
Encage CercleEbène87
Bonjour le cercle , j atterri ici un peu par hasard, mais il me semble être au bonne endroit merci pour l invitation.
Avec ma compagne il y a quelque tps déjà nous somme fasciner par le monde dominant / soumi.
Après une longue période que j appellerai jeu , sur des moment court dédié a ce que nous pensions être la bonne pratique si je puis dire .
Nous avons décidé il y a quelque mois de pratiquer notre jeu en continu .
Je dois préciser que apres un cancer des testicule ma libido est assez triste et c est en c est jeu là qu on a trouvé le moyen de me stimuler.
Depuis que le jeu est en continu ma Maîtresse ne me laisse plus monter en pression...
Ce qui ce traduit essentiellement par le fait de me retirer ma cage tout les jours, et de me masturbé ,biensur apres de belle caressé, quelque coup de cravache.
Je sais que ma p’tite bite enfermé dans son écrin d acier l exite beaucoup.
Je ne souhaite pas la réfréner biensur ,mais j arrive pas vraiment a lui faire comprendre que j ai besoin de plus de temps principalement sans orgasm , mais pas sans stimulation non plus.
Si vous avez quelque conseil je suis preneur.
Merci d avance
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CercleEbène87
Bonjour Encage,
Merci pour ton partage. Je ne vais pas te donner de conseil — simplement un avis, en toute simplicité.
Ce que vous vivez avec ta Maîtresse semble sincère et engagé. Le passage à un jeu continu est une vraie étape, qui peut autant renforcer la complicité que créer de nouveaux déséquilibres. Et tu mets le doigt sur l’un d’eux : trop d’orgasmes tue la tension.
Ton envie est claire : rester dans l’intensité, dans l’attente, dans l’excitation… pas juste enchaîner les relâchements. C’est un besoin légitime, surtout quand on cherche à vivre une dynamique durable.
Et je dirais aussi — mais là encore, c’est un simple avis — que ton état de santé fait partie de l’équation. Ce n’est pas un frein, mais ça ne peut pas être ignoré. Il y a des jours où ton corps dira non, même si ton esprit dit oui. Il faut que ta Maîtresse le sache, pas pour te ménager, mais pour te tenir avec justesse.
Enfin, s’il faut retenir quelque chose : ton ressenti mérite d’être dit, clairement. Pas comme une demande, mais comme une vérité que tu offres. À elle d’en faire ce qu’elle veut — mais au moins, tu auras été honnête.
Bienvenue dans le Cercle.
— CercleEbène87
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18/06/25
Je partage l'idée.
katsuslave08 a posté un article.
Être soumis·e ne devrait jamais être considéré comme quelque chose de simple ou de passif. Trop souvent, aujourd’hui, je vois des personnes se revendiquant soumises, mais qui ne s’investissent pas réellement dans leur rôle. Certaines ne travaillent pas leur posture, leur expression, leur technique ou même leur compréhension des attentes d’un dominant. Pourtant, à mes yeux, être soumis·e ne se résume pas à simplement obéir sans réfléchir ni questionner. Il ne s’agit pas seulement de répondre à des ordres mécaniquement, mais bien de construire une dynamique de confiance, de dévouement, et surtout de progression.
Être un·e bon·ne soumis·e, c’est avant tout apprendre à connaître son Maître ou sa Maîtresse, comprendre ses goûts, ses préférences, ses envies. Cela implique un véritable effort, parfois même une forme de discipline quotidienne. Par exemple, prendre de belles photographies ne devrait pas être vu comme un simple caprice esthétique, mais comme un acte de dévotion. Cela passe par l’apprentissage de la mise en scène, la maîtrise de son corps, voire même l’initiation à des outils de retouche ou de montage photo pour valoriser au mieux ce que l’on offre. Ce n’est pas de la superficialité, mais une forme de soin et d’attention à l’autre.
Il y a aussi un aspect physique à ne pas négliger. Certaines pratiques, comme le facial abuse ou d'autres formes de domination intense, nécessitent un certain entraînement, une préparation corporelle. Il ne s'agit pas seulement d'endurance, mais aussi de souplesse, de contrôle de soi, de capacité à supporter et encaisser tout en restant présent·e et disponible. Travailler son corps, c’est aussi une manière de montrer que l’on prend son rôle au sérieux, que l’on souhaite être à la hauteur des attentes, et que l’on respecte profondément la personne à qui l’on se soumet.
Bien sûr, il y aura toujours des voix pour affirmer qu’il faut rester "naturel·le", et je comprends ce point de vue. La spontanéité a effectivement sa place, et elle est même précieuse dans certaines dynamiques. Cependant, cela ne devrait pas devenir une excuse pour négliger son engagement ou pour se contenter du strict minimum. Être naturel·le, oui, mais tout en cultivant la meilleure version de soi-même pour mieux servir, mieux plaire, mieux offrir.
C’est pourquoi, personnellement, j’ai choisi d’explorer les deux aspects dans ma manière de me présenter. Je réalise à la fois des photographies dites "naturelles", prises sur l’instant, sans artifice, pour montrer qui je suis vraiment dans le quotidien. Et en parallèle, je crée aussi des clichés plus travaillés, plus esthétiques, où l’éclairage, la posture, et même la retouche sont pensés pour sublimer l’image que je renvoie. Les deux approches ne s’opposent pas, elles se complètent. Et pour moi, c’est cette dualité – entre sincérité brute et perfection construite – qui incarne le mieux ce que signifie être une soumise impliquée et consciente de son rôle.
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Je valide
Loucha Paul PonyGirls et PonyBoys
On peut dire « Je veux » et attendre ; ou alors aussi se donner les moyens en réalisant soit même son projet.
Quand j’ai commencé dans le PonyPlay, il n’y avait rien et personne ; il n’y avait pas non plus les groupes de discussion en français pour s’informer sur la pratique des PonyPlays. Bien sûr, je me suis inspiré de quelques photos qui traînaient par-ci par-là … mais rien de concret. Il a fallu que je me déplace pour rencontrer des personnes à même de m’aider à réaliser mon projet (cordonnier, métallurgiste, artisan du cuir et autres professions). Pour cela, il m’a fallu une bonne année de travail et d’investissement personnels. Le PonyPlay est un tout qui demande énormément de moyens et c’est pour cela que cette activité n’est pas si répandue en France.
Tout d’abord, c’est une pratique qui se réalise uniquement en extérieur. Il faut donc investir dans une propriété relativement grande qui permet cela. Ensuite, il faut entretenir les espaces et les délimiter (Barrières, locaux, boxe, pelouses, manège…). Viennent enfin le matériel (sulky, habillements pour le driver et la pony) ainsi que les moyens de transport (voiture avec remorque).
Bref, tout cela nécessite une logistique qui occupe bien les journées.
Donc le ponyPlay ne se résume pas à simplement dire « Je veux » : la pratique de cette discipline est en réalité exigeante et elle nécessite des investissements considérables. Si maintenant vous désirez pratiquer cette discipline sans tout cette investissement vous êtes obliger d’utiliser l’investissement qu’un autre a fait.
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Je vous remercie pour vos retours et le temps consacré à nos échanges.
Je vous rappelle que j’ai découvert votre annonce hier et que je m’y suis intéressé dans un premier temps. Bien qu’il m’ait été proposé des entretiens et des tests en visioconférence, je les décline pour raison personnelle après un temps de réflexion d'une journée ce qui me semble raisonnable.
J’ai mentionné à titre courtois la possibilité d’en parler à d’anciens collègues, sans aucun engagement de leur part ni du mien. Je ne vous dois aucune preuve de ces échanges. Si l’occasion se présente, j’en parlerai à qui je jugerai pertinent — et les personnes qui vous contacteraient le feraient de leur propre choix, en toute autonomie.
Je considère avoir une attitude bienveillante. Ce que je reçois aujourd’hui s’apparente au contraire à une tentative de mise sous pression, dans un cadre où les attentes sont unilatérales et les preuves non réciproques.
Je n’ai aucun compte à rendre, ni dette à l’égard de ce processus.
Je profite de rappeler que votre proposition est intéressante, mais que je ne peux en attester la qualité. Comme toute initiative, elle n’est pas parfaite mais a le mérite d’exister. Vous semblez, par vos dires, être expérimenté. J’en suis content pour vous. Les projets aboutis sont agréables à connaître, et me motivent dans ma propre initiative, aussi modeste soit-elle.
Bonne continuation.
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11/06/25
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Merci highheels42 d'être membre bienfaiteur de la communauté BDSM.FR et de participer à l'élaboration et l'organisation de la vidéothèque gratuite.
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