Etant donné l'époque, le consentement a quelque chose d'équivoque dans comment on se le réprésente mentalement. Car il ne correspond pas à quelque chose de verbal dans 95 % des cas sur cette planète. Ce qu'on appelle le consentement est en réalité la tactite acceptation d'un mode d'échange d'énergie, sexuelle ou non. Et les indices pour détecter cette acceptation ne vienne pas d'un "consentement" (ce qui appelle presque l'idée qu'il faut un oui pour que ça se produise) d'une personne mais des indices qui amènent à l'évolution de cette relation. (Signaux positifs ET (très important) Absence de non)Donc on accepte le terme why not, mais souvent il sera détourné pour en faire quelque chose qu'il n'est pas et qui fait tendre les relations sur des acceptations explicites (oui / non).Pour le cas de la domination maintenant, la chance en quelque sorte c'est de pouvoir codifier ça en quelque sorte dans un contrat ou même oralement. Ca se défend totalement pour le coup, puisque c'est un rapport au monde inhabituel. Donc à titre perso, je trouve qu'un ''consentement non consenti' ne veut rien dire en réalité. Soit quelque chose est consenti oralement et tacitement et dans ce cas elle est forcément consentie.Soit tacitement elle est consentie, mais explicitement non pour diverses raisons, auquel cas on rentre dans le jeu de rôle. Mais ça reste toujours consenti. Idem pour les dérivés type : je t'hypno pour induire que je vais te "violer" = la fille d'accord pour être hypno sait à quelle sauce elle va être mangée = consenti. Elle demande qu'on la viole (ironique en soi) = consenti. C'est donc assez simple.Le troisième cas, plus trouble, c'est deux personnes incapable de détecter les signaux et qui se trompent sur l'évolution de la relation, que ça soit forcé (violeur) ou involontaire (La fille ne veut pas mais ne dit rien pour x raisons)
Soyez la première personne à aimer.