leur avons donné un pouvoir allant au-delà de leur savoir.Au début de ma carrière d'infirmière, j'ai bossé comme on me l'avait enseigné, en disant : "Oui, je sais, je vous fais mal mais c'est pour votre bien" : aujourd'hui, la douleur est prise en charge en tant que douleur pressentie et ressentie, idem pour la souffrance.Même s'il reste beaucoup beaucoup de progrès à réaliser, en gynéco comme pour toutes les spécialités médicales.Pour en revenir à ton expérience, Stella, je comprends aussi pourquoi ce médecin avait des disponibilités ......
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