La gynarchie:

Qu'est ce que la gynarchie

La gynarchie dans le BDSM est une pratique qui consiste à donner le pouvoir aux femmes dans une relation BDSM. Cette approche peut être appliquée à diverses formes de pratiques sexuelles, telles que la domination, la soumission, le sadisme et le masochisme. Elle est fondée sur le principe selon lequel les femmes sont intrinsèquement supérieures aux hommes et qu'elles devraient donc jouer un rôle dominant dans les rencontres BDSM et avoir la primauté dans la relation et l'exercice sexuel.

La gynarchie peut être mise en œuvre de différentes manières dans une relation BDSM, notamment en ayant recours à des pratiques telles que la chasteté masculine ou le piétinement. La gynarchie dans le BDSM implique que la femme ait un pouvoir à part sur le mâle, celui de faire des choix et prenne le contrôle des interactions sexuelles, tandis qu'à l'inverse l'homme se soumet à ses désirs et à ses besoins.

Il convient de noter que la gynarchie ne doit pas être confondue avec le féminisme. Le féminisme vise à l'égalité entre les sexes, alors que la gynarchie dans le BDSM est une pratique impliquant l'établissement de rapports de pouvoir inégaux entre les partenaires. Il est également important de souligner que le consentement est une composante essentielle de toute interaction BDSM, y compris dans les relations gynarchiques.

Les origines de la gynarchie dans le BDSM sont difficiles à retracer, mais on peut souligner son lien avec les mouvements de domination féminine qui ont pris de l'ampleur dans les années 1970 et 1980. Les mouvements de domination féminine se concentraient sur la notion de l'autonomie des femmes et sur leur capacité à prendre le contrôle de la sexualité. La gynarchie dans le BDSM a été influencée par ces courants de pensée et a, tout naturellement, trouvé une place dans les pratiques BDSM modernes.

De nombreux adeptes du BDSM considèrent que la gynarchie apporte une inégalable intensité et un plaisir incomparable dans lors des relations sexuelles. En donnant le pouvoir aux femmes, les hommes dans ces relations peuvent se sentir soulagés de la pression de la prise de décision et peuvent se concentrer sur le plaisir et le respect de leurs partenaires.

La place des femmes dans le BDSM : l'avènement de la gynarchie

L'oppression des femmes était présentes dans toutes les cultures depuis des siècles, et cela n'a pas épargné le monde BDSM. Dans le passé, le BDSM était considéré comme une pratique brutale et violente, et les femmes étaient souvent réduites à des rôles passifs. Une image typique de ce stéréotype est celle de la femme enchaînée, soumise à des actes sexuels brutaux et humiliants. Les hommes dominaient le domaine du BDSM, et cela n'était pas différent dans la vie quotidienne. Les femmes devaient se plier à la volonté des hommes, et les rôles traditionnels s'installaient naturellement.

Pourtant, au cours du XXe siècle, un changement est survenu. Les femmes ont commencé à s'affirmer et à revendiquer leur place dans le monde BDSM. Elles ont commencé à former des groupes et des communautés pour échanger des conseils et des astuces sur la pratique sexuelle. Elles ont commencé à expérimenter de nouveaux rôles dans la pratique sexuelle et à prendre le contrôle.

La gynarchie a émergé au début du 21e siècle comme une réponse à cette évolution. Les femmes se sont réunies pour créer une société basée sur le pouvoir des femmes, où les femmes dominaient les hommes dans tous les aspects de la vie, y compris dans les pratiques sexuelles. Les membres de ces communautés ont généralement pris des noms de déesses, affirmant leur position dominante et leur pouvoir sur les hommes. Plusieurs rituels ont été créés pour célébrer l'ascension des femmes dans le BDSM, comme le rituel de la ceinture.

L'objectif de la gynarchie est de créer une société où les femmes dominatrices ne sont plus soumises aux contraintes traditionnelles de la vie quotidienne et sont libres de conduire leur sexualité à leur guise. La gynarchie a permis aux femmes de devenir des individus autonomes et créatifs. Elle a ouvert de nouvelles perspectives pour les femmes, permettant ainsi la participation active et épanouissante de tous les genres.

Enfin, il est important de souligner que la gynarchie n'est pas une pratique qui s'inscrit dans la lignée du féminisme, mais un autre mouvement visant à contester les normes de genres établies. Au contraire, la gynarchie se concentre sur la préservation de la domination féminine, ce qui est une caractéristique commune dans la plupart des sociétés. La gynarchie soutient que le pouvoir est un élément naturel de l'humanité, et que les femmes doivent exercer leur propres pouvoirs pour atteindre une société gynarchiste


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A propos du groupe
BDSM
Créateur

Gynarchie def.
La gynarchie est une tendance qui célèbre et encourage la domination absolue des femmes dans les relations BDSM consensuelles. Dans ce cadre, les femmes sont au-dessus des hommes dans le cadre des jeux de pouvoir. La gynarchie offre aux femmes une occasion  de prendre le contrôle et de diriger. Dans le contexte de la gynarchie, les femmes ont le pouvoir de définir les limites et de d'édicter les règles, créant ainsi un environnement sûr et consensuel pour tous les partenaires impliqués.

Consultez également : chastete forum

VAL-lou
Bonjour, J ecris sur ce groupe pour recueillir vos témoignages Je vie actuellement une relation D/s avec ma Reine, qui a commencé il y a quelques temps et dont les sentiments grandissant nous orientent vers une relation gynarchique, je suis prêt a cela et elle y aspire Seulement je ne sais pas comment lui traduire dans le quotidien Je pense que je la sert correctement, que je réponds a ses besoins, je suis a sa disposition et lui obéi à tout sans limite mais j ai toujours l'impression que ce n est pas assez ? Quand par exemple elle se sent frustré que je sois loin ou que je n arrive pas a l'aider sur un sujet a distance ou encore quand je lis sa déception sur son visage, ca me fait dire que je suis pas a la hauteur que je ne sert a rien. Je veux toujours faire plus, peut être par peur qu elle me delaisse?, ou par peur que notre relation se transforme en une relation vanille si il n y avait plus cette notion d abnégation et d allégeance ? Est ce que d'autres comme moi ont ce sentiment de se trouver etre jamais assez bien et de vouloir toujours faire plus pour sa Dominatrice ? Est ce que sur ce groupe il y a aussi des dominatrices qui voudraient bien temoigner de comment elles vivent leur relations gynarchique, du maintien de cette relation au quotidien, ce qui vous satsfait dans celle ci. Merci a vous Lou-soumis
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Tav
Bonjour je comprends tout à fait votre situation et votre question. J’ai lu votre annonce et j’aime beaucoup. Vous semblez bien soumis et assez maso, vous êtes déjà allé assez loin dans votre relation D/S avec votre compagne ! Bravo à vous deux. Peut-être aimeriez-vous vous allez encore plus loin? Mais je ne pense pas que votre Maîtresse vous délaissera parce quf vous ne lui êtes pas assez soumis. Veut elle être plus dominatrice envers vous ? Dans une relation D/S ce n’est pas au soumis de fixer les règles de domination, mais c’est à la personne dominante de mener son soumis la ou elle le souhaite. C’est par un dialogue franc et sincère, des échanges et beaucoup d’écoute que vous pourrez tous les deux avancer dans votre relation gynarchique. Voilà en quelques mots ce que je peux vous dire.Je serai heureux d’échanger avec vous en MP! Bonne continuation.
J'aime 25/05/25
VAL-lou
Merci pour votre message qui me donne a reflechir , vous avez raison, ce n est pas a moi de fixer les regles mais bel et bien a elle..meme dans mon desir de me soumettre
J'aime 26/05/25
soumyvbi
Val-lou : Il est déjà essentiel qu'Elle , partage avec vous , cet état de fait .c'est même une très grande chance , un bonheur !Profitez en bien , et suivez ses directives et désirs , sans pour autant , lui paraitre ,être une "larve" ,soyez vous même .Si vous êtes un vrai soumis , tout se fera naturellement 1f618.png
J'aime 26/05/25
VAL-lou
Merci soumyvbi, pour votre réponse, oui je suis un vrai soumi et je dirai meme ultra soumis. Elle aime oui que je reste moi même avec mes imperfections, mes réflexions , mes erreurs qui montre justement que je ne suis ni une larve ni une lopette et on échange bcp sur le sujet.. C est vrai, c est sans doute moi qui me met la barre trop haut
J'aime 26/05/25
soumyvbi
Vous avez une Maîtresse Femme très intelligente
J'aime 27/06/25
VAL-lou
Ooooh oui elle est très réfléchie et a bcp de bienveillance, c est pour cela que notre relation pourrait s apparenter a de la vanille mais il n en est rien, c est juste qu on est pas dans les clichés de la femme dominatrice dure et sévère sans considération pour son soumis ..notre epanouissement est mutuel en toute connaissance de nos rôles respectifs
J'aime 27/06/25
soumyvbi
Val-lou , vous en avez de la chance , je vous envie beaucoup
J'aime 06/07/25
Jordan
a partagé une photo
Bonsoir, C’est avec humilité et une profonde sincérité que je me présente ici, en tant que soumis novice, porté par un ardent désir de guidance, de structure et d’appartenance. Naturellement docile, respectueux par conviction, je m’ouvre avec gravité et fascination à l’univers de la domination féminine — un monde qui, dès mes premiers pas, s’est imposé à moi comme une évidence. Je ne suis ni en quête de jeu passager, ni de caprice éphémère. Ce que je recherche, c’est une véritable Maîtresse : forte, bienveillante, exigeante, et animée par la volonté d’élever, de façonner et de guider. Je n’ai rien à prouver, rien à dissimuler. Mon souhait est clair : plaire, servir et évoluer sous l’autorité éclairée d’une Femme dont l’intelligence et la fermeté inspirent l’obéissance et le don de soi. Je me tiens prêt, à nu dans mon esprit, à offrir mon respect absolu, ma loyauté entière et mon corps disponible à l’éducation. Je veux appartenir à Celle qui saura voir en moi un potentiel à révéler, un esprit à affiner, une volonté à discipliner selon Ses attentes, Ses désirs, Sa vision. À l’écoute, rigoureux, avide d’apprendre, je suis disposé à accueillir ordres, règles et attentions au sein d’un lien réel, ancré dans la confiance, la rigueur, et une volonté partagée de progression mutuelle. Si Vous êtes une Maîtresse en quête d’un soumis sincère, dévoué et prêt à se laisser façonner, alors je suis là. À genoux, dans le silence respectueux de l’attente, offert au regard et aux directives de Celle qui choisira de me prendre en main. Avec toute ma dévotion.
Soumisxa
a partagé une photo
Maîtresse me domine, me dresse , me façonne… si elle n’est pas satisfaite de l’évolution ou si je ne remplis pas ses souhaits…. elle a la clé pour régler les vis !
Alleraubout
Je suis là, vous espérant. Redoutant que vous existiez et mettiez en œuvre votre perversion. Espérant plus que tout que vous pointerez votre doigt majestueux pour me faire signe de venir. La gynarchie n'est pas un jeu. La gynarchie n'est pas une question de pouvoir La gynarchie n'est pas une domination. La Gynarchie est dans la nature humaine. C'est l'expression parfaite du pouvoir. Des siècles d'invisibilité doivent donner place au pouvoir absolue des Femmes. Question : est-ce que les Femmes pensent la même chose ?
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Les femmes sont supérieures à l'homme mais très peu en ont conscience...
J'aime 27/06/25
soumyvbi
Omale , j'en suis moi aussi persuadé1f622.png
J'aime 27/06/25
Jean67sognolles
Bonjour je recherche une appartenance à une maîtresse
J'aime 27/06/25
maîtresse sophistiquée et raffinée dotée d'une supériorité naturelle. je suis expérimentée sadique et perverse à souhait. J'aime diriger, éduquer, humilier, être vénérée comme il se doit .:.
Soumisdevouepourelle
Bonsoir, Je me tiens ici en tant que soumis novice, humblement animé par un profond désir de guidance et d’appartenance. Homme docile par nature et respectueux par essence, je découvre avec gravité et fascination le chemin de la domination féminine — un univers qui résonne en moi comme une évidence. Débutant mais sincère, je ne cherche ni jeu ni caprice, seulement la chance de me forger sous l’autorité d’une Maîtresse véritable, forte, bienveillante et exigeante. Je n’ai rien à prouver, rien à cacher. Je n’aspire qu’à plaire, à servir et à grandir sous une main qui dirige avec intelligence et fermeté. Mon respect est absolu. Mes intentions sont claires. Je souhaite appartenir à Celle qui saura percevoir en moi un potentiel à éduquer, un esprit à affiner, un corps à modeler selon Ses désirs et Sa vision. À l’écoute, discipliné et avide d’apprendre, je suis prêt à recevoir règles, ordres et attentions, dans le cadre d’un lien réel, fondé sur la confiance, la rigueur et une volonté mutuelle d’accomplissement. Si Vous êtes une Maîtresse à la recherche d’un soumis loyal, dévoué et ouvert à l’apprentissage, alors je suis là. À genoux. Dans l’attente respectueuse de Votre regard et de Vos directives. Avec toute ma dévotion.
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sai-kilria
Bonsoir, présentation intéressante. Je veux bien discuter avec toi, tu peux m'envoyer une demande de contact avec un message c'est plus respectueux.
J'aime 23/06/25
Maîtresse Luna
Nous voulions trouver 2 maisons adossées, sur un terrain assez grand, isolé mais proche de la ville. Nous sommes deux couples, Alicia et moi-même Pierre, Julien et Kate. Nous nous fréquentons depuis un peu plus d'une année et c'est donc en pleine connaissance de cause que nous voulions vivre les uns à côté des autres. Je ne sais combien d'agences nous avons contactées, combien de visites nous avons faites, et ce sans succès. Il est vrai que satisfaire aux exigences de deux couples n'est pas chose aisée. Enfin, pas vraiment deux couples puisque seuls Alicia et Julien ont leurs mots à dire. Pour rester bref sur le sujet, une agence nous a finalement proposé deux maisons séparées par 5 mètres de distance, mais dans un environnement parfait (distance de la ville, discrétion). Un très beau jardin pour l'une, une piscine pour l'autre. Julien a contacté un architecte et sans grandes difficultés nous avons pu construire une cour intérieure qui reliait les habitations, avec en façade une grande baie vitrée munie d'un film anti-regard côté extérieur. Un volet rétractable pour couvrir en cas de pluie, une porte vitrée de chaque côté, nous avions réunis les deux maisons. Quelques aménagements dans les caves et à l'intérieur, un grand abri de jardin, une fosse à compost et après trois mois de travaux nous avons pu nous installer. Je dois préciser que l'aspect financier n'était pas un obstacle : j'ai très (très) bien vendu ma boîte informatique il y a quatre ans et Julien possède une société avec un important portefeuille immobilier. Qui sommes-nous? Deux couples avec des intérêts communs (musique, voyage, sport, lecture, cuisine pour les principaux) mais surtout un gros point commun : dans chaque couple il y a un maître et un soumis. Julien (45 ans) est le maître, Kate (35 ans) la soumise. Alicia (47 ans) est la maîtresse, moi (47 ans aussi) je suis le soumis. Et Kate et moi-même devons obéir aux deux maîtres, sans distinction. Cette soumission est volontaire : Kate et moi sommes naturellement des personnes qui ont besoin d'obéir, d'être humiliés, de souffrir dans la douleur des punitions. C'est comme cela que nous sommes heureux. De leurs côtés Alicia et Julien ont cette autorité naturelle qui en font des leaders, qui en ont fait des maîtres dans nos couples. Mais derrière cela il y a beaucoup de respect les uns envers les autres et un amour réel au sein de chaque couple. Alicia est assez grande, cheveux châtains mi-longs, un beau corps de femme mûre avec des formes mais de la fermeté, une paire de seins généreux, en légère forme de poire, avec de jolis mamelons et de larges aréoles. J'ai toujours été attiré par les seins de femme, et ceux de ma maîtresse peuvent me rendre fou. Alicia le sait, bien entendu, et a tout le loisir d'utiliser cette faiblesse. Julien est certainement un bel homme. Grand, svelte, un corps d'athlète qu'il entretien avec ténacité. Des yeux bleus qui peuvent vous transpercer, parfois une légère barbe très élégante, selon son humeur. Un sexe puissant, sans être d'une taille effrayante mais qui se dresse comme un mât à la moindre érection. Kate est assez fine, blonde avec les cheveux coupés très courts. Des jolis seins qui pendent franchement, jamais de soutien-gorge et de nombreux étirements de ses tétons percés par deux gros anneaux. Un anneau qui lui perce aussi la cloison nasale et qu'elle porte en permanence quand nous sommes entre-nous. Les grandes lèvres de son vagin sont aussi percées. Elle porte au niveau du pubis un tatouage représentant une paire de menottes. Cela peut paraître une caricature de la fille maso, et elle est maso mais Kate, c'est beaucoup plus que cela. Elle est aussi généreuse, disponible, attentive aux autres. Et c'est aussi une grande sportive ayant pratiqué les arts martiaux à un haut niveau. Moi je suis assez quelconque. Ni ceci, ni cela ....Un jour j'ai demandé à mon épouse pourquoi avoir accepté de m'épouser. Je travaillais comme un fou pour développer ma boîte informatique, rarement à ses côtés, et elle pouvait avoir les plus beaux mâles dans son lit. Elle me répondit qu'elle avait toujours apprécié mon courage, mon ardeur et qu'elle avait intuitivement perçu que, quand elle le déciderait, j'accepterais de vivre à ses pieds. C'était cela le mari qu'elle cherchait. Pour le sexe, il y avait d'autres possibilités. Je le comprends d'autant mieux que depuis 3 ans je porte une cage de chasteté et qu'elle, bien entendu, a toute liberté pour satisfaire sa libido. Donc il y a quatre ans, je décide d'accepter une offre incroyable pour ma société d'informatique. De quoi me permettre d'arrêter de travailler et de très bien vivre simplement sur les intérêts de notre capital et les dividendes de nos placements. Et nous pourrons ainsi laisser un beau cadeau à notre fille, et unique enfant, Valérie. Valérie a 28 ans, brillante avocate, membre d'un important bureau d'avocats d'affaires. Toujours célibataire. Elle a quitté le giron familial en entrant à l'université et a gardé son indépendance, tout en nous rendant fréquemment visite et en contact presque journalier avec sa mère. Bien entendu j'avais parlé de cette opportunité de me retirer à mon épouse et elle m'a tout de suite encouragé à la saisir. Comprenant bien que j'allais hésiter à vendre mon bébé, elle a même fait un peu de forcing en me disant qu'il était temps que je pense plus à elle et que je sois enfin disponible pour notre couple. Ce dont elle avait parfaitement raison. Ce que je ne savais pas c'est qu'elle voulait que je ne pense plus qu'à elle et que je sois 100% disponible pour ses besoins, et pas tellement pour le couple. Pendant les quelques mois qui ont suivi la vente, elle m'a laissé du temps pour organiser la gestion de cette nouvelle fortune, mettre en ordre pas mal de retard dans mon administration (le processus de vente ayant pris l'entièreté de ma disponibilité pendant une assez longue période, et il fallait continuer à faire tourner le business). Et puis, petit à petit, elle a commencé à serrer la vis. Elle m'a demandé de nettoyer ceci ou cela, de vider une cave, d'aménager des rangements dans le garage ...tout à fait normal me direz-vous. Oui mais ce n'était pas « tu ne voudrais pas ..... », c'était « je veux que ...et aujourd'hui ». Je laissais tomber, elle avait raison sur le fond et j'acceptais la forme. Je dois avouer, pour être honnête et mieux faire comprendre la suite de notre histoire, que cette autorité nouvelle ne me laissait pas indifférent. Quelque part j'aimais que ma femme se montre autoritaire, prenne les choses en mains. Cela venait du fait qu'après tant d'années à diriger et gérer dans ma vie professionnelle, j'avais certainement besoin psychologiquement de passer la main. C'est une réaction classique et attendue. Mais plus inattendu, cela m'excitait. Oui, quand ma femme me donnait un ordre un peu sèchement, cela me faisait bander. Mais j'avais encore du mal à l'accepter. Vieux réflexe macho primitif de quelqu'un qui a passé une grande partie de sa vie à diriger les autres. Et c'est ainsi qu'un jour arriva l'incident qui allait tout précipiter. J'avais déjà fait ce jour-là je ne sais combien de fois le trajet entre la cave et les autres pièces de la maison pour, encore une fois, faire du rangement. Je m'assieds enfin dans un fauteuil et prends mon journal que je n'avais toujours pas eu le temps de finir depuis ce matin. A cet instant précis Alicia arrive et me dit : « va chercher le linge sale dans la salle de bain et descends le mettre dans la machine à laver ». J'en ai ras le bol et je lui réponds : « vas-y toi, je viens de m'asseoir et je ne bouge plus ». Sans hésiter un quart de seconde, elle se dirige vers moi, arrache mon journal, le jette par terre et me donne une violente paire de gifles. J'étais abasourdi par sa réaction, pourtant je savais que je devais réagir : répondre, partir ou accepter.... et ce dans l'instant. Je suppose que c'est un moi profond qui a pris le dessus sur l'autre alternative. Je me suis levé, je lui ai dit : « je te demande pardon ma chérie, je m'en occupe directement. » et je suis parti chercher le linge, la queue entre les jambes comme on dit. En passant devant elle, j'ai pu voir un sourire méprisant mais triomphant. Mon sort était scellé, une nouvelle vie allait commencer. Quand je suis remonté de la cave, j'ai vu qu'Alicia avait jeté mon journal à la poubelle... Elle m'a dit de lui servir un verre et d'en prendre un pour moi, que j'en aurai bien besoin, et de la rejoindre dans le salon. Confortablement installée dans le canapé, je ne pouvais manquer de remarquer son chemisier entre-ouvert ; elle ne portait plus son soutien et je suis certain qu'elle l'avait il y a dix minutes. Plus de la moitié de ses seins étaient visibles, de quoi me troubler directement. -Ecoute bien parce que je ne me répéterai pas et je t'interdis de m'interrompre. Oui, c'est bien le verbe interdire que j'ai employé. Pendant toutes ces années durant lesquelles tu dirigeais ta société, et fort bien je te le concède, je me suis occupée de tout à la maison. En plus d'élever notre fille. Même le week-end je te laissais souffler ou te divertir sans rien te demander. Je ne faisais qu'attendre le moment où ce serait toi qui prendrais le relais. Maintenant c'est arrivé, même plus vite que prévu. Alors, pour être brève et directe, voici les nouvelles règles : le ménage, les courses, le nettoyage, etc... bref toutes les corvées c'est pour toi. J'en profite pour te dire que Julia m'a demandé pour ne plus venir qu'un demi-jour par semaine et nous avons convenu qu'elle ne s'occuperais que du repassage, ce que tu n'es pas, du moins pas encore, capable de faire correctement. Si ces tâches ne sont pas exécutées correctement, tu seras puni : punitions corporelles ou privation de liberté. Sois certain que je vais être très créative sur ce sujet. Petit à petit tu subiras d'autre contraintes, tu les découvriras au fil du temps. Et moi pendant ce temps je ferai ce que je voudrai. Tu vas devenir mon serviteur, dans un premier temps... Si Valérie vient à la maison, elle trouvera un couple de parents normaux dont l'époux est très attentionné. Et dans un premier temps, ta nouvelle fonction ne sera connue que de moi seule. Nous sommes vendredi, je te laisse tout le week-end en paix pour y réfléchir. Si cela peut aider ta réflexion, sache que depuis longtemps je connais les sites internet que tu aimes visiter. Et où la domination féminine est un thème récurrent. Ton choix est simple : tu acceptes ou tu dégages. Nous pouvons entamer une procédure de divorce, j'y suis prête et je suis certaine que nous pourrons trouver un arrangement équitable. Bon samedi mon chéri, je pars chez maman et je rentrerai dimanche soir pour entendre ta réponse. Sur ce elle s'est levée, a pris un sac dans le vestiaire et sa voiture pour rejoindre sa mère qui habite à une cinquantaine de kilomètres en pleine campagne. Tout ceci avait donc été préparé, Alicia ne serait jamais partie chez sa mère sans l'avoir prévenue, ne fut-ce que pour s'assurer qu'elle serait bien chez elle. Alicia savait qu'en me poussant un tant soit peu, elle aurait cette réaction macho dont elle avait besoin pour mettre son plan à exécution. Et moi, naïvement, je n'ai rien vu venir. Où suis-je? Qui suis-je? Où vais-je? Voici les questions qui se posaient devant moi et auxquelles je devais répondre. Où suis-je? Visiblement à un tournant de ma vie. Je dois oublier le passé, il n'est plus relevant. Alicia est prête à tout effacer. Je ne doute pas un instant que l'hypothèse du divorce n'est pas du bluff, ce n'est pas son style. Elle y est certainement prête. Ce sera avec elle selon ses règles ou sans elle. Qui suis-je? J'ai toujours été attiré par les femmes autoritaires. Une attitude hautaine, un regard perçant créent chez moi un trouble certain. Un jour j'ai vu une femme humilier un homme, sans doute son mari, en pleine rue. Elle était superbe, pantalon de cuir skinny , blouson perfecto de grande qualité porté à même la peau, boots bordeaux. Il la suivait, les bras chargés de sacs, la tête basse. Visiblement elle était en train de l'engueuler. Soudain elle se retourne et lui envoie une paire de gifles avant de lui cracher au visage. Et de reprendre sa marche comme si de rien n'était, le malheureux essayant tant bien que mal de la suivre. Mais était-il si malheureux? Je me souviens que je me suis dit que j'aurais sans doute voulu être à sa place. En tout cas je bandais. Où vais-je? De toute façon vers quelque chose de nouveau : un divorce et une nouvelle vie à rebâtir ou une aventure que je ne vais absolument pas maîtriser. Je n'ai pas envie de divorcer, de trouver des explications foireuses pour le justifier, de diviser et partager toute une vie, de devoir renoncer à certains amis... J'ai peur de me soumettre à Alicia car je ne sais pas où cela va m'amener. C'est sortir vraiment très loin de ma zone de confort. Mais je ne peux pas laisser cette occasion de vivre une relation où ma place sera celle que secrètement je rêve tant d'occuper. C'est vrai que je passe pas mal de temps à surfer sur le net et regarder des sites ayant trait à la domination féminine : forums, photos, vidéos. J'ai aussi téléchargé de nombreux textes et des livres : presque uniquement des récits où le mari est devenu l'esclave de sa femme. Jusqu'à ce jour c'est toujours resté un fantasme. Cela pourrait devenir une réalité... Je me doutais bien qu'Alicia avait connaissance des sites que je visitais. Secrètement j'espérais même qu'elle aie envie de parler de ce sujet avec moi, et petit à petit de l'amener à prendre en charge notre couple avec autorité. Je n'ai jamais eu le courage de lui en parler, trop lâche. J'espérais craintivement que cela viendrait d'elle. Finalement elle en a parlé, en me disant que cela m'aiderait à prendre ma décision de savoir qu'elle était au courant. Et c'est vrai que cela fait pencher sérieusement la balance. Elle connait mon intérêt pour une relation femme dominante / mari soumis et au travers des textes, images et vidéos qu'elle a pu elle aussi voir, tout ce que cela peut comporter. Moi j'espérais depuis longtemps qu'une telle relation s'installerait dans notre couple. Alors pourquoi hésiter? Ma décision était pour ainsi dire prise quand je reçois un email de mon épouse me disant qu'elle était bien arrivée chez sa mère et que cette dernière m'embrassait. Etrange car elle ne m'a jamais porté dans son cœur, toujours persuadée que je n'accordais pas assez d'attention à sa fille. Mais cet email comportait aussi la phrase suivante : « Attention, si tu choisis de rester en tant que serviteur c'est pour toujours. Il n'y aura pas de période d'essai ni de marche arrière possible. La seule sortie ce sera pour toi de faire tes valises ». Pourquoi m'envoyer cela? Pourquoi me faire hésiter de nouveau alors que ma décision était prise? Il est vrai que dans un coin de ma tête je me disais que si cela ne marchait pas, si c'était invivable pour moi, il serait possible de faire marche arrière. Je prendrais en charge plus de tâches ménagères, je consacrerais plus de temps à mon épouse, je lui laisserais prendre plus de décisions mais nous continuerions de mener une vie de couple assez normale. Mais cela elle n'en voulait pas et elle me le faisait clairement savoir. Je décidai d'aller me coucher, d'essayer de dormir et repenser à tout cela demain matin, à froid. Bien entendu je ne faisais que me retourner dans mon lit sans pouvoir vraiment fermer l'œil. A 2 heures du matin nouveau email : « N'oublie pas que tout manquement sera sanctionné : punition corporelle ou privation de liberté ». A 4 heures : « Quant à moi, j'aurai toute liberté de faire ce dont j'ai envie. Et avec qui je veux » A 6 heures : « Ne t'inquiète pas pour moi, je dors très bien. J'ai programmé ces messages hier soir. J'ai discuté avec maman. Je ne lui ai pas tout dit, bien entendu, mais j'ai partagé avec elle que je souhaitais que tu t'occupes beaucoup plus du ménage et de moi-même. Elle m'a dit que j'avais bien raison (ce qui ne pas va t'étonner) et que si cela ne te plaisait pas de t'envoyer promener. Cela m'a fait plaisir car ainsi elle ne sera pas surprise si tu décides de partir. Je vais me lever vers 9 heures. A ce soir... » Mais bon sang pourquoi tous ces emails? Et maintenant sa mère qui s'en mêle, même si c'est sans le savoir. Je n'en peux plus. Physiquement épuisé par une nuit blanche, mentalement épuisé par mes doutes, mes questions sans réponse, je me sens vraiment faible. Et il en sera ainsi de toute la journée, aucune activité ne parviendra à me distraire. Je n'avais envie de voir personne, j'ai à peine réussi à grignoter un morceau de pain, je me suis interdit de boire un verre sinon je risquais de m'écrouler. Je voulais juste qu'Alicia revienne et que nous puissions parler. 20 heures, un sms : « je viens de dîner avec maman et je pars. Serai là vers 21 heures. Trop envie de t'entendre ». Et moi de te parler. Pour que tu me rassures, que tu me dises que tout ira bien, que tu m'aimes, que je suis important pour toi. Pour que je te dise que je veux être près de toi, même à tes pieds. Que je voudrais juste quelques réponses. « Coucou chéri, je suis là. Oh la la, quelle petite mine...on dirait que tu n'as pas fermé l'œil. Moi j'ai super bien dormi, j'adore le calme de la campagne. Maman t'embrasse, froidement mais tout de même. Bon, prends une bouteille de vin et viens me rejoindre au salon que nous puissions avoir notre petite discussion ». Je suis allé déboucher une bouteille de Graves, un de ses Bordeaux favoris. Pour lui montrer que c'est déjà à elle que je pensais. A peine le temps de nous servir et de m'asseoir en face d'elle. Elle avait pris un des fauteuils, visiblement elle ne voulait pas partager le canapé avec moi, elle préférait avoir une certaine distance. - Alors, tu restes à mes ordres ou tu pars?
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Douxreveur
Le bouleversement d'un grand changement souvent se fait à partir du moment où il faut prendre un nouveau départ ! Alors des choix, parfois difficile doivent être pris ! Chacun doit trouver sa place ! Donc quelle sera la vôtre ? Il me tarde de voir si une suite se fera !
J'aime 25/05/25
Slutty - soumiss1966
J'ai adoré, un fantasme ... Merci.
J'aime 25/05/25
VAL-lou
Bravo pour ce récit, tres bien détaillé, Je suis moi même dans une transition vers une vie gynarchique avec idem des doutes des craintes mais surtout une terrible envie de servir ma reine et de lui obéir au quotidien, m en remettre a elle et ses volontés. Je suis sur que la fin de votre histoire sera tourné vers une allégeance a Alicia car vous l aimez et se soumettre a une personne qu on aime est la plus belle preuve d amour a mon sens
J'aime 26/05/25
Bonjour et merci pour ce récit, j'attends la suite maintenant 1f609.png Bien à vous
J'aime 26/05/25
soumyvbi
JE RESTE !!! Bien entendu !!!
J'aime 10/06/25
Maîtresse Luna
Maitresse Isabelle a finalement épousé toutou Ben, son esclave. Elle a fait cela par plaisir, pour se poser. C'est vrai que toutou Ben est fort bel homme, musclé, bien monté, pas trop poilu, un beau visage avec une fine barbe. Il parait presque viril mais Maitresse Isabelle le castre complètement. Elle n'a pas besoin de cage. Son fouet lui suffit. Toutou Ben n'a pas le droit d'avoir d'érection sans quoi il reçoit le fouet jusqu'au sang. L'envie de bander lui est vite passée. Maitresse Isabelle est d'une beauté a couper le souffle. On se retourne pour la regarder mais ses yeux bleu-vert sont glaciaux. Son regard intimide. On devine aussitôt la cérébrale implacable. Elle impose le respect. Avec Ben elle partage le même bureau, celui des vérifications, dans une agence gouvernementale. C'est Ben qui fait le boulot pour deux. Maitresse Isabelle occupe son temps de travail à étudier la Torah. Elle veut devenir Rabbin et Docteur de la Loi, bref tout ce qui ne convient pas à une femme. A la maison, Ben doit vivre nu et s'occuper de toutes les taches ménagères. Maitresse Isabelle se fait servir. Ben dort nu en bon toutou dans un grand panier d'osier. Il a juste droit à quelques couvertures pour la nuit. Il est sévèrement corrigé chaque fois que Maitresse Isabelle estime que c'est nécessaire et il doit remercier. Ben est un esclave, pas un soumis et donc il doit obéir en tout et pour tout et n'a d'autre but dans la vie que de faire plaisir à sa Maitresse. Il n'a jamais vu sa chatte et comme Ben est puceau, il n'a jamais vu de chatte. Maitresse Isabelle ne porte pas de culottes mais des pagnes traditionnels en pur coton. Le soir, Ben, s'il a été un bon esclave, a droit au pagne porté par sa maitresse pendant la journée. Il peut respirer les odeurs intimes et dormir avec, mais avec interdiction de bander et encore moins de se branler. Même les pollutions nocturnes lui sont interdites. Il vit dans son subspace chaste et dévoué. Une fois par semaine Ben a droit à une traite. Maitresse Isabelle utilise une trayeuse pour chèvres. Elle attache ben aux quatre pieds de la table de la cuisine et place l'appareil derrière lui. Les succions provoquent vite des éjaculations en série. Ben se vide de tout son sperme qui est précieusement récolté pour en faire une crème de soins suivant une recette alchimique. Maitresse Isabelle adore se faire masser le dos et les jambes par son esclave avec cette crème aux pouvoirs magiques. Sa peau est incroyablement douce et belle.
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soumyvbi
Bien que fiction , j'adore l'idée et le texte .Merci Maîtresse Luna . ps: j'aimerai beaucoup ,la "recette" de la crème miracle .
J'aime 09/06/25
VAL-lou
Bonjour Maîtresse Luna, très beau récit. Une vie d esclave dans sa splendeur, d ailleurs vous serait il possible de donner votre propre définition entre un soumis et un esclave ? Je suis toujours curieux de l interprétation que donne les dominatrices à ces rôles..et en parlant d esclave, j ai créé un groupe "vente aux enchères" avec ma reine, si le coeur vous en dit je vous invite à le consulter et peut être donner votre avis ?. Bien à vous
J'aime 09/06/25
puceau90
Bonjour Vénérez Maîtresse LUNA, le récit et envieux, oui je souhaite le vivre, Votre Altesse Royale.
J'aime 09/06/25
soumyvbi
Ooooooh Maîtresse Luna , je vous en supplie ...1f622.png
J'aime 10/06/25
Tav
Bonjour à tous, les membres du groupe, la gynarchie est autant une technique bdsm qu’une philosophie. Il y a certainement parmi vous des femmes, des couples ou des hommes qui vivent au quotidien selon cette philosophie. Je suis certain que beaucoup d’entre nous aimeraient lire leurs témoignages et expériences ! D’avance merci à tous les adeptes de la gynarchie pour nous faire part de leurs parcours, vécu et ressenti ! Bonn
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soumyvbi
J'essaie de la vivre le plus souvent possible , et j'aimerai que cela soit la "norme" .Malheureusement , la plus part des Femmes , n'osent pas l'assumer .1f622.png
J'aime 17/05/25
Tav
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Tout est dit !
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soumyvbi
i VIVA GYNARCHIE !
J'aime 17/05/25
Davsissy
a partagé une photo
Bonjour et joyeux 8Mai tout le monde. Ma Divine Maîtresse est allée passer l'après-midi chez son amant. Et moi je me régale à nettoyer sa culotte d'hier 🥰
soumis motivé pour me servir, pour subir d'exquises cruautés, de délicieux supplices et vivre des jouissances interdites ... je t'autorise à me contacter (si tu es de ma région et prêt à t'impliquer dans une relation suivie) .:.
Rox
Hello hello vous allez probablement me prendre pour un imbécile mais j'ignore ce qu'est la gynarchie, esque quelqu'un pourrait me l'expliquer gentiment s'il vous plaît.
Soyez la première personne à aimer.
sissy666
Du grec, gynê : la femme (gynécologie) et archè : pouvoir, autorité (monarchie), donc un commandement, un gouvernement,assuré par les femmes.
J'aime 27/04/25 Edité
Rox
Merci beaucoup j'ai fait spécialité latin au lycée mais ma prof aimait pas le Grec mais merci beaucoup même si en général les femmes ne m'aimes pas forcément je tacherai de faire honneur aux merveilles qui daigneront m'accorder une ou deux minutes de discussion de leur temps.
J'aime 27/04/25
sissy666
Ici avoir une langue morte, c'est pas forcément un attrait, même si cunnilingus c'est 100% latin la langue vivante sera plus... vendeuse...
J'aime 27/04/25
Rox
Haha la mienne est loin d'être morte haha c'est même le seule talent que j'ai reçu de la nature !
J'aime 27/04/25
Maitresse Saura
Bonjour, je suis dominatrice en relation gynarchique mais novice je souhaiterai me perfectionner donc au plaisir de pouvoir échanger avec des dominatrices qui pourraient éventuellement m'aider
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kantx
Bonjour Madame. Si toute fois vous souhaitez discuter avec un soumis en construction je suis ouvert à la discussion.
J'aime 09/03/25
Subordonne
Bonjour maîtresse Saura Je suis soumis et j'aimerais être en relation gynarchique
J'aime 09/03/25
Davsissy
Bonjour Maîtresse, je suis là sissy soumise de mon épouse depuis plus de 15ans. Si vous voulez en parler ?
J'aime 09/03/25
Tav
Il suffit qu’une Dominatrice s’annonce pour qu’une nuée de soumis offre leur service….
J'aime 09/03/25
Youky le soumis
Euhhhhh, il semblerait que le message de Madame soit claire, Elle veut échanger avec des dominatrices pour se perfectionner, Pas avec des souminateurs avec leur bon de commande ou liste de courses Pas étonnant de voir les femmes bloquer leur profil qu'elle soient SoumiseS ou Dominatrices
J'aime 09/03/25
Maitresse Saura
je n'es pas posté d'annonce recherchant un soumis les seul soumis que je peux éventuellement toléré sont les soumis en relations
J'aime 09/03/25
Mes hommages maitresse
J'aime 09/03/25
Soumisxa
Mes hommages Maîtresse Saura . Je suis soumis à ma Maîtresse /epouse et nous vivons en bdsm depuis plus de 15 ans . Ma Maîtresse serait enchantée de Vous conseiller .
J'aime 18/04/25
Subordonne
Mes hommages
Subordonne
Mes hommages
Maîtresse Luna
Nous pratiquions régulièrement le naturisme au bord de rivière dans le sud de la France. C'est un coin sauvage à l'accès réservé aux initiés. Le lieu est fréquenté par des familles mais aussi connu pour être un lieu de rencontre pour des couples ou des célibataires des deux sexes. C'était un jour de semaine hors vacances scolaires. Il n'y avait personne à notre arrivée. Mon épouse s'était allongée dans le hamac, sur le dos, jambes écartées. Âgée de cinquante ans, plantureuse, elle rêvassait quand un homme vint vers elle en faisant mine de se promener et lui adressa la parole. Il était nu lui aussi, mince, musclé, sec , avec un large chapeau d'où dépassaient des cheveux noirs. Il parlait de la beauté de ce lieu sauvage, du plaisir d'y être nu, puis vint à parler de la fréquentation en insistant sur l'absence de voisinage. Quelques minutes plus tard il vint à poser des questions plus personnelles. La discussion prit une tournure plus équivoque, il l'a draguait clairement. Mon épouse répondait volontiers à ses questions avec beaucoup d'impudeur. De là où j'étais placé, je surplombais la scène, devinant les questions et les réponses qui devenaient carrément sexuelles mais surtout je voyais tout en étant invisible caché par le feuillage. Il est vrai que mon épouse me croyait en balade car elle m'avait vu partir quelques minutes plus tôt. Mon absence a été de courte durée et j'étais revenu dans mon fauteuil sans qu'elle s'en aperçoive. J'entendais qu'il parlait de la beauté des femmes aux formes épanouies, dans la plénitude de l'âge, du temps qui passe et des regrets de n'avoir plus profiter de sa jeunesse , des rencontres éphémères, du plaisir de la nouveauté, du plaisir surtout et de ses bienfaits pour le corps et l'esprit. Je voyais ma femme toujours allongée et le sexe du bellâtre à quelques centimètres de sa bouche. Il s'était redressé quand je la vis sortir le bout de sa langue pour l'effleurer. Dans les secondes qui ont suivies, elle l'avait en bouche. Je devinais sa langue tourner autour de son gland, dégageant le prépuce. Effectivement, il ressortit sa verge complètement érigée pour la réinvestir dans toute sa longueur. « Hum, tu suces bien, on voit que tu as l'habitude. » Effectivement, ma femme aime cela, elle me suce toujours avec application et ses fellations, un plaisir immense. « Ton mari doit se régaler, tu suces comme une reine. » Je reconnais que j'ai affaire à un connaisseur, j'éprouverai de la fierté si je n'étais pas sous l'émoi d'être cocu. Et d'en jouir. Je bande et je ressens une excitation très forte. Je veux voir la suite et jusqu'où mon épouse est prête à s'abandonner. Son amant l'encourage et exprime son plaisir. « Vas y, continue ! C'est bon. » Il baise littéralement sa bouche. Je le vois mettre ses doigts devant sa bouche et prendre beaucoup de salive puis se pencher pour l'appliquer sur le sexe de mon épouse. Son chapeau cache en partie le visage de ma femme mais je vois ses doigts la pénétrer. Il fait des va et viens dans son vagin. Il crache sur ses doigts et cherche son clitoris. Il la masturbe avec frénésie. Elle a les mains sur ses hanches et il s'immobilise en continuant sa masturbation. Il jouit dans sa bouche, chose qu'elle m' a toujours refusé. Je suis furieux et blessé si c'est le cas. Je la vois se tendre et trembler. Elle a atteint l'orgasme, ses cris la trahissent. Je me lève ce qui a pour conséquence, le départ précipité de l'intrus, il me tourne le dos et prend les jambes à son cou. Mon épouse se redresse péniblement pour descendre du hamac. Rouge de son orgasme ou de confusion ? Elle a encore un peu de sperme épais à la commissure des lèvres. Je me rue sur elle et l'embrasse fougueusement. Toute ma pression se relâche, ma langue reconnaît la saveur fade et crémeux du sperme de l'inconnu. « J'ai tout vu ma belle salope. » Et la prenant par les épaules je la plaque brutalement contre un arbre. Elle se plie écarte les jambes et me tend ses fesses. Je la prend en levrette et m'enfonce d'un trait jusqu’à l'utérus. Je suis brutal et je le sais, notre coït sera bestial. Je la pilonne comme jamais, lui claque les fesses et me déchaîne. « Tu vas en prendre des bites, je vais te déboiter. Tiens, prends ça, salope !. » et je la fesse sans arrêt pour ressortir et la pilonner à nouveau. De la mouille coule sur ses cuisses. Elle crie, elle gémit et me supplie. « Continue, plus fort, ne t'arrête pas. » tant son plaisir est immense . Nous jouissons brutalement à l'unisson. Nous restons soudés l'un à l'autre un long moment. Nous sommes en nage, sa fesse est rouge, elle pleure de plaisir, de honte ou de douleur ? Nous sommes hébétés, ne sachant quoi dire après ces moments intenses et coupables…. La tentation était très forte de la sodomiser à sec mais sa soumission m'en a empêchée…. Nous allons à la rivière chacun de son côté pour se laver. Puis en silence rangeons nos affaires en se rhabillant et empruntons le long sentier pour regagner notre véhicule. Le soir nous avons fait chambre à part mais plusieurs jours après, nous avons pu en parler. Je lui ai décrit les affres de l'adultère , la jouissance de la voir prendre du plaisir à mon insu. L'excitation qui m'habitait et la frustration. Elle m'a dit le plaisir d'être courtisée, flattée, la montée du désir, le plaisir d'avoir un homme jeune , mince et sportif qui s'occupe d'elle. Le plaisir de la transgression et l'abandon qui s'est emparé d'elle. Jamais, elle n'a pensé me faire du mal, je n'existais plus. Elle m'a remercié de l'avoir laissé prendre son pied. Elle a reconnu que son amant après l'avoir émoustillée s'est servi d'elle comme d'un jouet sexuel en éjaculant dans sa bouche. A aucun moment il n'a cherché à se retirer mais au contraire il a plaqué sa main derrière sa nuque pour l'empêcher de se retirer mais cela a peut être contribué à déclencher son propre orgasme. Ensuite, elle s'est laissé faire encore quand je suis arrivé et elle a aimé que je la brutalise. Pour elle c'était la preuve de mon amour et de ma virilité. A ce moment là, j'aurais pu la fouetter, la torturer, la prostituer sans qu'elle s'y oppose pour expier sa ‘’ faute'' et retrouver grâce à mes yeux . Elle me dit aussi qu'elle a pris son pied deux fois coup sur coup comme jamais.
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Marc Nancy
Un récit très excitant
J'aime 19/03/25
soumyvbi
Trés beau récit effectivement , et qui donne envie , Ca me plairait beaucoup de la surprendre ainsi...1f609.pngMerci en tout cas beau partage (c'est du vécu ??)
J'aime 20/03/25
soumyvbi
Merci Maîtresse Luna 2665.png
J'aime 21/03/25
soumyvbi
Ce coin dont Vous parlez , ressemble à chez moi ...au bord du Drac 1f609.png
J'aime 12/04/25
Rom
a partagé une photo
Bonjour, j'aimerais faire la rencontre d'une fille proche de lyon qui voudrait me faire découvrir et mettre en pratique la gynarchie et la soumission qui en résulte 😈 si intéressée n'hésitez pas à me contacter 😉
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soumyvbi
La Gynarchie, n'est pas une "pratique" ,mais un état d'esprit , une conviction même !!Ceci dit , vous êtes très beau monsieur 1f44d.png
J'aime 02/04/25
Rom
Effectivement, le terme conviction est plus adapté ! C'est donc plus précisément une conviction que je veux mettre en pratique 😊
J'aime 06/04/25
soumyvbi
bien vu Rom1f601.png
J'aime 07/04/25
Alleraubout
a partagé une photo
Quel plus beau plaisir que sentir ce regard puissant se poser sur nous, sans mériter bien entendu de lever la tête et voir autre chose que ses pieds. Qui aimerait cette vie pour 2025, pour un contrat gynarchique sans concession pour un être rampant tel que moi
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c est en effet tres tentant
J'aime 29/01/25
Dylanesclave28
Oui je le suis
J'aime 07/04/25
Melanie Frosch
Nom choisi au hasard C’était une froide soirée parisienne de décembre. Une de ces soirées, où dès 18 heures, on peut entendre dans, les rues désertes plongées dans la nuit noire, les pas des quelques marcheurs. J’entends, confusément, un pas ferme et décidé résonner sous le portique désert. Il s’agit d’un bruit de talons hauts qui claque à chaque pas, comme l’évidence de la puissance de cette Maîtresse dominatrice. Prostré et à genoux les mains rivées sur mon entrejambes dont j’essaye de soulager vainement la douleur, je parviens, difficilement, à me retourner pour contempler cette silhouette qui s’éloigne dans un déhanché nonchalant. Subjugué par ces courbes qui se meuvent au gré d’un pas chaloupé et rythmé, je voudrais me lever, bondir la plaquer contre le colonne et enfouir mes mains dans les splendeurs de son corps. Mais hélas je ressens une douleur sourde et aigüe qui irradie dans tout mon bas ventre, depuis mes bourses. Cette douleur me cloue au sol et me contraint à regarder s’éloigner cette beauté inaccessible, à laquelle je ne peux que rêver. Rendez-vous avec Princesse Alya, Maîtresse dominatrice! J’avais rencontré Princesse Alya sur Slave-Selection. Après quelques échanges, nous avions convenu d’une remise de cadeaux en mains propres, agrémenté d’un petit « ballbusting ». Comme elle ne connaissait pas cette pratique mais elle voulait la découvrir. Princesse Alya m’avait, donc au préalable, envoyé arpenter tout Paris pour trouver des articles de lingerie qui lui plaisaient, un string dans une boutique, une culotte échancrée dans une autre, une autre couleur dans une autre boutique encore. Une fois toutes les pièces rassemblées, je me dirige vers le forum des halles, et j’attends dans le froid glacial. L’heure tourne, j’attends patiemment. C’est bien la moindre des choses d’attendre une Maîtresse dominatrice, me dis-je avec appréhension et excitation. Appréhension de la douleur que j’allais ressentir, et excitation de rencontrer Princesse Alya, Maîtresse dominatrice, dont les quelques photos postées sur le forum laissaient deviner une femme très sexy et très féminine. Un message s’affiche soudainement sur mon téléphone: «Rejoins moi au starbucks dans 5 min!» Je m’exécute sans attendre et en arrivant au lieu dit, je reconnais immédiatement Princesse Alya: petite, toute de noir vêtue, avec des cheveux très clairs et un décolleté fracassant, véritable hommage à la puissance de sa féminité. * Bonsoir Maîtresse, je suis Axell, lui dis-je, en lui tendant les sacs de ses offrandes. * Tu vas me commander un thé et ensuite, on va aller se promener! * oui Maîtresse. Premier « Ballbusting » pour Princesse Alya! Nous sortons, ensuite, du forum des Halles pour nous diriger vers un endroit discret, où princesse Alya pourra utiliser mes bourses à leur juste valeur. Nous trouvons une galerie circulaire de portiques, en travaux, qui devrait nous permettre de rester à l’abris des regards. Je me tiens debout face à Princesse Alya, dos à une colonne. Elle se rapproche de moi et pose ses mains sur mes épaules. Je suis si proche d’elle, de son corps, de sa poitrine… que je m’aventure à contempler sans vergogne du haut de ma taille supérieure. * Ecarte les jambes ! Elle me sort de ma rêverie. Je m’exécute. Ensuite, je sens ses mains agripper mes épaules et son genou remonter comme un éclair le long de mes cuisses. Je sursaute, par réflexe, pour éviter le coup fatal, qui vient finalement s’écraser violemment contre mes fesses. Mes bourses sont vaguement secouées par sa cuisse, mais sans grande douleur. * Je crois que vous avez raté la cible. Si vous voulez infliger le maximum de dégâts, il faut que votre genou vienne frapper juste en dessous de la braguette. En effet, c’est là que se trouvent les testicules et c’est comme ça que vous les écraserez contre mon bassin. Par contre, s’il vous plait, allez-y doucement, car si vous tapez aussi fort en visant bien, vous allez me castrer ! Un léger sourire traverse son visage et un second coup repart aussi vite, secouant son décolleté au moment de l’impact. Cette fois le coup est parfaitement visé et je lui suis gré d’avoir réduit l’intensité de la frappe. La douleur est vive et le souffle coupé, je me recroqueville instinctivement en portant par réflexe mes mains entre mes cuisses. Après le deuxième impact, incapable de respirer! Penché en avant, mon visage est désormais à quelques centimètres de sa fabuleuse poitrine et je commence à sentir une raideur toute virile en plus de la douleur non moins virile. * Tu as un autre commentaire à faire sur ma façon de viser ? Je ne réponds pas, ne sachant pas quoi dire et n’ayant pas toutes mes facultés pour faire de l’esprit. * Allez remets-toi en position! J’ai bien envie de t’en mettre un petit dernier pour la route. Tant bien que mal, je me redresse, et écarte, légèrement, mes cuisses, laissant ainsi le coeur douloureux de ma virilité à la merci de cette jeune amazone. Mon regard ne s’est pas détaché de son superbe décolleté. Lorsque soudainement, rapide comme l’éclair, je sens ses mains agripper mes épaules et son genou remonter à pleine vitesse entre mes cuisses. L’impact est terrible et dévastateur. Ses seins rebondissent, copieusement, dans son décolleté avant que mes sens ne soient, immédiatement, obnubilés par la douleur sourde et paralysante qui saisit mes bourses et irradie dans tout mon bas ventre. J’en ai le souffle coupé, et ne parviens plus à respirer. Ensuite, je sens mes jambes se dérober sous moi et malgré tout les efforts que je déploie pour rester debout, je glisse lentement le long de la colonne vers le sol. Je ne parviens pas à croire ce qui se passe. Avec un seul coup, ce petit bout de femme m’a littéralement mis au tapis. Je ressens une douleur que je n’ai jamais connue et qu’elle ne connaîtra jamais. En fait, je voudrais dire quelque chose, crier ma douleur, mais mes poumons sont vides. Je peine à respirer, tant les contractions de mon abdomen sont fortes. Princesse Alya découvre ses cadeaux! A genoux, je m’aventure à lever les yeux vers Princesse Alya, parcourant du regard son corps de bas en haut. Je m’arrête sur sa poitrine, qui semble défier les lois de la gravitation. Tout en elle semble léger et aérien. Quel contraste avec moi qui semble si lourdement rivé au sol ! * bon, voyons voir ces cadeaux, dit-elle en déballant une à une les pièces de lingerie qu’elle m’avait commandées. Ainsi, je suis à genoux, rivé au sol glacial, les mains plaquées sur mon entrejambes meurtri, incapable de parler et peinant à respirer. Princesse Alya fait défiler sous mes yeux strings et petites culottes en se penchant vers moi pour me montrer la douceur du tissu qui aura l’honneur de caresser son intimité. Cette Maîtresse dominatrice m’offre, également, une vue plongeante sur son décolleté ! Malgré la douleur lancinante qui depuis mes bourses irradie tout mon corps, je sens ma verge se durcir à la vue de ces splendeurs. Qu’est-ce que je suis pathétique, me dis-je! Cette femme plus jeune et plus petite que moi m’a humilié et défait à plate couture, avec un seul mouvement et sans effort. J’éprouve malgré tout du désir pour elle! Comment ne puis-je lui être totalement soumis ? * c’est bien, tu as été un bon esclave, je suis fier de toi !, me lance-t-elle comme si elle parlait à son chien. * Bon et bien à bientôt !, me dit-elle en tapotant sur le haut de mon crâne. Enfin, elle me laisse seul et à genoux, en proie à mes douleurs toutes masculines, et s’éloigne d’un pas léger et décidé. .
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Femboy a dominé dans le 62 très ouverte en pratique
Melanie Frosch
Claude a hâte de rentrer chez lui, la journée a été particulièrement stressante et fatigante. Il va pouvoir enfin retrouver sa chère épouse – qui est parfois aussi, de temps à autre, sa Maîtresse, et dans ces cas là pas particulièrement douce – - Bonsoir ma chérie, comment vas-tu ce soir ? moi je suis crevé… - Et moi je suis en colère, alors tu te mets en tenue et en place pour une punition bien méritée !! - Une punition, qu’ais-je donc fais ?? - Tu sais que tu n’as pas à poser ce genre de questions idiotes. - Oui Maîtresse, vous avez raison, je vais me préparer. Il devient Didou, le soumis, tout en se déshabillant il s’interroge sur la ou les raisons de la colère de sa Divine épouse. Il a beau chercher, il ne trouve rien, ses idées s’entrechoquent, son cœur bat à 100 à l’heure, il panique. Que faire ? S’excuser ? Mais de quoi ? Il range soigneusement ses vêtements, inutile de s’attirer encore les foudres pour le désordre… Il semble que l’atmosphère soit suffisamment à l’orage comme cela ! - Didou !! je t’attends - Oui Maîtresse je suis prêt. Didou va s’incliner sur le fauteuil qui est le lieu privilégié de ses punitions. Il enfonce sa tête dans les coussins, offrant ses fesses à l’ire de sa Maîtresse. Il n’ose même pas poser la question qui le taraude : pourquoi suis-je puni ?? Mais après tout la question est inutile, Sa Reine a décidé de le punir, elle a ses raisons, ELLE A RAISON. Habituellement elle le punit en le laissant libre de ses mouvement, mais cette fois elle fixe ses bras sur les accoudoirs du fauteuil et ses chevilles aux pieds du meuble. Un silence angoissant plane, Didou est tenté de tourner la tête pour voir ce qu’ELLE lui prépare, il se retient, il va bientôt le savoir. Il se concentre, essaie de faire le vide dans son esprit, n’être plus qu’un objet, disponible, pour sa Déesse. Soudain il sent un mouvement derrière lui ELLE est là, sa main glisse sur ses fesses, vers son anus, un doigt s’introduit, doux, frais, certainement enduit de gel. La sensation est si agréable, il se détend, c’est bon. Puis dans un seul mouvement le doigt se retire et est remplacé par ce qu’il sait être un plug, certainement le plus gros de la collection de sa Maîtresse. L’invasion brutale lui tire un gémissement, il a très mal. A nouveau le silence…. Il craint le pire ! Un frôlement … et d’un seul coup une terrible cinglée lui déchire les fesses. Le martinet est entré en action, les coups pleuvent, se succèdent d’abord sur ses globes qui doivent être écarlates compte tenu de la force employée, il a l’impression d’être en sang… Un petit temps d’arrêt puis les morsures du cuir s’attaquent à ses épaules, son dos, ses reins, les pointes brûlantes s’insinuent jusque sur la peau plus tendre du ventre. Il gémit, se mord les lèvres pour ne pas crier. C’est le tour des jambes maintenant et la douleur s’accentue à l’intérieur des cuisses, un dernier coup donné de bas en haut vient mordre son sexe, ses testicules, cette fois il ne peut retenir un cri de douleur. - Tu sais que je ne veux pas que tu cries ! - Oui Maîtresse, mais j’ai eu trop mal ce cri m’a échappé. Pardon, pardon. Le calme est revenu. La punition doit être terminée, elle a été très dure cette fois. Si au moins il en connaissait la raison ! Pourquoi ne le détache-t-elle pas ? - ton cri doit être puni. Tu vas compter les coups à voix haute. Je suis gentille, il n’y en aura que 10. - Merci Maîtresse. Didou attend à nouveau le martinet, ses fesses brûlantes en tremblent d’avance, des frissons courent sur tout son corps, un tremblement nerveux l’agite. Et le premier coup arrive, ce n’est pas le martinet, mais la cravache, son 1 est un cri, il a l’impression que ses fesses sont ouvertes, le 2 suit immédiatement, les suivants sont rythmés comme par un métronome. Il n’en peut plus !les larmes coulent et détrempent le coussin dans lequel il essaie d’étouffer ses plaintes. Il hurle enfin le 10. Il s’écroule, s’il n’était pas attaché il serait répandu sur le sol aux pieds de sa Maîtresse, comme une flaque d’eau. Il attend, il ne sait plus quoi, il ne peut même plus penser, tout son corps est douleur, il est certain que ses fesses sont déchiquetées, sanguinolentes ! Sa Maîtresse le laisse là, abandonné, seul avec sa souffrance et ses questions…
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BabaGee
très stimulant Madame, merci 1f642.png
J'aime 25/02/25
Lopette_a_humilier
Bonjours a Vous Maitresse très beau texte
J'aime 25/02/25
C'est bien de l'écrire... Mais autant le faire... 1f618.png
J'aime 25/02/25
neo69
Très beau texte, moi qui suis plutôt doudouille
J'aime 25/02/25
soumyvbi
Un couple heureux ,en sommes ...2665.png
J'aime 26/02/25
soumyvbi
Merci Maîtresse Mélanie Fr2665.pngsh
J'aime 27/02/25
Effectivement, merci beaucoup pour ce beau texte !
J'aime 28/02/25
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