Chacun a sa propre relation à la douleur. Les échelles de la douleur sont utilisées dans le monde médical mais piègent certaines personnes qui sous-estiment leur mal ou leur niveau de résistance à la douleur. J'en fais partie. Je peux passer entre les maillons d'un diagnostique parce que je dis que j'ai mal à 7 alors qu'il faudrait que je dise 10 (exemple : une colique néphrétique que j'ai géré seule dans mon lit alors que j'aurais du aller aux urgences), et c'est un vrai problème aussi dans le BDSM avec l'éternelle question de : quand utiliser son safeword ? Par danger réel ou par limite physique dépassée ? Comment bien graduer une échelle de douleur universelle quand on a tous des définitions différentes de sa propre douleur ?
Dernière modification le 31/05/2025 15:40:55 par Ekho.
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