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unforgiven

Homme Dominateur. Vit à bain-de bretagne, Bretagne, France. 44 ans.
Extrait de son book
unforgiven
a répondu à sa propre discussion "Quelques récits de domination".
Je poursuis parce que j'aime bien l'exercice [mode vexé on] même si j'ai l'impression que tous le monde s'en fout :p XD [mode vexé off] Le maître de la maîtresse. Par commodité, on va dire qu'elle se nomme Claire. Claire est une belle femme, juste 40 ans, célibataire sans enfant. Elle est blonde, les yeux bleu, un beau visage, un côté bohème-chic, mais distinguée. Dans la vie, elle est institutrice, et quelque chose me dit que il doit y avoir pas mal de papas qui vont chercher leurs enfants à l'école là où elle travaille, en tous cas plus que dans d'autres écoles. C'est vrai que quand on la voit dans ses jeans moulants, son gilet écru... Il y a un quelque chose de très excitant à s'imaginer au lit avec une femme d'apparence aussi sage. C'est la première fois que je viens chez elle, même si nous avons déjà couché ensemble plusieurs fois (elle a emménagé il y a peu, les travaux sont tout juste terminés et elle voulait que ce soit parfait avant de recevoir des visites). Lors de nos ébats, j'ai senti chez elle un joli potentiel pour la soumission : elle aime être prise en levrette avec force et vigueur, se faire agripper les fesses (voire claquer), tirer doucement les cheveux (je fais comme pour de les caresser, mais j'y vais plus fort...). Peu à peu, on s'est écarté de la baise papa-maman pour s'adonner à des choses plus sauvages, mais sans pour autant mettre cartes sur table. Nous sommes chez elle donc, nous prenons un verre dans le salon. Il y a vraiment beaucoup de livres chez elle, et nous discutons à bâtons rompus de nos auteurs préférés, de ce que nous aimons lire, et de quels auteurs doivent rester dans l'histoire de l'humanité et de quels autres peuvent être oubliés même si on aime bien lire leurs livres (et ce sont d'ailleurs ceux-la qu'on lit le plus elle et moi : Harlan Coben, Fred Vargas...). Au bout d'un moment, je me lève pour examiner une bibliothèque et faire des commentaires sur ce que j'y trouve. Comme on a déjà bu plusieurs verres, on est francs et directs dans ce qu'on dit. C'est là que je tombe sur "50 nuances de gris". Je le sors des rayonnages, et le montre, assorti d'un petit commentaire sarcastique : "ho-ho ! Madame l'institutrice est une coquine dirais-t-on" ! -Ça ? Ho, c'est bête, et pas très bien écrit, tu sais, répond-t-elle. -En attendant tu as les trois tomes ! -Oui, ça me faisait rire de les lire. -Oui, oui, c'est ça... Appelle ça rire ! Elle rougit un peu, ce n'est pas l'alcool. Elle a un peu honte. Je me rassoit. "Tu sais... Y a pas de honte à lire ça, ou même à être émoustillée. Quand on y pense, c'est plutôt le signe d'une avancée pour les femmes, la reconnaissance d'une sexualité complexe avec des fantasmes. Les hommes aussi ont une littérature pleine de sexe, et personne ne se moque. Pourtant c'est nul. T'as déjà lu un SAS ? C'est carrément naze ! Le mec arrive et craque, la fille tombe dans son plumard, et il l'a fait jouir avec des grand coups de sa brosse bite sans trop s'occuper d'elle finalement". -"Non, j'en ai jamais lu, et là, tu ne me donne pas envie d'en lire" ! Elle rit. "J'ai discuté d.e '50 nuances' avec mes copines, de ce qu'elles en pensait, et ça les chauffe pas mal aussi. Il y en a même qui ont essayé ! Mais ce qu'elles trouvent toutes nul, c'est le côté godiche de l'héroïne. Elle est soumise au lit et dans la vie. -Oui, vu sous cet angle, ce n'est pas un message aussi libérateur de ce que j'imaginais. Et dis-moi... Tu as essayé ce genre de trucs toi ? -Pas vraiment... Je fantasme juste ! Elle rit. Elle est belle quand elle rit. -Tu es resté bien sage alors finalement ! Plus que tes copines ! -Et oui ! -Et plus que moi... -Elle me regarde avec la bouche ouverte, puis rit à nouveau : "ça m'étonne pas !" -"Pourquoi ça ne t'étonne pas ?" -"Je sais pas... T'es très gentil, tu sais être délicat, mais il y a aussi un côté ferme dans tes gestes, au lit... Tu aimes dominer je suis sûre ! " "J'avoue, j'avoue, j'ai un peu d'expérience en la matière. En fait, les filles qui ont envie d'essayer ne sont pas rares tu sais". -"J'imagine... J'imagine...". - "Ça te dirait, à l'occasion de pimenter un peu le truc ?" -"Pimenter comment ?" -Bah des choses qui excitent mais qui sont facilement accessibles... Être attachée, les yeux bandées, des fessées... tu vois le truc". - "Je sais pas... Pourquoi pas". Cette réponse. Pour moi ça veut dire "oui, mais j'ose pas le dire". J'y vais alors d'une citation plus ou moins issue de la série télé "Californication" : "on a tous quelque chose qui déclenche l'excitation chez nous. Si on admet que ces choses sont normales et qu'on arrête de les refouler, on se sent mieux dans la vie". Elle me dit que j'ai raison. Je la sens un peu gêné et excitée tout à la fois. Elle me regarde en souriant, elle glousse, elle passe sa main dans ses cheveux. Elle enlève même ses chaussures pour montrer ses pieds aux ongles soigneusement vernis. Elle finit par étendre ses jambes par dessus les miennes sans demander la permission, avec sur la figure un petit air mutin. Je pense qu'elle a très envie de s'envoyer en l'air. On discute de ça un moment, tout en continuant à boire. La conversation tourne autour des fantasmes et des expériences coquines. Finalement, au bout d'un moment, on finit par s'avouer que parler de tout ça nous excite tous les deux, et on se commence à passer à l'action, avec l'envie de mettre en application ce dont nous avons discuter. On se met d'accord pour un scénario à base de mains et de bras attachés, de soumission, de tapes sur les fesses, de parler cru. De la domination. Elle sera à mes ordres, mais il faudra tout de même que je prenne soins d'elle, que je fasse ce qu'il faut pour qu'elle prenne son pied. Parce que c'est quand même ça l'objectif, au bout du compte ! Que la fête commence ! J'emprunte sa salle de bain, puis je l'y envoie. La consigne est la suivante, elle doit être -très- clean, et se passer sur le corps un lait ou du parfum. Elle devra en ressortir non pas nue, mais revêtue de la culotte la plus provocante de sa garde-robe. Elle a le droit de mettre des bijoux, mais pas de boucles d'oreilles trop longues ou trop pendantes, c'est potentiellement dangereux pour la suite. Pendant ce temps, je préparerai la suite de la soirée. Pour ce faire, je lui emprunte quelques ceintures dans son placard, et un chiffon pris dans sa cuisine. Je trempe le chiffon dans l'eau froide, et je l'essore. Puis je vais m'asseoir sur le canapé du salon, où je l'attend. Au bout d'un moment, elle revient, préparée. Elle est très belle, et très excitante : elle a pris l'initiative de mettre des bas noirs et des chaussures à talon. Elle a passé sur son bassin un string très échancrée. Je lui demande de faire un tour sur elle-même : c'est un string ficelle. Elle est silencieuse, j'imagine qu'elle est tout à la fois concentrée, impatiente, excitée, anxieuse. "Dis-moi, lui dis-je, tu trouve vraiment que ta façon de marcher est adaptée à la situation ? -Tu trouve que je devrais me déhancher plus ? -Non. Mais tu es habillée comme une chienne. Les chiennes ça marche à quatre pattes. Mets-toi à quatre pattes ! Elle hésite un peu. J'insiste : à quatre pattes, j'ai dis ! Vite ! Elle le fait, un peu confuse. Ses joues rougisses. C'est bien. Tu as compris les règles du jeu, c'est très bien. Je m'approche et je l'embrasse, sur les lèvres et dans le cou. Puis je la fais se mettre à plat ventre sur sa table basse, et à l'aide d'un long chèche pris dans le placard de son entrée, je lui attache les mains aux pieds de la table basse. La longueur du chèche me permet de l'entraver de telle façon qu'en le desserrant légèrement, je pourrais modifier sa position : elle sera soi sur le ventre, soi sur le dos. - Alors comme ça tu as envie de sexe canaille ? D'être prise comme une bête. Comme une chienne. Comme la chienne que tu es au fond de toi. Tu fais bien de laisser ressortir cette chienne. C'est comme ça que tu es, dès que tu as le cul à l'air. Ça la fait sourire. Immédiatement, le torchon humide fend l'air et s'abat sur ses fesses avec un bruit mat. Elle retient un petit cri, elle ne s'attendant pas à ça. -C'est moi le chef, compris ? Toi, tu m'obéis. Sinon... Et je recommence avec le torchon. Tu vois ce qu t'attends ? Et vlan!un nouveau cul sur le cul. - Et plus tu seras insolente, plus tu seras punies. Et je multiplie les coups de torchon sur son postérieur. -T'as compris ? -Oui. -Oui qui ? - Oui, maître. -Voilà, c'est bien. Mais pour être certain que tu comprennes bien, je vais te faire un petit rappel. Et je lui administre un paire de fessées qui claquent. Ses fesses en restent rouge. -Hou dit-elle, ça fait mail. -C'est ce que tu voulais,non ? -Oui, maître. Et je recommence à lui donner des fessées. Puis je m'arrête, et je la masse délicatement. Les épaules, les jambes, le dos, les pieds. Je frictionne son corps avec de l'huile de massage. Elle sourit, elle me remercie. Avec une serviette, j'essuie l'excédent d'huile. Ensuite, je retire mon t-shirt et je la cingle avec, sur le dos, les bras, les fesses. Je l'oblige à lécher mon torse, puis je me glisse derrière elle. J'écarte sans mal la ficelle -symbolique- de son string et je masse son sexe. Il est moite, et plus je masse, plus il devient humide. Puis, je me positionne au niveau de son visage, et je me mets à genoux pour être à la hauteur de sa bouche. Je retire ma ceinture, je dégrafe la braguette de mon jean. -"Ouvre la bouche. Tu sais ce que tu va faire maintenant ? -Oui. Une claque sur la joue. "Oui qui ?" -Oui maître. -Tu vas faire quoi ? - Je vais vous sucer. Encore une claque. "recommence. Ta phrase n'est pas correcte". -Je vais vous sucer, mettre". -Voilà. Tu vas me sucer bien comme il faut. Avec tout ton cœur. Et je m'enfonce dans sa bouche. Tout entier. Elle ne s'attendait pas à ça, clairement. Elle réprime un haut le cœur, je fais machine arrière immédiatement. Elle reprend son souffle, crache, tousse, halète. -Doucement... Une baffe. -Doucement maître. -Et ton code de sécurité ? (elle tient dans sa main droite une balle contenant un grelot à agiter si elle ne peut plus parler et que ça va trop loin). -J'en étais pas là, maître. -Très bien, alors j continue. N'hésite pas à saliver sur ma queue, ça te facilitera les choses. Et je recommence à m'enfoncer dans sa bouche. Je l'attrape par les cheveux, et je viens dans sa bouche comme je le ferai dans son sexe. Je l'entends respirer par le nez alors de temps, je lui bouche le nez. Elle écarte alors un peu les lèvres pour respirer. Je presse donc son visage contre mon bas ventre. Elle lute comme elle peut pour se dégager, mais étant à plat ventre et les bras attachés, ce n'est pas évident pour elle. Je vois ses jambes qui s'agitent : elle essaye de continuer sans s'avouer vaincu, mais elle n'en peut plus : j'entends teinter le grelot. Je me dégage, elle tousse. Elle crache, elle a les yeux qui coulent. Elle respire comme quelqu'un qui aurait fait quatre longueurs de piscine sans respirer. Je souris, et elle aussi. -On recommence ? -Oui, maître. Et c'est reparti. On continue comme ça un petit moment. De temps en temps je interromps pour lui faire lécher mes couilles. Je sens le plaisir monter en moi, mais je n'ai pas envie de jouir tout de suite, alors je met un terme à ce jeu. Je desserre le chèche qui la maintient entravée, et je la retourne sur le dos, puis je serre à nouveau l'entrave. J'avance mon bassin au dessus de sa bouche, et je fais rentrer mes couilles en contact avec sa bouche. Elle a bien compris, elle se met à lécher. Je me penche en avant pour lui rendre la pareille. Puis je me dégage et je met mon sexe dans sa bouche. A nouveau je vais et je viens dans sa bouche. Dans cette position, je peux lui prendre la bouche et caresser sa chatte en même temps. Je vois ses jambes qui se raidissent devant la difficulté de ce que je lui impose. J'attrape sa gorge avec mes mains, et je serre, pendant que je continue mes vas et viens de plus en plus profondément. Je m'enfonce autant que je peux, je serre son cou plus fort. Ses jambes s'agitent. Elle lutte, mais elle me laisse continuer. Au bout de quelques secondes comme ça, la clochette teinte. J'arrête. Elle reprend son souffle et tourne la tête sur le côté pour cracher. Son maquillage coule. -Tu t'es bien défendue. La cochonne qui est en toi s'est bien réveillée, c'est bien. Elle sourit. Je lui tapote la joue, puis je vais chercher un mouchoir en papier que j'humidifie légèrement pour lui nettoyer le visage. Après quoi, je m'agenouille entre ses jambes. Son string, facilement écarté, est vraiment symbolique, il ne cache vraiment pas grand chose. A peine une petite touffe de poil taillée d'une façon charmante, et une vulve épilée avec soin, qui sent à la fois le savon et la cyprine. J'adore ! Son sexe est gonflé, rougeoyant, humide. Je pose ma bouche dessus, et je commence à l'embrasser à cet endroit. Puis ma langue se promène sur sa vulve et insiste sur son clitoris. Je le chatouille, l'aspire, le presse doucement mais fermement avec ma langue. Elle gémit. Ensuite, j'enfonce un doigts, puis deux, dans son vagin, et je continue mon manège avec ma langue. De ma main libre, je lui titille les seins. De temps en temps je cherche à lui faire du bien avec ses seins, mais de temps aussi je les pince plus fortement. Je la fais osciller ainsi entre plaisir et douleur. Puis je fais remonter cette main de sa poitrine vers sa gorge. Et je serre. De plus en plus fort. J'atteins même un niveau qui me surprend moi-même. J'arrête, puis je recommence. Jusqu'à ce qu'elle prononce le safe-word. Alors ma main remonte sur son visage, et mes doigts appuient sur sa bouche. Elle entrouvre les lèvres, et je glisse un doigts à l'intérieur. Puis un autre, puis trois, et bientôt quatre. Je ressort ma main, mes doigts sont pleins de salive. Alors, tout en continuant le cunnilingus que je lui administre, je redescend ma main de sa tête vers son bassin. Je constate que mon majeur est plein de sa salive, et cela me donne une idée : j'appuie avec sur son anus, puis je l'enfonce progressivement, doucement mais fermement, jusqu'au bout. Elle ne dit rien, mais je la sent qui se contracte. Je continue à la lécher, mais je ne bouge que les lois qui sont dans son vagin. Puis, doucement, je remonte le majeur qui est dans son anus pour exercer une pression en direction de son vagin. Elle se met à gémir très fort et rapidement, elle se tortille. Elle jouit en haletant. Elle se tortille, demande à ce que j'arrête; mais je continue un peu, elle n'a pas dit maître ! Je cesse finalement, et lui rappelle son erreur. Je lui gifle les seins. Ma main passe au raz de ses seins et heurte ses tétons. Je la fais à nouveau changer de position : elle reste les mains et les bras attachés à la table basse, mais elle est maintenant à quatre pattes dessus, les fesses relevées. Je me positionne devant elle et lui ordonne de sucer mon sexe. Elle s'exécute docilement, consciencieusement. Puis je me mets derrière elle, je l'attrape par les hanche, et je m'enfonce en elle. Et je la baise. De toute mon énergie. J'y vais du plus fort que je peux. Elle crie. Je l'attrape par les cheveux, que je tire d'une main. Avec la main libre, je lui claque le cul aussi fort que je peux. -T'aimes ça, être baisée comme ça ? -Oui, maître. -Alors dis-le. Demande-moi, supplie-moi de te baiser. -Baisez-moi, maître, baisez-moi ! -T'es une chienne ? Une salope ? Dis-le ! -Oui maître, je suis une salope. Je la pilonne encore et encore. La table basse grince. Les pieds du meuble se soulèvent au et retombent au rythme de mes coups de reins. Une pensée me travers l'esprit : que vont penser ses voisins ? Cela m'amuse de me dire qu'ils vont se dire que c'est une cochonne, mais qu'ils ne lui diront jamais. Qu'elle va éveiller de nombreux fantasmes dans l'immeuble. Je lâche ses cheveux pour glisser mes doigts dans ses narines et tirer son nez vers le haut quelques secondes, puis je glisse à nouveau mes doigts dans sa bouche. Elle les suce comme elle ferait d'une queue. -Tu voudrais avoir plusieurs bites à ta disposition en ce moment hein ? Cochonne ! Et vlan, je lui claque très fort le cul de mes deux mains. Je crache sur son trou du cul, et je glisse mon majeur à l'intérieur. Tout en continuant à la baiser en levrette, je fait vibrer rapidement mon majeur dans son cul. J'augmente encore le rythme et la cadence. Elle déclare qu'elle va jouir à nouveau. Ce qui arrive au moment où je suis moi-même sur le point d'atteindre l'orgasme. Je me retire précipitamment et me positionne devant son visage. J'éjacule à grands jets sur son visage, en visant son front. Mon sperme jaillit puis coule sur son front, son nez, ses joues, sa bouche. Puis j'enfonce ma queue dans sa bouche aussi profondément que possible. Quand elle fait tinter sa clochette, je me retire. On se regarde en rigolant. Elle a toujours du sperme sur le visage. De mon doigt, j'en attrape les gouttes et je les ramène jusqu'à sa bouche. Elle les avale en me regardant dans les yeux. Je lui souris, et l'embrasse sur le front. - C'était bon ? - Oui maître. - C'était bon pour moi aussi. Tu as été dans ce jeu une partenaire fantastique. - Merci maître. - Tu as été ma petite catin, n'est-ce pas ? - Oui maître. - Ce mot te va si bien. Il a un côté raffiné et cultivé, comme toi. Mais finalement, il désigne une fille qui se fait trousser vigoureusement à la hussarde.... Comme toi ! Ça la fait rire. - Holala, dit-elle. C'est vrai que c'est un peu moi ce soir, ça. -Il n'y a pas de hontes à avoir. Nous n'avons fait de mal à personne, bien au contraire. Tu voudrais recommencer ? -Oui, je crois bien que oui. - Je pourrais te sodomiser la prochaine fois, si tu veux. - Je crois que ça me plairais bien de rajouter ça. -Catin, va! Elle rit à nouveau. Nous trinquons.
unforgiven
a répondu à sa propre discussion "Quelques récits de domination".
Récit : "tu l'as voulu, tu l'as eu". Quand j'ai reçu son SMS, j'étais au travail. Un SMS bien aguicheur, plutôt provoquant, dans lequel elle évoquait son envie de "ma bite". Comme c'était une période de grosse charrette, et que j'avais hâte d'en finir, j'ai d'abord décidé d'ignorer ce message. Mais j'en ai très vite reçu un autre, évoquant "une forte envie de [se] faire baiser". J'ai essayé de continuer à me concentrer, un peu agacé par les autres messages qui ont suivi, et qui étaient dans la même veine, évoquant sa "chatte humide" et le fait que je devais me dépêcher d'en profiter. N'arrivant plus à me concentrer, je décide de laisser mon boulot en plan pour aller satisfaire les besoins de la gourmande qui me chauffe. Quelques minutes plus tard seulement, je suis chez elle. La porte est ouverte, j'entre sans frapper. Je la trouve sur son lit, allongée sur le ventre, faisant semblant de dormir. Elle est en culotte, seins nus. Je me positionne au dessus d'elle, assis à califourchon sur ses fesses, et j'empoigne ses seins dont je malaxe les tétons. Je les fais rouler entre mes doigts, je les titille, je les pince légèrement, je les agaces. Dans le même temps, je lui donne quelques baisers dans le cou, et aussi quelques suçons sur les épaules. Puis je la retourne sur le dos d'un seul cou, et je lèche ses aréoles. Je descends jusqu'à sa taille et je lui arrache sa culotte d'un coup sec. Elle a un petit sourire qui veut dire que ce dirigisme ne lui déplaît pas. Je lèche sa chatte, m'attardant sur son clitoris, sur lequel j'applique une légère pression à l'aide de ma langue. Je glisse un doigt à l'intérieur et je commence à caresser l'intérieur de son sexe. De mon autre main, je continue à titiller ses tétons. Sa chatte se gonfle et devient considérablement humide. La cyprine coule abondamment. Elle me demande de continuer comme ça, ce que je fais. Elle halète, elle souffle, elle râle. Puis elle joui. Elle le dit et elle le montre : elle se tortille, elle crie, et l'humidité de son sexe augmente encore. Elle me demande d'arrêter, elle n'en peut plus. Sauf que... Je l'attrape par les hanches, et je continue mon manège. Elle essaye de se dégager mais je la tiens fort. Elle me demande à nouveau d'arrêter, et là j'arrête. Puis je recommence. Elle gémit, elle rit, elle crie stop. Je poursuis ainsi encore un temps puis je fais remonter ma tête vers la sienne en mordillant son ventre et ses seins. De ma bouche encore humide de sa mouille, je lèche ses lèvres. Elle a un sourire béat. Là, je me redresse et je retire mes vêtements. Je la fais se mettre à genoux devant moi et elle comprend tout de suite ce que j'attends d'elle. Elle attrape ma queue et l'enfourne dans sa bouche. Elle s'applique, et utilise toute sa science de la pipe. Elle lèche mes couilles, frotte ma verge contre ses joues. Elle s'essaye aussi à la gorge profonde. J'attrape ses cheveux et les tire un peu vers le haut et vers mon ventre. Déséquilibrée, elle se penche en avant. Elle est maintenant à quatre pattes sur le matelas, le cul tendu vers l'arrière. C'est moi qui imprime le rythme de la fellation : je fais aller et venir mon bassin pour faire coulisser ma queue dans sa bouche. Je sens que cela la gêne, alors j'arrête. Je me retire pour qu'elle puisse reprendre son souffle, je lui fais lécher mes couilles. Puis je recommence mon manège. Quand j'en ai assez de ce petit jeu, je l'attrape par les épaules et les hanches et la déséquilibre. Elle se retrouve projetée sur le dos, sur le matelas. Je m'allonge sur elle et je la pénètre. J'y vais doucement au début, le temps que son vagin se fasse à la présence de ma verge, puis j'accélère progressivement le rythme. Plus ça va, plus j'y vais fort. En appui sur mes avants-bras, je la pilonne complètement. Elle apprécie et me demande de continuer. Je décide de modifier un peu ma position en prenant appui sur le matelas avec ma tête. Cela libère mes mains et je les utilise pour agripper ses fesses. Mes doigts se frayent un chemin et s'insinue dans la raie de son cul pour aller titiller son anus. Elle halète, elle gémit, elle dit qu'elle aime ça. Et elle réclame autre chose. -"Prends moi en levrette, je t'en supplie", dit-elle. - "Vraiment ?" -"Oui, j'en ai envie". "OK. Comme tu voudras". Je la retourne sans ménagement, d'un coup sec. Elle se retrouve à quatre pattes, le cul offert. Je me positionne derrière elle et je la pénètre. Je fais des va-et-vient lents, presque langoureux, en caressant ses seins et son dos. Puis je pose mes mains sur épaules et j'accélère la cadence. Elle apprécie. J'intensifie mon mouvement et je finis par faire glisser mon bras droit autour de son cou. Je la bloque dans cette position et je la pilonne. Elle est prisonnière. Elle gémit, elle crie. Mes hanches claquent bruyamment contre son cul. Je la "libère" et je place mes mains sur ses hanches. Je me bascule légèrement vers l'arrière, et je fait des mouvements très rapides du bassin. Elle devient vraiment bruyante maintenant, au fur et à mesure que je la baise sauvagement dans cette position, mes couilles claquent contre sa chatte. Je libère une de mes mains et je lui administre une fessée sonore qui laisse une belle marque rouge sur ses fesses blanches. Je recommence. Encore et encore. Son cul est devenu tout rouge et je lui empoigne les cheveux. Je les tire vers l'arrière d'une main, elle très cambrée maintenant. De mon autre main, je lui enfonce mon pouce dans le trou du cul. Je sens une légère résistance, j'appuie un peu. Le petit conduit s'ouvre et mon doigt s'enfonce dans le canal très serré. Au bout d'un certain temps de ce traitement, je retire mon doigt. Je la fais s'allonger sur le ventre, les bras tendus devant. J'attrape sa culotte qui traînait sur le matelas et je lui ligote les mains avec. Toujours dans son dos, je m'assois sur le dessus de ses cuisses et je recommence à la baiser dans cette position. J'en profite à nouveau pour lui claquer le cul, lui griffer le dos et les fesses. Puis je libère ses mains et reprends la culotte. Je lui demande si elle l'aimait bien ce sous-vêtement. Elle me dit que oui car elle le trouve beau. "Dommage", que je lui répond. Et je déchire la culotte. Je la fait se remettre en levrette, et je lui colle une sacrée claque, très sonore, sur le cul. Je me positionne à nouveau derrière elle et je recommence à la prendre. De ma main gauche, j'alterne tirage de cheveux et introduction d'un doigt dans le cul. De main droite, j'utilise ce qui reste de la culotte comme un fouet. Elle me demande de continuer comme ça, de la baiser comme une moins que rien. Je ne réponds pas, je me contente d'accélérer encore la cadence. J'en arrive à un point où je la pilonne tellement qu'elle ne peut plus parler, elle émet juste des halètement saccadés au rythme de ma queue qui va et qui vient dans son sexe. Au bout d'un moment de ce traitement, elle me demande d'arrêter : "je n'en peu plus" dit-elle. Je m'allonge alors sur le dos et je la fais s'asseoir sur ma queue. Elle attrape ma bite et l'enfonce dans son vagin. Elle commence à onduler sur mon moi et j'attrape ses seins pour les lécher. J'enfourne un de ses tétons dans ma bouche et avec ma langue, je le caresse de façon répété. De mon autre main, je m'amuse à varier les fessés et les massages de l'anus ou du haut des fesses, à la naissance de sa raie du cul. Elle jouit. Je l'attrape par les hanches, la soulève un peu et la pilonne dans cette position. Elle hurle des "oui" et j'y vais encore plus fort. Quand je sens que je vais jouir à mon tour, je me retire. Je la fais se mettre à genoux devant moi. Elle est en appuie sur le bord du lit, et j'ai une vue imprenable sur son cul. Elle a tout de suite compris ce que j'attendais et elle ouvre la bouche pour commencer à me sucer. J'en profite pour recommencer à lui claquer son derrière de façon sonore. Ses fesses son de plus en plus rouge, je me demande si cela ne va pas la gêner pour s'asseoir dans les jours qui viennent. C'est bien possible mais après tout, cela lui fera un souvenir ! Elle continue à me sucer, alternant mouvements de langues sur mon gland, léchage des testicules et du périnée. De temps en temps elle reprend son souffle en me branlant d'une main. De nouveau, je prends ses cheveux et m'en serre pour la guider. Elle ouvre plus grand la bouche pour que je puisse m'y enfoncer davantage. Elle bave, et sa salive lubrifie ma queue qu'elle enfonce de plus en plus profondément dans sa bouche. Même pas besoin de lui dire quoi faire, elle a bien compris la partition qu'elle doit jouer. Elle continue à me sucer en me massant les couilles. Je la mets en garde : si elle continue, je vais jouir dans sa bouche. Malgré ma queue qui l'empêche de parler, elle parvient à pousser un soupir en forme d’encouragement. Je poursuit mes avertissements, lui dit que je vais éjaculer dans sa bouche, que tout mon sperme va couler dans sa gorge. Elle gémit de plus belle, et commence à me sucer de plus en plus fort. Plus je lui parle de ce qu'elle me fait et de ce que ça va entraîner, plus ça l'excite. Et je jouis. Les jets giclent dans sa bouche, je continue à maintenir ses cheveux pour qu'elle ne puisse pas détourner la tête et échapper à l'invasion de sa bouche par mon sperme. Mais elle n'en a pas l'intention et, docile, elle s'acquitte gentiment de sa tâche. Alors que j'ai finis de jouir, je la maintient encore un peu dans cette position. Sans que j'ai besoin de lui dire, elle avale tout. Je relâche sa tête et elle se relève. Elle se relève et s'essuie la bouche. Elle rit, et me regarde en souriant. Elle pousse un soupir, rit de nouveau. Elle a l'air ravi. "Merci", me dit-elle.

Statuette : femme prosternée


Dimensions : env. 14 x 7 x 7 cmEn savoir plus / Plus de photos



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Bonjour tous le monde ! Comme tous ceux qui postent ici, je suis nouveau sur le site. Je me définirais comme un dominateur, mais -pour l'instant- assez peu porté sur les accessoires : je préfère improviser et utiliser "les moyens du bord" pour remplir mon rôle de dominateur en détournant des objets du quotidien de leur usage originel. Je ne vous apprends sûrement rien si je vous dire qu'on faire tout un tas de chose avec une ceinture, une écharpe, une cravate ou une cordelette à rideau (et ce n'est qu'un début !). Je suis ici pour échanger et qui sait peut être avoir l'occasion de mettre en pratique !
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