Maestro46
#0

Bonjour à tous, soucieux du plaisir de ma pipa et devarier les séances, j'ouvre cette discussion afin qu'on puisse partager les séances BDSM que l'on aime. Cela peut donner des idées!!!

exemple que j'avais partager sur le mur :

Seance coloriage : 1: mise collier et tenue que je souhaite 2 : Attente position nadu. 3 : je prepare sur le lit du coloriage et godes et plug , boules anals etc bien en visual. 4 : je la prends par les cheveux et plaque au mur et donne les consignes : tu colories, si tu dépasses tu seras puni et humilier. 5 : a genoux, je mets des menottes ( faut bien mettre un peu de difficulter ) et elle commence à dessiner. 6: je la chauffe a mort avec les joujous pendant qu'elle dessine + insultes 7 : quand elle est a point, j'arrete et regarde le dessin : forcement elle aura depasser ... pauvre pipa.... 8 : du coup je l'a mets au coin et l'attache sur la poignée de la porte. 9 : je lui balance un god et la laisse s'amuser dans son coin. 10 : quand elle est bouillante bouillante , je la detache la reprends par les cheveux et elle redessine ... 11 : double penetration , tete dans le dessin et je la degome jusqu'a qu'elle jouisse. 12 : je termine par une faciale et la remet au coin le temps de m'essuyer. 13 : after care et bcp de calin 14 : 2eme round vanille!!!! faut bien un peu de tendresse!

j'ai plein d'autres exemples via bondage, shibari, humiliation, hypnose érotique etc....

J'aime changé, etre imaginatif ... et vous ?

Les soumis(es) sont les bienvenue au co traire cela apporte beaucoup plus sur ce que vous aimer et pourquoi... merci

Sondage: préparez-vous vos séance à l'avance ?
Maestro46
18/02/24
préparez-vous vos séance à l'avance ?
Dernière modification le 20/02/2024 11:36:10 par Maestro46.
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Maestro46
#1
Hola, je suis etonné du peu d'interet de cette conversation ?
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Athéna 32
#2
Cela aurait pû être interessant, mais seuls les Doms (imas), peuvent vous répondre, la question est de fait fermée pour l'autre "camp"
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Arôme
#3
Je ne suis dans aucun "camp" pour l'instant. Je pratique quelquefois sur moi même de manière soft. 
L'idée du sujet est très bonne et permet de partager des idées.
La séance que tu décris mêle la stimulation sexuelle avec une activité tout autre, comme une sorte de défis. C'est vers ce genre de choses que je me tournerai personnellement.
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Maestro46
#4
Cela aurait pû être interessant, mais seuls les Doms (imas), peuvent vous répondre, la question est de fait fermée pour l'autre "camp"
Bonjour.
J'ai edité le message. C'est beaucoup mieux ainsi avec l'avis de tout le monde bien vu ....
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Atypik
#5
Question intéressante, que nous avions déjà évoqué en PV Maestro46. Je vais répété ce que j'ai déjà dit en privé. Je ne prépare pas les scéances. Le fait que je sois (un peu) musicien et porté vers l'improvisation influence t il ma manière de faire ? Peut être. Toujours est il que si je ne prépare rien, j'ai à l'esprit des jalons qui ont vocation à ponctuer la scéance. Mais je ne reste figé sur aucun. Ils ont lieu.......... ou pas. Comme lorsque je joue de la musique, je suis à l'écoute de mon envie de l'instant, de la possibilité offerte par le présent immédiat, et évidemment attentif aux réaction de ma soumise (ou des gens avec qui je joue de la musique). Une approche jazz avec des sonorités rock, ce qui pourrait parfaitement convenir pour définir ma pratique du BDSM.
Il peut m'arriver cependant de savoir très à l'avance comment je VEUX (et le terme est important) que la scéance débute. Ma volonté peut naitre d'un désir, d'une image mentale précise, parfois même de mots prononcés par ma soumise (rien ne tombe, JAMAIS, dans l'oreille d'un sourd). Mais il n'y a pas de fréquence particulière. RIen n'est figé, jamais.
Les seules choses qui peuvent être écrites dans le marbre sont les épitaphes.
C'est pour cela que j'ai du mal à répondre à votre sondage, aucun des choix proposés ne correspond à ma manière de faire. Même la deuxième proposition, qui serait la plus proche de mes pratiques sans doute, ne correspond pas vraiment.
Dernière modification le 20/02/2024 12:14:37 par Atypik.
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Athéna 32
#6
Alors pour ma part, je ne prévois rien puisque ce n'est pas rôle.
Je pense que certains prévoient peut être ou fantasment sur leurs prochaines séances. Mais voilà, il y a comme dirais un Couac. Je pense que souvent (si l'on a un minima de respect pour sa partenaire) ça ne se passe pas comme imaginé.
Je m'explique :
Il a prévu de me laisser debout, j'ai la tête qui tourne
Il a prévu de me flageller, ce jour ça passe pas trop de fatigue
Il a prévu une longue séance, je cède trop rapidement
Bref, ce ne sont que des exemples. 
Je pense que l'on prevoir dans les grandes lignes, mais "l'autre" vous rammenera à la réalité, d'une manière ou d'une autre.
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Maestro46
#7
Effectivement ...perso je prevois un theme l'apremidi pour la soirée.. ça me permet de voir deja comment va ma pipa ( joueuse? Humeur etc ) . 
Je prevois une vrai séance que je respecte quasi a la lettre pour les seances humiliations et shibari ( car j'ai un modele qui m'a plus que j'ai etudié l'apremidi et il arrive aussi que je m'entraine seul lorsque j'ai un doute car je commence a faire du shibari un peu complexe ).
Le reste c'est par theme avec un peu plus d'improvisation.. je reflechis bcp car pour moi, il est important de mixer pour ne pas tomber dans une routine et egalement niveau orgasme ( parfois clito parfois vaginal parfois rectal ou combinaison) et en plus il faut savoir creer le manque et l'exitation : dans ce cas , elle peut se goder tte les heures pendant 5h pour qu'elle soit bouillante ( c'est juste un exemple que je pratique ocasionnelement ) ou autre seance de ce type ( la derniere fois pendant um cours d'espagnol en ligne que je faisais, elle devait me faire une fellation et bien me nettoyer avec la langue puis, aller dans la chambre et regarder un porno avec Maitre / soumise que j'avais trouvé et 3 godes à ça disposition... elle etait bien chaude.
Parfois un peu de distance pour creer l'envie ...
Bref, a mon sens , reflechir sur du moyen terme fait sens et savoir l'adapté au quotidien en fonction de son moral.
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Silla
#8
Me concernant, mon maître ne prevoit rien à l'avance et se laisse guider par ses envies, j'ai l'impression que cela ressemble aux propos d'Atypik. Il va s'imaginer des choses, prévoir éventuellement les accessoires nécessaires en fonction, mais si à l'instant t une autre envie lui vient, il peut changer du tout au tout. Je prends un exemple : il m'est arrivé de préparer quelques accessoires demandés, selon une façon bien définie, et que finalement aucun ne serve. Mon maitre est dans la spontanéité totale. Il dit souvent : "de toute façon je ne fais jamais ce que je dis".
De mon côté, ce qui me plait c'est de savoir que ce qu'il me fait, c'est parce qu'il en a envie à l'instant t et pas parce qu'il y a pensé X temps auparavant avec le risque que là il n'en n'ai pas réellement envie. J'admire sa capacité à être spontané et naturel, à se laisser aller à ses envies (comparé à moi).
Un mode de fonctionnement totalement différent de celui de vous et votre soumise mais le sujet est intéressant 🙂
Et puis il y a bien sûr les aleas dont parle Athéna 32, côté s comme D d'ailleurs.
 
 
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Maestro46
#9
Il est vrai qu'il y a Préparation et etre spontanée mais les 2 sont possible :).
La semaine derniere en fin de soirée elle a decidé d'etre brat du coup j'ai changé rapidement en seance humiliation :).
J'ai une liste sur mon téléphone quand j'ai une idée dans la journée je le note... il m'arrive de regarder ma liste en fin de journée pour voir en fonction de mon envie ce aui peut etre ñas mal.
Sur cette liste , il y a des idées jamais faites, j'arrive donc a toujours á la surprende et c'est cela qui m'eclate.
On fait depuis peu de l'hypnose érotique également je vous laisse imaginer les possibilités.
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M81
#10
Nous sommes un couple gay. Nous pratiquons une forme de BDSM militaire. Le cadre est hyper-carré, rigide à l'extrême. Nous nous référons à un "réglement militaire" de plus de dix pages prévoyant à peu près toutes les situations. Certaines procédures sont immuables, toujours appliquées exactement de la même manière : le réveil, le coucher, la tenue vestimentaire, les repas, ma manière de parler à mon dominant pour lui répondre ou lui faire une demande, et plein d'autres choses, ne changent jamais. Une punition pour chaque faute, toujours au tarif prévu par le règlement, mais le dominant choisit arbitrairement quelle punition il inflige...
Bref, il y a beaucoup de petites routines invariables, mais aussi beaucoup de liberté d'improvisation pour mon dominant, liberté qu'il choisit de prendre ou non, selon son humeur du moment. Par exemple, il y a eu une période où il m'a fait vivre exactement la même journée, à la seconde près, pendant huit mois. C'est assez rapidement devenu ennuyeux pour moi, mais, dans le fond, l'ennui est une forme de torture. A d'autres moments, chaque journée est différente, avec ou sans nouveautés.
En ce qui me concerne, aucune improvisation possible. Je dois respecter le réglement à la virgule près, à tout moment, et obéir aux ordres instantanément, aussi parfaitement que possible. Pas question que je joue au rebelle en espérant être puni, par exemple. Depuis le temps que nous pratiquons, je suis bien drillé, et je commets rarement des fautes. Mais comme le règlement stipule qu'il peut m'accuser de fautes que je n'ai pas commises, et même qu'il peut décider de me sanctionner sans prétexter de faute, en fait, il peut me punir quand il veut.
Au départ, j'avais refusé ce style de soumission. C'était son monde, et il ne m'attirait pas du tout, à priori. Mais j'ai accepté de le visiter, et, à force d'y séjourner, je me suis aperçu que ce monde me convenait bien mieux que ce que m'avaient proposé mes précédents dominants. D'une certaine manière, il alliait les deux activité que je préfère : le sport, par les entraînements et les corvées, et le BDSM, par l'autorité, la sévérité, les "abus sexuels", les brimades, les punitions, les "séances de torture", et autres contraintes.
A chacun de déterminer ce qui lui convient. Certaines personne aiment scénariser leurs séances dans les moindres détails, alors que d'autres aiment l'improvisation totale. Je pense qu'il peut être intéressant de prévoir un scénario, ou au moins un ligne directrice, quand les partenaires ne se connaissent pas ou peu. Ca peut aider à respecter les limites. A condition de savoir s'en détacher si quelque chose ne va pas, bien sûr. Quand les deux partenaires se connaissent mieux, ce n'est plus utile, à moins que tous deux le veuillent.
Dernière modification le 22/02/2024 01:18:07 par M81.
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Maestro46
#11
Je vais donner une séance humiliation que j'avais faite :
pipa n'était pas très obeissante à mon gout CE JOUR la, le soir suivant elle me rejoint dans ma salle de muscu pour me rapporter qq'chose avant d'aller à sa danse classique. Elle me le donne pendant que je parlais à qq'un et me dit " de rien " !!!! avec mon regard elle à compris ( en rigolant en plus )!
Le soir quand elle est entrée, elle prend sa douche et me rejoint dans la chambre, je lui dis de se mettre à genou en nadu, elle s'execute! je la prends par les cheveux la plaque contre le mur les bras levés et je lui mets sa laisse! je lui demande ce qu'elle ai, et me repond ma soumise, ma petite pute etc!!!
Je l'attache au radiateur et lui jete un god, elle s'execute , quand elle est bouillante, je lui dit stop a genou contre le mur a coté du radiateur et je lui met un plug!
Elle est bouillante, je lui dis de ce retourné de continuer et de surtt pas jouir, je me branle et lui fait une facial, ensuite sans l'essuyer, je la prend par les chevaux la detache du radiateur et la met au coin a genoux avec un cahier ou elle écrit " je suis qu'une petite salope qui ne doit pas manquer de respect à Mon MAITRE! " toujours avec ma semanse!
Ensuite, je la prend violement la plaque contre le lit, lui baillone la bouche avec une corde que je tiens comme un cheval, lui retire le plug la sodomise et lui dit de ce goder en meme temps! et bien sur de me demander la permission de jouir!!! chose qu'elle fait bizarrement très très rapidement!
et vous, que faites vous ou aimez vous ?
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M81
#12
Routine du matin.
A 7h00, le clairon du réveil retentit (un réveil électronique qui lit un fichier mp3). Ca dure 21 ou 22 secondes. A 7h00'30'', je dois être debout, au garde-à-vous, à côté du lit, entièrement nu. Entre 7h01 et 7h03, mon dominant entre dans le dortoir. Il est nu aussi. Ma trique matinale n'a pas encore cessé. Parfois, mon dominant en profite pour me donner quelques coups du plat de la main sur le gland, mais pas toujours. Il me fait prendre la position qu'il veut, en m'y obligeant par des gestes brusques, jamais par la parole. La position qu'il m'impose varie d'un jour à l'autre, selon son envie du jour, mais elles ont toujours un point commun : il me menotte les poignets dans le dos.
Je subis une gorge profonde intégrale. Ca veut dire que chaque fois qu'il enfonce son pénis dans ma bouche, c'est jusqu'à la garde. Ca ne se passe pas en douceur. Ca commence toujours vigoureusement, et ca devient systématiquement brutal après une petite minute de "mise en route". Il me donne 10 à 15 coups rapides, puis, soit il recule de manière à ne laisser que son gland dans ma bouche, soit il ressort et me biffle, pour me laisser le temps de reprendre mon souffle. Puis il me donne à nouveau 10 à 15 coups rapides, et ainsi de suite. Parfois, il reste enfoncé à fond pendant 6, 7... 10 secondes avant de me permettre de respirer à nouveau. Après 10 à 20 minutes à me "défoncer la bouche" de cette manière, il éjacule, et j'avale son sperme. Bien sûr, pendant tout ce temps, je bave abondamment.
Il m’enlève les menottes. Direction la salle de bain. Nous nous lavons rapidement à l’évier, côte à côte. Ensuite, il va s’habiller dans sa chambre et je vais m’habiller dans le dortoir. Jockstrap, T-shirt, chaussettes, rangers, pantalon militaire. Dès que je suis habillé, je me mets au garde-à-vous à côté du lit. Mon dominant revient dans le dortoir une ou deux minutes après. Il inspecte ma tenue.
Direction la cuisine. Je prépare son repas et, parallèlement, mon rata de soldat que je dispose dans ma gamelle de soldat. Je lui sers son repas. Pendant qu’il mange, je reste en retrait sur le côté, en position repos. Quand il a fini de manger, je débarrasse la table. C’est à mon tour de prendre mon repas. Je sors mon pénis de mon pantalon, je me masturbe vigoureusement, et j’éjacule le plus rapidement possible sur ma nourriture. Je mange debout, en avalant à la fois ma nourriture et mon sperme, sous la surveillance de mon dominant.
Jusque là, aucune parole n’a été échangée. A ce moment, il me donne ses premiers ordres afin que je commence ma journée de soldat, et j’obéis.
Mon dominant m’impose la gorge profonde intégrale chaque matin depuis 34 ans, y compris les rares jours “vanille” qu’il nous impose, y compris durant nos vacances que nous passons aussi en “vanille”. Je n’aime pas ça, du moins pas à ce point, et il le sait. Mais je suis capable de de bien contrôler mon réflexe de nausée et de bien contrôler ma respiration. J’ai insisté pour que le règlement militaire stipule qu’il est lui est interdit de tenir compte de mes préférences. J’ai aussi insisté pour que le règlement stipule qu’il doit me faire subir au moins une gorge profonde intégrale chaque jour, parce que je sais qu’il aime ça, et qu’il risquait de me ménager si ça ne devenait pas une obligation. C’est lui qui a décidé qu’il me l’imposerait chaque matin, juste après le réveil. Il lui arrive de m’en imposer d’autre pendant la journée.
Il m’impose d’éjaculer sur ma nourriture à chaque repas depuis 34 ans, sauf les rares jours “vanille” et pendant nos vacances. J’ai commencé à avaler mon propre sperme quand j’avais 14 ans, et j’ai toujours trouvé ça assez excitant.
Cette routine matinale est un peu le reflet de ma soumission BDSM militaire : des contraintes que je n’aime pas, mais que j’accepte sans discuter du moment que je suis capable de les supporter, et des contraintes que j’aime et m’apportent même de l’excitation ou du plaisir.
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Maestro46
#13
Merci du partage. Effectivement très militaire avec beaucoup de rituels.
Et vous autres ? Se serait sympa de detailler qqs seances comme les 2 derniers messages non?
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LE DEMON 83
#14
bonsoir,
Je partage tout a fait le point de vue d'Atypik, Sila...... je ne prepare rien, meme si j'ai en tete qques pratiques, il est rare de les mettre en œuvre ! La spontanéité, le feeling reprennent le dessus... J'ai besoin de créativité, d'etre au plus pres du ressenti, de l'ambiance, d'une expression, d'une envie..... par contre j'ai tout mon "matériel" sous la main .... il est plus ou moins utilisé, peu importe, le but n'est pas pas d'enchainer mécaniquement quoi que ce soit, mais de vivre intensément chaque instant, d'une manière ou d'une autre ! Votre manière de faire est respectacle, mais ca n'a jamais été ma (notre) tasse de thé.
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Maestro46
#15
Le demon 93 , bonjour.
Et a l'instinct que faites vous comme seances? Vous avec pas un top 3 ? Ou autres ?
Hier, elle me dit ma tete a envie et mon corp moins je mouille pas trop ( la veille ) mais reprise apres les regles donc normal en soit.
L'aprem , les filles vont faire du roler je lui dis d'aller dans la chambre, je lui prends un god et doit ce chauffer... au bord de l orgasme je jouis sur so corps et lui dit d'arreter : tu vois tu mouilles bien.
Ensuite je lui dit d ecrire 3 façons ou elle aimerait jouir... elle me l'ecrisñt et je rajoute " rien" je lui dis ce soir on va faire 3 jeux. Si tu en gagne un tu pourras jouir sonon tu auras rien... 3 jeux de hazard par ex pierre feuille ciseau ... elle a perdu les 2 premiers... et gagner le 3 eme ouf... et a bien jouis.
La j'ai improvisé ... defois j ai une idée en tete et je m y tiens , defois vu la seance sa devie mais l'idée principal est la pour une autre fois pour TOUJOURS FAIRE QQ CHOSE DE NOUVEAU.
Soyez la première personne à aimer.
M81
#16
Séance de torture (première partie).
Nous sommes dans la “salle de torture”. Certaines personnes l’appelleraient “donjon”. Nous préférons “salle de torture”.
Je suis nu, debout devant la grande table. Enfin... Debout... Je suis plié à angle droit, le torse posé sur la table, les poignets joints dans le dos par des bracelets en cuir reliés par un mousqueton, jambes maintenues écartées par des bracelets en cuir reliés aux pieds de la table par des chaînes. Mon Chef vient de me sodomiser très brutalement. Il m’a “défoncé le cul” pendant une bonne quinzaine de minutes, puis a éjaculé en restant bien planté à fond.
Quand mon Chef pénètre un soldat, que ce soit la bouche ou l’anus, ce n’est pas un acte amoureux romantique et tendre. Ce n’est pas non plus une bonne baise entre hommes. C’est un “abus sexuel”. Ca ne se passe jamais en douceur. C’est toujours entre brutal et très brutal. C’est quand il veut, comme il veut, autant qu’il veut. Je suis entraîné pour pouvoir le supporter. Et j’aime ça! Sentir sa force, son excitation, sa virilité, être un objet sexuel au service de sa jouissance, c’est à la fois excitant et gratifiant pour moi.
Mais revenons au sujet.
Après m’avoir laissé quelques minutes dans la position qu’il m’a imposé pour la sodomie, il me détache. Il me fait me coucher à plat ventre sur la grande table. Il m’attache, bras écartés et jambes jointes, le corps bien tendu, en reliant les bracelets de cuir aux anneaux de fixations par des chaînes et des mousquetons. Il me bande les yeux.
Il dit “Punition pour faute grave!” Je réponds “Chef, oui, Chef!”. Immédiatement, il m’inflige le premier coup sur le dos, à pleine puissance. Je reconnais la douleur “piquante” et superficielle du martinet léger, celui qui a 10 lanières en cuir, fines, étroites et plutôt courtes. Martinet léger ne veut pas dire douleur légère. Sa légèreté permet justement au dominant de donner de la vitesse aux lanières en se fatiguant peu, et le petit coup de poignet au bon moment permet d’augmenter encore la vitesse. Punition pour faute grave, ça veut dire que le tarif est de 40 coups. Pendant une punition, je dois compter les coups. Il frappe, je compte, il frappe, je compte, et ainsi de suite, à un rythme rapide. Quand la punition est terminée, il annonce immédiatement une autre punition pour faute grave. Je prends 40 coups du même martinet sur les fesses. Après, il annonce à nouveau une autre punition. Encore le même martinet, 40 coups, sur l’arrière des cuisses. C’est plus douloureux que sur le dos et les fesses, mais je supporte stoïquement.
Il annonce encore une punition. Je prends 40 coups sur le dos. Je reconnais les sensations du martinet à 25 lanières en cuir. Plus larges, plus épaisses, plus lourdes, un peu plus longues, ces lanières donnent des douleurs moins “piquantes”, mais se propageant plus en profondeur. Il enchaîne sur une autre punition. 40 coups de ceinture sur les fesses. Une ceinture large, épaisse, lourde, pliée en deux, qui donne des impacts très profonds. Et ensuite, 40 coups du martinet à 25 lanières sur les cuisses.
Et ça continue! 40 coups de ceinture sur le haut du dos, 40 coups de ceinture sur les fesses, puis 40 coups de ceinture sur l’arrière des cuisses. La ceinture sur les cuisses est bien plus douloureuse que les martinets. Mais je continue à compter les coups sans laisser voir que je souffre.
Il me détache les poignets, me fait me retourner sur le dos, et me rattache les poignets, toujours bras écartés. 40 coups de martinet léger sur les abdos. Puis 40 coups de cravache sur chaque téton. La cravache courte à bout large. Si j’ai subi sans manifester ma douleur jusque là, mes tétons sont assez sensibles. Mais je prends sur moi.
Un soldat doit se comporter comme un homme, un vrai, un dur. Et un vrai dur, ça souffre en fermant sa gueule! Interdiction de crier, de hurler ou de pleurer! Les gémissements sont tolérés, mais ils sont considérés comme un signe de faiblesse. Obligation de compter chaque coup à voix haute et claire. Si j’oublie de compter, ou si je me trompe en comptant, la punition recommence à zéro. C’est écrit noir sur blanc dans le règlement militaire. Je dois m’y conformer, quoi qu’il m’en coûte!
Il n’en a pas fini avec moi. Encore 40 coups de martinet léger sur les abdos. Et encore 40 coups de cravache sur chaque téton. Je me concentre autant que je peux sur le comptage pour détourner mon attention de la douleur. Comme j’ai les yeux bandés, mes autres sens sont plus aiguisés. J’ai la sensation de souffrir plus que si j’y voyais. J’ai beau savoir que c’est subjectif, ça ne m’aide pas beaucoup. Je sens aussi que je commence à être bien chargé en endorphines. Mais pas encore saturé.
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M81
#17
Séance de torture (deuxième partie).
Et ça continue! Je prends encore 40 coups de martinet léger sur les abdos. Et ensuite, c’est reparti pour 40 coups de cravache sur chaque téton. Une cravache plus longue et au bout plus étroit, qui provoque à chaque coup une douleur fulgurante. Je commence à être moins clair quand je compte et à émettre des Hmmm aux coups les plus puissants.
Et puis, il arrête de me punir. Je pense que c’est fini. Ou pas? Je n’en sais rien! Je sens que je suis proche de la saturation en hormones. Il ne manque pas grand chose pour que je plonge dans le “monde parallèle”. Je regrette presque qu’il se soit arrêté.
Soudain, je le sens manipuler mon pénis. Je sens un doigt se poser à l’endroit ou le frein de mon prépuce rejoint mon gland. Le doigt y laisse une goutte humide. Très vite, je ressens une impression de brûlure. Oh non! Pas ça! Mais je dois me rendre à l’évidence : c’est du tabasco. Une deuxième goutte rejoint la première. Augmentation de la douleur. Puis, c’est la tout mon gland qui est massé avec ce maudit liquide. La douleur s’amplifie radicalement. Ensuite, il me masturbe en se servant du tabasco comme lubrifiant. Il en étale sur toute la longueur de ma verge. Tout mon pénis est en feu! C’est horriblement douloureux. Je n’arrive plus à me retenir. Je gémis, d’abord un peu, et rapidement de plus en plus fort. Mais sans crier ni hurler, même si ce n’est pas l’envie qui manque. Peu à peu,, je me sens perdre pied. La douleur est toujours là, toujours aussi cuisante, mais je suis comme détaché de moi-même, comme si j’étais parti ailleurs. A un moment, je ne sais pas combien de temps après, j’éjacule. Enfin, je n’en suis pas sûr, mais j’ai la sensation que mon pénis est en train d’exploser, et c’est à la fois très douloureux et très jouissif. Je suis en extase!
Je ne sais pas combien de temps après non plus, je redescends peu à peu de mon monde parallèle. Petit à petit, je reprends conscience de la table, des entraves... Et de la douleur, aussi, même si elle a diminué. Je prends aussi conscience des mains en train de masser mes abdos endoloris. Mais... Non. Il ne me masse pas. Il est en train d’étaler le sperme qui a atterri sur mon ventre, ce qui me confirme que j’ai éjaculé, comme je le pensais. Il me laisse attaché, les yeux bandés, encore longtemps. Du moins, je pense que c’est longtemps. A un moment, je sens qu’il me suce. Je pense que ça dure longtemps aussi. Et quand j’approche de l’éjaculation, il arrête, ruinant mon orgasme. Quand j’ai complètement débandé, il me libère et me retire le bandeau des yeux, et me laisse encore un moment allongé sur la table. J’ai encore mal, et pourtant, je me sens bien.
Soyez la première personne à aimer.
M81
#18
Séance de torture (troisième partie).


Puis, il m’enlève les bracelets en cuir et m’ordonne de m’habiller. Je m’habille le plus rapidement possible, et je me mets au garde-à-vous pour attendre les ordres. Il dit “Soldat, tu as gémi!”
Moi - “Chef, oui, Chef!”
Lui - “Soldat, tu es une lopette!”
Moi - “Chef, oui, Chef!”
Lui - “Répète!”
Moi - “Chef, je suis une lopette, Chef!”
Lui - “Plus fort!”
Moi - “Chef, je suis une lopette, Chef!”
Pendant... Je ne sais pas exactement, mais probablement plus de vingt minutes, il tourne autour de moi, approche son visage à un ou deux centimètres du mien pour crier ou hurler des insultes, et me les fait répéter plusieurs fois.


Il m’emmène au cachot. Il me fait m’allonger à plat ventre. Il replace les bracelets en cuir à mes poignets. Il m’attache les pieds joints avec une corde, puis il relie mes pieds au mousqueton des bracelets avec une autre corde, courte. Il éteint la lumière et ferme la porte. Je suis dans l’obscurité totale. Je passe la nuit dans cette position de stress, sans avoir reçu mon repas du soir. J’arrive à dormir, mais je me réveille parfois, et j’en profite pour basculer d’un côté ou de l’autre en me tortillant.


Ca s’est passé le soir du jeudi 31 décembre 2020. C’est le plus excitant réveillon du nouvel an qu’il m’ait offert. Le matin de 1er janvier, il a détaché la corde reliant mes pieds à mes poignets. Je suis resté au cachot, toujours poignets attachés dans le dos et pieds liés par une corde. Quand je suis au cachot, c’est au pain sec et à l’eau, un seul repas par jour. Comme je suis resté entravé en permanence, j’ai été obligé de manger et boire à plat ventre, en prenant directement le pain avec ma bouche et en buvant comme je pouvais. Comme je ne pouvais pas me masturber pour éjaculer sur ma nourriture, c’est mon Chef qui a répandu sa semence sur le pain. Comme il ne m’a donné l’occasion de faire mes besoins à aucun moment, je n’ai pas eu d’autre choix que de les faire dans mon uniforme. Quand il m’a libéré, le matin du dimanche 3 janvier, j’étais sale et puant. Il m’a puni pour ça. 20 pompes! Il a jugé que je les avait mal faites. Peu importe que ce soit vrai ou non. Le Chef a toujours raison! 20 pompes en plus! Puis, routine du matin, et ensuite entraînement.
Dernière modification le 27/02/2024 05:51:20 par M81.
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M81
#19
Petite précision, pour donner une idée du rythme. Une punition à 40 coups, ça prend 2 minutes maximum. Et entre les différentes punitions, juste le temps de les annoncer, et de changer d'instrument quand il y a changement.
Soyez la première personne à aimer.
M81
#20
Une autre séance de torture.
Je suis à plat ventre sur la grande table, nu. Bracelets en cuir aux chevilles et aux poignets, chevilles attachées ensemble, poignets attachés ensemble dans le dos. Les bracelets des chevilles sont reliés à une chaine fixée au plafond de manière que mes jambes soient repliées sur mes cuisses selon un angle de 45°, à peu près. Les bracelets des poignets sont reliés à la chaine fixée au plafond de manière que mes bras soient tirés vers le haut à un angle de 45°, à peu près. Je porte un bâillon à boule, 5 cm de diamètre.
Sous mon menton, une plaque en bois maintenue à deux coins par des charnières. Cette plaque repose sur trois boutons-poussoirs qui ferment trois circuits électriques. Un des circuits concerne la cage de chasteté que je porte, munie de deux électrodes qui appuient de chaque côté de mon gland. Le deuxième circuit conduit a deux électrodes placées sur mes testicules. Le troisième circuit concerne un plug bipolaire placé dans mon cul. Quand je baisse la tête, les boutons-poussoirs sont actionnés, et je prend une décharge électrique. Il y a trois interrupteurs, un pour chaque circuit. Mon Chef change régulièrement les position de chaque interrupteur. Ca veut dire que quand je baisse la tête et actionne les boutons poussoirs, je peux aussi bien prendre une décharge dans les trois paires d'électrodes, dans deux paires, dans une seule, ou pas du tout. Je ne sais jamais dans quelles positions sont les interrupteurs. Les électrodes sont alimentées par un e-stim réglé à forte puissance.
Au début, facile de ne pas poser la tête sur la plaque en bois, mais plus le temps passe, plus la fatigue se fait sentir, et plus souvent j'appuie sur le plaque. Parfois, mon Chef pousse sur ma tête pour que m'obliger à actionner la plaque. Bref, je prends régulièrement des décharges électriques.
En plus, mon Chef me donne des coups de cravache, sur les bras, les jambes, les cuisses, les fesses, les épaules, le dos, la plante des pieds, parfois isolés, parfois par séries plus ou moins nombreuses, selon son envie du moment. Sans oublier que, si la position est supportable au début, elle oblige certains muscles à s'étirer et d'autres à se contracter. Avec le temps, la position provoque des douleurs sourdes, par violentes, mais lancinantes.
Après 12 heures dans cette position, il me détache et m'enferme dans "le cercueil". C'est une grande boite rectangulaire en bois où il me couche allongé sur le dos, les poignets joints par devant et attachés par une chaine à un collier en cuir, de manière que mes mains reposent sur mes pectoraux. J'ai des bouchons dans les oreilles, et je porte un masque à gaz dont les vitres sont occultées, de manière que je sois dans l'obscurité totale. Le tuyau du masque à gaz est fixé à un orifice dans le couvercle de la boite, pour que je puisse respirer. Mon Chef ferme le couvercle. J'ai toujours les électrodes fixées aux même endroits. Mon Chef m'inflige régulièrement des choc électriques, parfois uniques, parfois par salves de choc courts, parfois longs... Il laisse parfois un temps très court entre les chocs électriques, parfois plus longs, parfois très longs...
A certains moments, je m'endors. Je suis réveillé par des décharges électriques, je ne sais pas combien de temps après. Puis je me rendors. Jusqu'au moment où il me réveille à nouveau d'une période de sommeil par une décharge longue, ouvre la boite et me libère. C'est le matin, donc routine du matin, puis retour au service actif. En tout, le supplice a duré 22 heures. J'ai eu des décharges d'endorphines, mais je n'ai jamais atteint l'extase. C'était voulu. Il avait raison de le faire. Il est le Chef, et le Chef a toujours raison.
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Sweetqueen
#21
M81, 
Merci pour ce partage authentique et détaillé. Votre relation est de toute beauté. Votre Chef sait vous punir et vous doser parfaitement douleur intense- recupération - douleur intense et peu de plaisir. J'ai été touchée de lire combien vous prenez sur vous pour le satisfaire, pour être un meilleur soldat jour après jour et ce depuis 34 ans !! Merci pour votre témoignage. J'ai vibré à l'expertise sadique de votre Chef, comme il est bon de lire une telle maitrise de pulsions sadiques, régularité, cadences réflechies, progression continue pour vous surfer à la limite de l'(in)supportable
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M81
#22
@ Sweetqueen
Peut-on les appeler punitions ? Dans la première séance que j'ai racontée, il parlait de punition, mais il ne donnait aucune raison, et je n'avais pas commis de faute impliquant une punition. Dans la deuxième séance que j'ai racontée, il n'a pas parlé de punition. Il avait envie de me faire souffrir, et son envie suffisait à justifier qu'il le fasse.
Je prends sur moi, oui, mais c'est le rôle du soumis de supporter autant qu'il peut ce que son dominant veut lui infliger. Notre mode de vie dans l'intimité est très contraignant pour moi, mais pour lui aussi. Lui aussi donne tout jour après jour pour me satisfaire. C'est une recherche permanente de sensations et de plaisir intenses, y compris quand il m'impose le non-plaisir, qui fait partie du "jeu". Je pense que ce n'est pas possible de pratiquer intensément au long cours s'il n'y a pas une volonté réciproque de s'offrir à son partenaire.
Le rôle du dominant n'est pas plus facile que celui du soumis. Comme vous l'évoquez, il exige une excellente maîtrise se soi, il exige de perfectionner sans cesse ses compétences, il exige de bien connaître son partenaire et de bien mesurer son niveau de forme pour pouvoir aller loin sans aller trop loin... Et, dans notre BDSM militaire, il faut assurer physiquement ! L'entraînement physique qu'il m'impose, il se l'impose aussi, pour entretenir sa condition physique et pouvoir me faire sentir sa force et son endurance en toutes circonstances.
Une relation, ça se construit à deux, que ce soit en "vanille" ou en BDSM. Si l'un des deux ne s'y implique pas, n'y apporte rien, ça ne tient pas.
Dernière modification le 03/03/2024 00:50:16 par M81.
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M81
#23
Journées de corvées.
Après la routine matinale, mon Chef m'ordonne de nettoyer la salle de bain selon la procédure n°2. Ca veut dire nettoyer les murs et le sol carrelage par carrelage. Dans l'ordre, laver avec un chiffon humide avec un produit nettoyant naturel, rincer avec un chiffon humide sans produit, sécher avec un chiffon sec. Debout ou accroupi pour les murs, à genoux, avec genouillères, pour le sol. J'ai deux heures pour le faire, et pour que ce soit impeccable en deux heures, je dois travailler vite. Pour corser la corvée, je n'ai pas l'heure, donc, je ne sais jamais précisément combien de temps il me reste.
Nous allons dans la salle de bain, et je commence immédiatement la corvée. Mon Chef m'encourage à la voix avec des "Plus vite!" et des "Mieux que ça!". Je réponds à chaque fois "Chef, oui, Chef!" en continuant à travailler. Toujours pour m'encourage, il me donne de temps en temps des coups de cravache, sur les épaules, le dos, les flancs, les fesses, les cuisses. J'ai beau être habillé, mes vêtements n'amortissent pas beaucoup les coups, qui sont assez forts. Puis il me laisse travailler seul. A un moment, il revient m'encourager de la même manière pendant plusieurs minutes. Puis il me laisse seul à nouveau.
J'ai fini avant qu'il vienne vérifier si la corvée a été bien faite. Comme le prévoit la procédure n°2, je me mets en position repos à côté de la porte. Quelques minutes plus tard, il entre. Je me mets au garde-à-vous, je salue, et je me remets au garde-à-vous. Il inspecte la salle de bain. Soudain, il crache deux fois sur un mur et trois fois par terre. Il se met à hurler pour dénigrer mon travail et m'insulter. Après chaque phrase, je réponds "Chef, oui, Chef!". Il ordonne "Nettoie ces taches avec ta langue!" Je réponds "Chef, oui, Chef!". Immédiatement, je me mets à quatre pattes, je lèche ses crachats sur le sol et les avale, puis je me lève, je lèche ceux sur le mur et les avale. Il ordonne "Recommence!". Je réponds "Chef, oui, Chef!", et je me remets immédiatement au travail. C'est reparti pour un tour, à peu près de la même manière.
Quand il revient vérifier la deuxième corvée, il n'inspecte pas. Il ordonne "Pantalon!". Je réponds "Chef, oui, Chef!", j'ouvre et baisse immédiatement mon pantalon. Il me plaque contre un mur, m'écarte un peu les jambes,, lubrifie mon anus à deux doigts, puis me sodomise. Il fait durer son plaisir pendant une quinzaine de minutes, brutal du début à la fin. Puis il ressort, se masturbe et éjacule par terre. Il hurle "Nettoie ces taches avec ta langue!" Je réponds "Chef, oui, Chef!". Immédiatement, je me mets à quatre pattes, sans me rhabiller, je lèche et avale son sperme. Puis il m'ordonne de me rhabiller. Il m'ordonne de préparer le repas du midi.
Après le repas, il m'ordonne de recommencer la corvée. Je recommence, dans les mêmes conditions. Quand il vient vérifier, il m'engueule et m'insulte à nouveau. Il m'ordonne de baisser mon pantalon, je l'ouvre et le baisse, il m'enfonce le gros plug prostatique dans le cul, il m'ordonne de me rhabiller, puis il m'ordonne de recommencer.
Après la troisième corvée, il me retire le plug anal, puis m'ordonne de recommencer. Toujours dans les mêmes conditions, avec des périodes d’encouragement à la voix et à la cravache, et des périodes où il me laisse travailler seul.
Après la quatrième corvée, il inspecte, et il semble satisfait, même s'il ne me le dit pas. Il ordonne le nettoyage de la salle de bain selon la procèédure n°3. Ca veut dire nettoyer tous les joints entre les carrelages à la brosse à dents. J'ai quatre heures pour le faire, et pour que ce soit impeccable en quatre heures, il faut que je travaille vite. Nettoyer un joint, sécher, nettoyer un autre joint, sécher, et ainsi de suite.
A un moment, il m'ordonne de préparer le repas du soir. Après le repas, il m'envoie continuer la corvée. Quand il vient vérifier, il ne regarde même pas et m'ordonne de recommencer. Je recommence.
A la fin de la journée, il interrompt la corvée en cours pour la routine du coucher.
Le lendemain après la routine du matin, il me fait recommencer la procédure n°3 depuis le début. Nettoyage des joints à la brosse à dents. Trois fois de suite. A la fin de chaque corvée, il m'inflige 40 coups de ceinture sur les fesses, à pleine puissance, pour récidive de corvée mal exécutée. Après la première corvée, sodomie brutale pendant 20 minutes. Après la deuxième corvée, gorge profonde intégrale pendant 20 minutes, après la troisième corvée, sodomie brutale pendant 20 minutes, Puis attaché en position de stress jusqu'à la routine du coucher, sur le ventre, poignets attachés dans le dos à la barre d'écartement et chevilles attachées écartées à la même barre d'écartement. Pendant que je suis en position de stress, il me frappe à coups de cravache forts sur toutes les zones de mon corps accessibles.
Ca s'est passé un week-end. Comme nous avions encore des activités professionnelles, à cette époque, le lendemain matin, je suis allé au boulot et je me suis comporté toute la journée comme si j'avais passé un week-end agréable. Ce n'était pas faux. J'avais apprécié ce qu'il m'avait fait subir.
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