Tout cela me paraît trés subtil.Je ne suis pas trés au clair avec ma posture ici, c'est peut-être pour ça. Ou pas d'ailleurs.Soumise, déposer sa confiance dans la personne dominante ,laisse supposer que l'autre comprendrait, détecterait ma capacité à affirmer /infirmer clairement mon oui ou non. Sauf que, parfois, le "non" de départ peut-être un "oui" silencieux quand on (la personne soumise) ne s'attend pas, à cet instant, à se sentir capable d'aller plus loin ou plus avant et que l'on s'en étonne soi même de ce dépassement.II me paraît possible de poser des jalons généraux, en préalable, mais impossible de jalonner pendant parce que je ne sais pas qui, quoi , comment je suis ,à la fraction de seconde. Je me découvre et je m'étonne de ma découverte. l'autre aussi, je suppose d'ailleurs.Le consentement préalable ne suffit pas. J'irai même plus loin (désolée, hein?), mais il protège le Dominant/Dominateur. "Au cas où".Quand sait-on soi-même que la limite se franchit sans le vivre à l'instant? Je ne sais pas. Je présume (je pèse mes mots), je présume alors que le Dominant/Dominateur (ou quel que soit son nom) doit pouvoir, être en vigilance accrue pour fixer des limites qui n'ont pas été définies au préalable.En droit, aucun consentement ne sera acceptable sur un consentement écrit, devant un tribunal,car, justement, rien, dans la réalité, ne garantit le "scenario" de départ.
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