Il y a bien pire que le fouet quand il me corrige d’une de mes fautes.
Il y a bien pire que la cire qui m’apprend la morsure des flammes.
Cette attente éternelle qui commence à la minute où vous me quittez.
L’attente est bien pire que le plus rude des coups de fouet, même celui-ci, s’estompe avec le temps.
Votre absence est une blessure qui ne guérit pas. Plaie ouverte, chair à vif qui jamais ne cesse sa tourmente.
Mais mon obédience et ma dévotion prime sur mes désirs.
Je suis votre et je ne faillirais pas.
J’attendrais que vous franchissiez de nouveau mon seuil, j’attendrais que vos doigts se mêlent dans mes cheveux, j’attendrais que vos mains se posent sur ma gorge offerte.
Taire mon impatience est peut-être la meilleure chose que je puisse vous offrir en attendant.
Toute à vous,
Votre Soumise.
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Se soumettre c'est s'exposer...
Offrir ses parties tendres et fragiles sans aucune restriction.
Tendre les paumes vers l'autre pour proposer son coeur chaud et palpitant.
Le proposer contre une promesse, la promesse d'en prendre soin, de le chérir, de le décortiquer avec passion et bienveillance pour y dévoiler ce que nous-même ne connaissions pas.
Se soumettre n'est pas gratuit...
Le coeur et le corps à vif, offert à cet être inconnu qui pourrait être tout autant animé de la même passion que d'un intérêt passager.
Pourtant quel que soit le regard qui y est posé, le coeur est la, il est bien la et offert dans toute sa simplicité et sa candeur.
Prenez cette soumission avec toute la déférence et la douceur qu'elle requiert, car quand ce coeur est offert , il est nu, sans armure.
Considérez cette soumission pour ce qu'elle est :
Un cadeau à nul autre pareil.
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Il y a de ces liens plus forts qui nous enchainent,
Quand nous naviguons à l'aveugle, à travers la tourmente.
De ces envies de tout, de rien, qui nous entrainent,
Nous font vibrer, sans contact, dans l'attente.
J'ai présentée des maillons, faibles un à un,
Que vous avez assemblés, passionnément, tranquillement.
Tricoté, comme une maille, une chaine, peut-être bien,
Et je me suis lovée, dans cette étreinte, tendrement.
Je ne veux plus m'en défaire, que vous serriez un peu plus mes fers,
C'est cela que je désire plus encore, votre étreinte, votre univers.
Etre votre, à chaque souffle, à chaque instant,
A chaque bouffée de mon coeur palpitant.
Une braise, sans votre souffle chaud je ne suis que cendres,
Haletante, sans oxygène, fleur sans soleil... je n'ai pas les mots.
Ils sont inutiles, fades, sans saveur, bruts et jamais tendres.
Possédez-moi, prenez-moi, la patience n'est pas mon lot.
Et pourtant... surprise. Les mains sur les cuisses et le menton baissé...
C'est ainsi que je vous attends, non sans une certaine fierté.
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Bonsoir Vivi sa va bien j'espère que tu passes une agréable soirée très jolie poème et très belle perce neige c'est magnifique il est de toi ce poème bravo
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27/03/24
Je te savais poète Vivi c'est vraiment bien trouver les mots sont justes bravo sa me redonne du courage merci Vivi
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27/03/24
Bonjour et bienvenue.Je suis moi aussi dans la même recherche et dans le même secteur , j'espère que vous allez trouver "chaussure à votre pied" , mais j'avoue que ce n'est pas si simple , car comme vous le dite , il y a beaucoup de prédateurs et de malhonnêtes dans ce milieu .
Vous êtes une très belle soumise , et ça c'est un gros atout .
Cordialement
syvonbi
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Belle prez. Bonne chance dans votre quête.
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