De par ses caractéristiques spécifiques (instantanéité, aspect vexatoire, surprise, impact psychologique, ...) la gifle est une pratique à part.
Concernant la possibilité d'aborder le sujet dans le domaine public: au delà de l'aspect vexatoire qui peut susciter de la réprobation, il y a des associations d'idées qui sont faites, consciemment ou inconsciemment, entre la gifle et des situations de maltraitance (femmes battues, ...), d'humiliation (l'humiliation qui blesse profondément, pas le jeu), d'injustice, ... Elle peut aussi être associée à des souvenirs d'enfance qui ont marqué. Je vous conseille de lire l'avis de Lady Spencer (commentaire numéro 53), qui explique cela très bien.
C'est donc par nature un sujet délicat à évoquer. J'ai néanmoins l'impression qu'à mesure que le temps passe, c'est de plus en plus facile d'en parler en public, sur un forum comme celui-ci, sans susciter immédiatement la réprobation ou l'incompréhension. Il est mieux pris en compte le fait que cela convient pour certains couples et pas pour d'autres, et qu'il ne s'agit pas d'en faire une généralité.
En tout état de cause elle ne doit pas être imposée par surprise sans s'être assuré au préalable qu'elle n'est pas psychologiquement traumatisante pour le/la soumis(e). C'est à discuter en début de relation, comme tout, mais cela plus particulièrement. C'est à rapprocher, je pense, de débats qu'il y a eu sur les phobies, certains Maîtres défendant l'idée de jouer sur les phobies pour faire "grandir" la soumise. C'est jouer à l'apprenti sorcier, de mon point de vue. J'ai le vertige et je sais que si mon Maître me forçait à affronter cette phobie, cela me traumatiserait complètement. Ceux qui n'ont pas le vertige ne peuvent pas comprendre la terreur que la vue du vide peut causer.
Concernant la possibilité d'aborder le sujet dans le domaine public: au delà de l'aspect vexatoire qui peut susciter de la réprobation, il y a des associations d'idées qui sont faites, consciemment ou inconsciemment, entre la gifle et des situations de maltraitance (femmes battues, ...), d'humiliation (l'humiliation qui blesse profondément, pas le jeu), d'injustice, ... Elle peut aussi être associée à des souvenirs d'enfance qui ont marqué. Je vous conseille de lire l'avis de Lady Spencer (commentaire numéro 53), qui explique cela très bien.
C'est donc par nature un sujet délicat à évoquer. J'ai néanmoins l'impression qu'à mesure que le temps passe, c'est de plus en plus facile d'en parler en public, sur un forum comme celui-ci, sans susciter immédiatement la réprobation ou l'incompréhension. Il est mieux pris en compte le fait que cela convient pour certains couples et pas pour d'autres, et qu'il ne s'agit pas d'en faire une généralité.
En tout état de cause elle ne doit pas être imposée par surprise sans s'être assuré au préalable qu'elle n'est pas psychologiquement traumatisante pour le/la soumis(e). C'est à discuter en début de relation, comme tout, mais cela plus particulièrement. C'est à rapprocher, je pense, de débats qu'il y a eu sur les phobies, certains Maîtres défendant l'idée de jouer sur les phobies pour faire "grandir" la soumise. C'est jouer à l'apprenti sorcier, de mon point de vue. J'ai le vertige et je sais que si mon Maître me forçait à affronter cette phobie, cela me traumatiserait complètement. Ceux qui n'ont pas le vertige ne peuvent pas comprendre la terreur que la vue du vide peut causer.
Dernière modification le 03/10/2024 20:54:51 par sylvie35.
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