Averamm
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Dire que mon retour au château de ma tante fut différent de ce qui était prévu.

 

Fin mars ma tante m'a proposé de venir passer le premier week-end de mai au château et l'idée de flâner dans le parc me plaisait beaucoup. J'ai le souvenir d'une immense forêt dans laquelle j'aimais me balader. Je repense à ce vieux tronc d'arbre sur lequel j'aimais m’asseoir et rester durant des heures à écouter ses doux murmures tout en dégustant avec plaisir les différentes essences qu'elle m'offrait, la sensation du temps qui se fige était bien présent, malheureusement comme toute bonne chose, celle ci a une fin et l'obligation de rentrer au château m'imposait de quitter cet endroit merveilleux, même si, en consolation, je devais traverser les jardins à la française du parc et je dois dire que cette « consolation » était agréable, la richesse des couleurs des plantes et arbustes présent dans ses jardins nourrissaient mon jeune esprit.

 

Le château, bien grand mot pour désigner une maison de maître du XVIII ème siècle, même si je dois reconnaître que cette grande battisse est aussi impressionnante qu'intrigante, son imposante façade en pierre taillé et ses fenêtres en arcade lui donne un charme incomparable.

 

Maintenant à ce tableau existait, et existe toujours, une petite ombre, celle que je surnomme la « peste » ou la « princesse » et qui n'est autre que ma cousine il paraît qu'un jour ses parents lui ont donné le prénom d'Amélie, personnellement je trouve que la peste lui va bien mieux. Un heureux (ou non) hasard à fait que nous sommes nés le même jour, ce qui fait que nous avons le même age, enfin à quelques heures prêt et ma « chère » cousine adore me rappeler qu'en étant née deux heures plus tot elle est plus grande que moi et qu'elle est l’aînée et donc je dois lui obéir en faisant ce qu'elle me dit de faire, sinon elle se fera un plaisir de s'occuper de mes fesses. La première fois où elle me sortit se laïus elle fut vexée devant mon énorme fou rire, enfin je me demande si c'est mon fou rire ou mon invitation à allé se faire paître qui la vexa le plus.

 

Ce qu'il faut savoir, c'est que mon oncle et ma tante ont a disposition plusieurs brigades de domestiques et qu'un régime très particulier est en place. En effet la fessée déculottée est la norme au château et ceux à la moindre erreur. Elles peuvent être administrée par la gouvernante, mon oncle et ma tante et peut importe qui est la pendant que l'un des trois applique la punition. Dire que le rituel autour de chaque fessée était digne d'une pièce de théâtre est un euphémisme, d'abord avec ma tante, le ou la punie devait se déculotter devant ma tante et rester devant elle pendant qu'elle était sermonné, j'imagine très bien la honte ressentit par la femme ou l'homme ayant son sexe dénudé devant les yeux de la maîtresse de maison. Après le sermon, la personne devait s'allonger comme un enfant sur les genoux de ma tante et la fessée pouvait, enfin, débuter. Vue la couleur des fesses du ou de la punie je pouvais en déduire que ma tante était une artiste dans ce domaine et bien qu'appréciant le travail de certains artistes, je n'avais aucune envie de découvrir celui de la tante, je suis quasi certains que je n'apprécierait pas la qualité de son art et j'aime mon cul quand il est frais et blanc, ah et pour finir, ma tante complétait le coté honteux de la punition par un temps au coin cul nue. Mon oncle n'était pas du tout dans le cérémoniale, il préférait le coté rapide et efficace de la chose, la punie (oui il ne fessait que les dames) devait se trousser rapidement et se pencher sur le bureau pour qu'il puisse appliquer son office rapidement, contrairement à ma tante qui utilisait sa main ou une brosse a cheveux, lui utilisait les verges, quant à la gouvernante elle adorait humilier le ou la punie, en effet avant chaque fessée elle inspectait l'intimité du ou de la punie, et plus elle avait de publique plus elle insistait sur ce point la. La fessée en elle même était administrée de façon originale, le vilain ou la vilaine devait s'allonger sur une table et relever ses jambes vers le ciel, offrant au spectateur une vue royal sur son anatomie.

 

Après un long, très long voyage, j'arrive enfin au château. Je suis accueillis par deux personnes, le garçon me salue rapidement et s'occupe de mes bagages et la jeune femme m'invite à la suivre et à entrer dans le château, madame ma tante nous attends. En entrant dans la salle de réception, une douce et agréable odeur d'essence florale vient flirter avec mon nez. Ce doux parfum m'avait manqué et l'idée d’aller me perdre à nouveau dans la forêt me plaît beaucoup, dommage que je doive attendre un échange d'amabilités et de banalités avant de faire ce qui me plaît, égoïste ? Ah mais complètement et j'assume parfaitement cela.

 

Je suis la demoiselle et plus nous nous approchons d'une porte plus l'écho d'un bruit familier résonne et je devine rapidement ce que c'est, en arrivant devant la porte, la demoiselle releva l’arrière de sa jupe et baissa sa culotte, m'offrant la vue de ses jolies fesses...rouge, sans se retourner elle ouvre la porte et va se mettre face au mur, de mon coté j'entre dans la pièce et mon intuition fut bonne, une fessée était en cours de réalisation, ce que je n'avais pas deviné c'est ce qu'il y a autour de celle ci, en effet, assise sur une chaise ma tante donnant la fessée à une domestique et face au mur deux personnes, une jeune femme et un jeune homme, tous les deux ont leurs fesses nues et rouge, tableau assez familier pour moi, ayant par le passé assisté aux nombreuses fessées distribués par ma tante, à un détail prêt, que fait cette jeune femme, à genoux, la tête entre les fesses de la fille au coin ? Qui a eu cette idée surprenante ? En soit cela ne me déplaît pas, au contraire cette idée est plaisante, même si j'aurais préféré être à la place de la demoiselle. Mon esprit est tellement occupé, qu'il n'a pas remarqué que la peste (oui ma cousine) est présente.

 

Amélie : Bonjour Alex (oui c'est mon prénom et il est vrai que je ne l'ai pas mentionné jusqu'ici)

 

Alex : Bonjour Amélie (oui l'idée de l'appeler la peste me brûle la langue)

 

Amélie : tu ne vas pas jouer, encore une fois, les chevaliers blanc et osé dire qu'elle n'a rien fait ?

 

Alex : Elle ? Rien fait ? De quoi parles tu....heu attends c'est pas....

 

Amélie (me coupant la parole) : Si c'est bien la même demoiselle que tu a défendu il y a quatre ans, défense qui m'avait valu une douloureuse punition

 

Alex : douloureuse, deux paters et trois ave maria, je pense que niveau douleur ce fut bien plus supportable qu'un passage sur les genoux de ta mère

 

Que c'est il passé il y a quatre ans ?

 

La peste (ma cousine pour ceux qui ont oublié) aimait dénoncer les domestiques pour qu'ils soient fessées et satisfaire son petit plaisir. Un jour, en revenant d'une de mes nombreuses escapades buissonnière, je surpris une des domestique sur les genoux de ma tante, de mon point de vue j'avais ses fesses en vues donc, à ce moment la, je ne savais pas qui était punie. Ma cousine jubilait et profitait de l'occasion pour me raconter ce qui c'était passé. Ayant un doute sur la personne allongée sur les genoux de ma tante, je fis le tour pour voir le visage de la demoiselle, ma cousine surprise me fit remarquer que le spectacle se passait sur ses fesses et non sur sa tète. De mon coté en découvrant le visage de la fille je savais qu'elle ne pouvait pas avoir fait ce qu'on lui reprochait, en effet, celle qui était entrain de se faire rougir le cul n'était autre que la jeune et jolie demoiselle avec laquelle j'avais passé une parti de l’après midi. Tel un chevalier blanc je fis interrompre ma tante en lui expliquant qu'il y avait erreur sur la personne, surprise elle s’arrêtât et me somma de m'expliquer et d'être convaincant au risque d'être le prochain sur sa liste. Au fur et a mesure que je racontais mon histoire je pouvais voir ma cousine se décomposer, son mensonge allait être découvert et le pire c'est que c'est son cousin, qui allait être à l'origine de cela. Bien qu'au début ma tante eut des doutes sur ce que je racontais, elle à même fait allusion a un sentiment amicale que j'aurais envers la demoiselle et sa beauté, elle comprit, au vue de la réaction de sa fille, que la vérité n'était pas celle qu'on lui avait vendu. La jeune fille fut relevé et invité a quitter la pièce et ma cousine eu droit à une remontrance et du réciter quelques prières.

 

Amélie : bref, la tu ne peut pas sauver son cul de la main punitrice et c'est une bonne chose

 

Alex : je vois que tu prend toujours ton pied en regardant les domestiques se faire rosser le cul

 

Amélie : et encore tu ne m'a pas vue quant je claque le cul des garçons

 

Alex : quant tu quoi ???

 

Amélie : oui régulièrement je m'occupe des garçons et j'adore sentir leur queue bouger sur ma cuisse quant je les fesses.

 

Et c'est parti, elle m'explique comment elle fesse les, je cite, vilains garnements en prenant soin d'appliquer la méthode maternelle, déculotter et sermonner le puni, avec quelques différences, notamment, sur le fait qu'elle humilie le puni sur la taille de son pénis, elle a d'ailleurs découvert qu'un des garçons qu'elle a eu entre ses mains apprécie la fessée. Elle à même conclut un marché avec lui, elle peut le déculotter et le fesser quant elle veut, en échange il a le choix entre se masturber devant elle, voir elle le masturbe.

 

Amélie : ah et sache que tes fesses peuvent être les prochaines à découvrir mes talents de fesseuse

 

Alex : dans tes rêves ma belle cousine (belle en effet, du haut de son mettre quatre vingt avec une belle chevelure brune et de magnifique yeux bleus, et elle sait qu'elle est belle et n'hésite pas à mettre en avant ce que la nature lui a offert)

 

Amélie : ne soit pas aussi sur de toi mon mignon, trois jours c'est long ici.

 

De son coté ma tante termine son office et place la seconde demoiselle au coin les fesses à l'air et est ordonnée à une domestique de se mettre à genoux avec sa tête dans les fesses de la punie. Ma tante vient vers moi, me fait la bise plus un câlin, je suis assez surpris de cette familiarité, n'étant pas habitué à cela de sa part.

 

Ma tante : Bonjour Alex, a tu fais bon voyage ?

 

Alex : bon voyage, mais qu'est ce que c'est long pour venir jusqu'ici

 

Ma tante et ma cousine rigole de bon cœur

 

Ma tante : en effet pas tout à coté de chez toi, désolé d'avoir du t'accueillir de cette façon

 

Alex : (oui je vais te croire) je suis habitué ici, la fessée étant une activité quotidienne, j'aurais été surpris de pas en voir une à mon arrivée

 

Amélie : si tu veux, tu peut je me porte volontaire si tu veux participer à cette activité

 

Alex : tu veux que je te donne la fessée ?

 

Amélie : non idiot, ici c'est moi qui donne les fessées, je ne la reçoit pas, on ne donne pas la fessée aux princesses (ah ouais ? Laisse moi deux minutes, je suis sur que je te trouve une ou deux princesse qui en ont reçu)

 

Alex : la où je suis surpris, c'est les deux demoiselles qui ont leur visage dans les fesses des deux punies

 

Ma tante : cela fait partie de la punition, chaque demoiselle punie doit subir l'humiliation d'un nez dans ses fesses

 

Amélie : d'ailleurs, pour la jeune fille que tu viens de placer au coin, je pense qu'Alex devrait remplacer la domestique qui vient de prendre place.

 

Oui, ma peste de cousine vient de trouver un moyen de venger « l'offense » qu'elle a subit quatre ans plus tot et proposant que la jeune fille, qu'elle avait accusé à tord, à l'origine de sa punition subisse une humiliation supplémentair, evidemment ma tante trouve cette idée lumineuse et devant ma réticence, m'odonne de lui faire honneur en allant me mettre a genoux derriere cette demoiselle. La peste a gentiment rappelé que « réticence » n'était pas un nom pour une queue, devant la tete de ma tante, elle pointa ma bite qui, elle, adorait l'idée d'allé dire bonjour à ce superbe cul nue. Je prend donc place et reste dans cette position un long, tres long moment, et oui j'aime cela, je suis aux anges avec ma tete entre les fesses de la demoiselle.

A suivre

Que va t il se passer ? Est ce qu'Amelie va s'occuper des fesses d'Alex, au contraire est ce qu'Alex va claquer le cul de cette odieuse cousine, ah moins qu'autre chose ne ce présente, nottament dans ce bois...

ps: n'hésitez pas à me dire en commentaire si vous avez aimé ce texte, si quelque chose ou un personnage a marqué votre esprit ou tout autre chose.

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Très jolis texte et une histoire qui commence bien ! J’adore ! Vivement la suite ! 
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