Évidemment dans ces rencontres on fait que du soft ( le hard donc sang, couteau, clouage, découpe, scato, uro, on fait pas évidemment) rien de choQuant donc
Alors là, j'ai du mal : vous mettez quoi "en soft" ?
Les impacts ? Ça peut choquer aussi .
Quelques petits coups de cravache ? Idem .
Animaliser ? Choquant pour certains.
Promener son soumis en laisse ? Ça peut gêner des non-initiés.
Tout peut être choquant en bdsm, pour un public non averti et c'est là où je pointais du doigt les différents attraits des uns et des autres, avec un partage sexuel par toujours au goût des pratiquants bdsm, et des pratiques soft ou non qui sont fort éloignées de ce qu'aiment vivre les libertins.
Je généralise fort exprès, juste pour appuyer sur ces mondes éloignés par certains aspects et proches par d'autres.
Ensuite, c'est effectivement très "intra-individuel" : une personne curieuse de nature prendra du plaisir à vivre des expériences différentes les unes des autres et choisira vers quoi elle ira par la suite.
Et je reviens sur cet aspect de consommation rapide, sur ce que j'ai vu de mes mirettes : les libertins hommes espérant consommer vite fait, bien fait, de la soumise facile.
J'ai aussi croisé des libertins très respectueux, et juste intéressés en mode voyeur : autre question à ce titre : les bdsmeurs en club ou soirée, apprécient-ils d'être observés par un public non-bdsm ?
Avec les risques de ne pas être compris dans leurs pratiques et dans leur relation et d'entendre des réflexions déplacées, hors contexte bdsm ?
Sur un autre plan, lorsque l'on veut réunir tout le monde, on se prend parfois une gamelle, car les amis de mes amis ne seront pas tous amis les uns avec les autres : encore une fois, c'est très inter-dépendant des personnalités réunies. Et tout ne s'imbrique pas toujours aisément.
Je ne suis pas contre les soirées mixtes, mais celles auxquelles j'ai assisté n'ont pas été une réussite.
Et si je dois me priver de pratiques, plus ou moins hard alors que je me déplace en soirées payantes BDSM, pour ne pas choquer tel ou tel public hors BDSM, ça va vite me gaver sérieux !
On se choque déjà entre "nous" par des actes extrêmes ou sortant du "classique" bdsm, alors les ceusses et icelles ne pratiquant pas, mais observant une séance de fire-play par exemple, peuvent repartir bouleversés.
