Maîtresse d'expérience intéressée par un nouveau soumis fétichiste cuir et bottes en quête de rédemption et d'adoration .:.
Récit réel d’un réveil salé avec Mademoiselle.
desambiguation importante : Mademoiselle est le sobriquet de ma Soumise. J'espère que celui-ci ne prêtera à confusion avec aucun pseudo dss membres de la communauté. Si tel était le cas, je m'en excuse par avance et, à l'avenir, tâcherai de rappeler ce disclaimer en préambule de tout article de ma part pouvant la citer afin d'éviter tout qui pro quo. Merci.
J’avais chaud et me levait pour entrouvrir la fenêtre de notre chambre par cette belle matinée de printemps. Je laissais cependant les volets clos pour conserver le confort de la pénombre. Nous séjournions en province pour un séjour avec beaux-frères, belles-sœurs et leur multitude d’enfants afin de célébrer un événement familial.
Je revins donc m’allonger aux côtés de Mademoiselle, à moitié endormie, me glissai derrière elle, et l’enlaçait tendrement pour qu’elle se love contre moi. Apres un court moment de quiétude simple; les bruits, les pleurs et les cris refirent surface de part et d’autre du gîte où nous sejournions tous. Rassasiés depuis plusieurs jours déjà de tout ce vacarme et de cette promiscuité incongrue, Mademoiselle et moi commencions à ressentir l’envie pressante de moments plus adultes et intimes.
La campagne était pourtant si prometteuse avec tous ses petits recoins à l’abri des regards; et nous avions déjà entrevu de nous y réfugier pou un petit instant coquin. Mais, hélas, le carcan de la prison familiale ne s’était jamais desserré depuis plusieurs longues journées de préparatifs et de célébrations diverses. Ainsi, la famille ne nous avait pas laissé d’occasions plus satisfaisantes que de petits BJ/HJ/CIM volés et hygiéniques; afin de rester dignes et discrets.
C’est ainsi que, ce matin la, légèrement agacé, je commençait à la serrer un peu plus fort contre moi; faisant glisser une main sous son T-Shirt pour y pétrir un sein, je glissait l’autre sous les plis de sa culotte pour y écarter largement une fesse en signe de rébellion.
Quelques soupirs plus tard, Mademoiselle commençai à onduler langoureusement, comme j’aime. Elle finit par se rapprocher pour venir frotter son séant contre mon sexe. Je dors toujours nu. Elle jamais. Mademoiselle a froid parfois la nuit et son sommeil s’en voit troublé.
Résigné et quelque peu dépité, je savais que je n’allais retirer de tout cela que plus de frustration. Mais le moment restait agréable. Je la sentit cependant se cambrer plus loin et plus pour me tenter.
Malicieuse et espiègle, Mademoiselle aimait particulièrement m’aguicher quand la situation rendait la chose impossible. Elle prenait un malin plaisir à ce que je la désire quand elle ne pouvait pas être touchée. Mais surtout, elle savait que me frustrer était le meilleur moyen de recevoir la promesse d’une punition bien sèche et méritée des que l’occasion se présenterai. Elle jouissait donc avec délice de ce privilège singulier de m’exciter des qu’elle le pouvait.
Mais ce matin j’avais très chaud et j’étais mauvais. J’étais pris de cette sorte de fièvre qui monte par bouffées et laisse mes pulsions s’échapper quand je n’ai plus envie de jouer. Je respirait fort, submergé par les vilaines petites idées qui se bousculaient dans ma tête.
Ainsi je commença à pétrir plus fort, et avec moins de douceur, ce joli téton qui pointait désormais entre mes doigts et fit glisser sa culotte le long de ses cuisses d’un geste franc afin de venir lover mon gland désormais gonflé entre ses petites fesses joufflues.
Lassé de la laisser se jouer de moi de la sortie, je lui sifflait dans le creux de l’oreille qu’il fallait parfois avoir le courage de ses actes et prendre pleine conscience de leur conséquences.
Nous n’avions absolument rien à disposition pour dissimuler une étreinte. Aucune lingette, aucun mouchoir, aucun tissu. Et encore moins de lube.
Moi qui, de coutume, aime à lécher des scenarii sophistiqués assortis de moultes tenues, apparats et autres accessoires savamemt choisis; ce matin là nous n’avions absolument rien de confortable; et j’en était fort satisfait. J’appréciais la frugalité, l’impraticabilité et l’interdit de la situation tout autant que la proximité improbable de mon gland avec l’orée brûlante du fondement de Mademoiselle.
Nous entendions le vacarme monter et redescendre par vagues derrière la porte de notre chambre, dans un bourdonnement confus. Tout cela aurait peut-être pu suffire à masquer un petit moment coquin mais, en aucun cas, une chevauchée sauvage. Quoiqu’il en fut, le risque d’être surpris restait extrêmement élevé. Les enfants n’ayant aucun égard pour l’intimité des adultes; et les portes, elles, toutes faites pour être ouvertes. C’est bien connu.
Ainsi assaillie, mais tout aussi ravie, Mademoiselle soupirait maintenant langoureusement, me léchait les bras, me mordillait la peau comme un petit animal. A son habitude, elle appréciait l’excitation tout autant que la promesse brisée d’une pénétration trop risquée. Je la laissait donc se détendre en caressant ses cheveux. Conscient que le moment n’était pas venu.
Je me calmais aussi, soupirais dans son cou et lui sussurait de petits mots plus raisonnés dans le creux de l’oreille tout en retirant doucement mon sexe de sa jolie petite raie devenue brûlante et légèrement moite.
Mademoiselle n’en eut cependant cure : elle souleva donc une fesse d’une main furtive pour venir emprisonner à nouveau toute la longueur de ma verge entre les muscles de son séant (Mademoiselle est sportive et et sa croupe est ferme et à l’étreinte puissante). Elle commença alors à serrer plus fort ses belles fesses pour me retenir tout en ondulant lascivement pour me faire perdre mon calme. Comme je le lui avais appris. Et a mes dépends cette fois-ci.
Elle s’appliquait donc - de sa propre initiative - à me démontrer toute sa technique et tout son art du butt job.
Il n’y aurait pu y avoir plus belle invitation.
Ma queue renflée sous la pression
oscillait désormais délicieusement entre douleur, excitation et volutes de plaisir. Mademoiselle se donnait grand peine à jouer de son cul pour bien l’astiquer.
Je me laissait donc servir avec délectation quand, en prise à une irrépressible bouffée lubrique, j’empoignait sa chevelure d’un geste sec et la tirait vers moi pour dicter le rythme de son bassin. Une main fermement ancrée sur sa hanche et l’autre sauvagement agrippée à une touffe de cheveux emmêlés, je tirai fort sur chacune pour donner à Mademoiselle la cadence de ce petit trot qu’elle avait si fièrement sollicité.
J’exultais, mon sexe désormais fier, sale et affreusement dur. Mon gland était devenu agréablement douloureux à force de frottements secs et avait depuis suinté quelques larmes de liquide sous le feu de l’excitation.
Cependant ni le stupre, ni la sueur ne pourraient désormais prévenir la douleur d’une pénétration impromptue. Mademoiselle et moi le savions tous deux et nous en accommodions désormais de bonne grâce.
Mademoiselle continuait à aller et venir pour venir embrasser mon gland des petites nervures de son orifice délicat tout comme elle l’aurait fait avec sa bouche.
Ivre d’excitation, j’assumais désormais un rythme plus soutenu. Moins retenu. Advienne que pourra …
Aux petits soupirs venaient désormais s’ajouter de petits cris imprévus. Je lâchait donc sa hanche pour venir lui masquer la bouche. C’est à cet instant que Mademoiselle décida de desserrer les fesses et m’offrir toute l’étendue de sa cambrure pour forcer mon gland entre les fines rides fines de son anus étroit.
Les cris étouffés par ma main, elle laissait libre cours à sa fougue en me gratifiant de grands coups de croupe qui engloutirent bientôt tout mon sexe turgescent, prêt à la récompenser de cette audace.
Je tirai plus fort sur ses cheveux. C’est un plaisir qu’elle apprécie particulièrement.
Je la laissait claquer sa croupe de plus en plus fort contre mon pubis sans bouger et elle, me servir comme il se doit.
Prenant un malin plaisir à cette envie fièrement assumée, je commençais moi aussi à la besogner de coups de reins secs et puissants. Encaissant âprement ce nouveau rythme, elle commença à haleter et baver entre mes doigts. Je sentais son corps de tendre, entre douleur et plaisir, et m’efforçais de defoncer à sec ce joli petit cul qui m’avait tant manqué!
Se pâmant désormais, Mademoiselle, se retira légèrement pour permettre à ma queue épaisse, devenue visqueuse, de plus amples assaults.
Ne pouvant plus résister de la prendre aussi salement - bien qu’en toute discrétion - je lui signifiait ma satisfaction par un soupir bestial, comblé de la souiller de la sorte.
Fier et satisfait de cette étreinte bestiale, je sentis le plaisir monter en moi et commença à laisser exploser ma queue en elle en de grosses giclées grasses et collantes. Je me tendit encore plusieurs fois afin de profiter de chaque volute de contentement. Enfin, en un dernier coup de reins violent, je propulsai mon chibre au plus profond de ses entrailles, lui comprenant complètement le fessier contre mon pubis en sueur.
Je senti Mademoiselle se tendre, et jouir à son tour pendant un long moment de soupirs étouffés, et de bave de bien-être. Désormais enivrée et complètement déconcertée, elle paraissait autant comblée que surprise d’avoir pris autant de plaisir à se faire prendre de la sorte.
En effet, étant habituée depuis longtemps à me donner son cul moins par envie que par soumission studieuse; cette fois-ci, et à sa grande surprise, elle avait ouvertement joui de me l’avoir offert.
Je finis donc de m’affairer plus lentement a remplir copieusement et sans retenue ce petit rectum qui m’avait si agréablement satisfait. Pour notre plus grand plaisir à tous les deux.
La tension redescendit et mes mains se délièrent de ses cheveux. Nous n’avions toujours aucun moyen de nous nettoyer pour garder la face. Encore moins de traverser la maisonnée discrètement pour aller nous doucher sans se faire prendre. Je pris donc le plus grand soin à laisser chaque goutte de mon foutre couler bien au fond de Mademoiselle avant de glisser délicatement ma queue, agréablement salie et odorante, hors de son petit trou, légèrement plus béant et endolori qu’à l’accoutumée.
Tous deux haletants et en sueur, nous nous détachâmes lentement.
Elle remonta sa culotte et s’allongea sur le ventre en me souriant. Elle releva alors sa croupe pleine vers le ciel en la secouant de petits mouvements façon twerk. Mademoiselle me lança un regard espiègle en disant : “j’espère que tu as bien tout joui dans mon cul. J’ai adoré qu’on jouisse ensemble!” …
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Je me souviens de la première fois où j’ai passé la bride au cou d’une Femme. J’étais, je le reconnais, plus jeune, moins expérimenté et surtout beaucoup moins confiant. Cependant j’avais apporté un soin particulier au choix de l’article. Une bride en cuir épais, de qualité, comme celle qu’on monte sur les gros chiens, avec un anneau large ou passer plusieurs doigts etait possible. J’y avait adjoint une laisse optionnelle en acier lourd, à gros maillon, mais courte pour rester agile dans le maniement. Un très bel ensemble assorti d’une sangle en cuir ferme du même tenant permettant une prise ferme et sans défaut.
Celle-ci m’a depuis apporté beaucoup de plaisir. Autant dans l’apprentissage de l’art de son maniement que dans la variété des pratiques que celle-ci nous aura permis avec ces Dames.
A mon sens, une bride doit être entièrement assumée. Sans aucun détours ni ambiguïté. C’est un symbole et celui-ci doit être puissant et sans équivoque s’il veut inspirer une emprise rassurante. Toute dissimulation, hésitation ou atermoient créera un climat de suspicion prompt à rompre l’harmonie Maître / Soumise.
En effet, Mesdames, j’entends tout à fait votre volonté de ne pas vous laisser contraindre de la sorte par quiconque sans avoir atteint un certain seuil de confiance. Autant dans la personne elle-même que dans sa maîtrise de l’objet. Mais je fais confiance à votre jugement et à votre sensibilité pour savoir confondre un Maître malveillant ou malhabile.
Les vilaines laisses toutes fines pour petits lapins roses n’ont pas droit de citer dans mon vocabulaire. Au-delà de leur aspect cheap, de leur inconfort et de leur capacité à tourner ces Dames en ridicule; elles ne reflètent pas le contrôle et l’emprise que celles-ci attendent de l’objet. Et encore moins l’autorité que celui-ci confère à celui qui l’opère.
Une bride respectable doit pouvoir devenir un objet de désir et de convoitise pour ces Dames. Un de ceux qui font mouiller les lèvres et tourner les têtes.
Je reconnais par ailleurs avoir un faible tout particulier pour le harnais en cuir avec mordant. Même si celui-ci est moins versatile dans ses pratiques, il apporte certaines notes de transgression délicieuses qui résonnent en moi.
En effet, beaucoup moins confortable: le maintien du visage se faisant par la contrainte de la mâchoire. Souvent doté de lanières et d’anneaux latéraux (en metal dans mon cas) qui vont également compresser les plus fins minois. Son esthétique singulière confère, par anthropomorphisme, un côté cru et animal à ces Dames. Non pas un animal de compagnie qu’on identifie par un sobriquet et chérit comme son propre enfant; mais bel et bien un animal sauvage et libre dans toute sa splendeur. Et qu’il est, à l’évidence, fort agréable pour nous de dresser.
Ce côté légèrement plus kink de l’objet permettra à une Femme aguerrie une distanciation plus prononcée de sa propre psyché. Aussi, si celle-ci apprécie (car ça n’est évidement pas du goût de toutes), elle en fera un objet de libération fort, et qu’elle pourra même, parfois, de son propre chef, venir proposer à son Maître lorsqu’elle aura envie d’être apprivoisée.
Notez enfin que j’ai une tendresse particulière pour un mords en cuir assorti, permettant à ces Dames de punir à foison l’objet. Tout particulièrement quand encaisser une pratique devient physiquement plus difficile. Et ceci sans jamais abîmer leur précieuse bouche.
Il permet aussi Maître expérimenté de jauger les seuils d’inconfort et de les adapter pour faire durer le plaisir de l’un, comme de l’autre.
A noter que celui-ci autorise même l’emploi d’un safe word rassurant dans les cas extrêmes.
Et, comble de la sophistication, une longe de cuir longue et de bonne facture permettra accessoirement de cravacher cuisses, fesses et seins saillants pour redonner de l’entrain à la promenade, puis de la fougue au galop.
En résume j’invite donc ces Messieurs qui voudraient s’y essayer à choisir savamment une bride adaptée à leur maîtrise de l’objet et, par-dessus tout, j’invite ces Dames à apporter le plus grand soin au choix de ces Messieurs …
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J’aime à penser qu’en chaque Femme se cache une Soumise en devenir.
A l’évidence c’est un biais de ma propre psyché qui voit en chacune une promesse, mais je m’en accommode de bonne grâce. En effet, je reste lucide et conscient qu’il est absurde de projeter ses propres déviances sur autrui mais je n’en suis pas moins heureux de fantasmer sur le potentiel de soumission de ces Dames.
Apres tout, un biais est un biais et il ne tient qu’à moi de continuer à nourrir ce petit espoir coquin. Même si, à l’évidence chaque Femme est un univers singulier.
J’éprouve bien entendu le plus grand respect pour celles qui, tout comme moi, ressentent la nécessité évidente de dominer lorsqu’elles convoitent un Soumis ou une Soumise. Le besoin de contrôle n’étant fort heureusement pas réservé aux seuls Hommes.
Ainsi, me prend-je à rêver qu’avec sincérité, initiative et créativité, nombreuses seraient ces Dames qui nourrissent l’envie secrete de se laisser accompagner dans les délices de la soumission. Ma modeste expérience m’a montré que, bien souvent, au sein d’une relation sincère, un cadre intime protecteur devient pour certaines assez confortable pour laisser éclore cette seconde nature, délicate et insoupçonnée, qui ne les quittera désormais plus.
Les raisons profondes de ces transformations me semblent multiples.
Peut-être, la véritable liberté de s’épanouir sexuellement devient-elle plus aisément tangible lorsque les limites en sont clairement définies.
Peut-être devient-il aussi plus excitant d’en apprécier les contours et de n’exercer son libre arbitre qu’au seul choix de les respecter docilement ou, au contraire, les transgresser avec toupet afin que ceux-ci puissent ensuite être rappelés avec autorité. Tout plutôt que céder au flou des possibles incertains. Préférer à dessein l’emprise et l’obéissance à la paralysie et àl’initiative.
En effet, à mon sens, il est du ressort du Maître de définir et de maintenir ce cadre intime protecteur (tout en sachant savamment faire varier les limites de celui-ci), à mesure que la confiance grandit avec sa Soumise. Celle-ci n’en appréciera que plus ses contraintes qui deviennent un symbole de sécurité et d’appartenance. La qualité de la relation se mesurant véritablement à la confiance de l’un envers l’autre, et non aux dérives de chacun.
De plus l’abandon de son propre libre arbitre à autrui permet également de se dédouaner du jugement moral qu’on pourrait porter sur nos actes les plus déviants.
Ainsi, dans une relation incertaine, lorsqu’un acte est accepté à contre-coeur sur l’instant, il en deviendra une source de culpabilité; car assujetti à un jugement moral dégradant en regard de la qualité de la relation. A plus forte raison, ce même regard que l’on pourra avoir sur soi-même a posteriori s’en voudra d’autant plus sévère et cruel.
Cependant, ce même acte, même imposé ou exécuté avec une violence féroce dans une relation privilégiée, devient, lui, libérateur. L’acte en question aura pu être préalablement convenu (SM), accepté (CNC/FreeUse) ou provoqué (Brat Taming) sans que l’égo de la Soumise n’en soit blessé. Il est tout naturel et assumé pour celle-ci de s’y prêter pour combler son Maitre. Et le déterminisme de ce mécanisme psychologique en devient même rassurant.
Il est à noter que la culpabilité naît de l’intention et non de l’acte lui-même. L’intention étant déléguée a la seule volonté du Maître; la Soumise assumée se dote donc du pouvoir immense d’être libérée de toute culpabilité liée à ses pratiques.
Son esprit étant apaisé et en totale harmonie avec son Maître, Il est donc devenu plus salvateur pour Elle de subir, même dans la douleur physique, une pratique forcée, humiliante ou dégradante de la part de celui-ci que de s’adonner à une pratique à demi-consentie avec quiconque d’autre.
Ce paradigme renforce la complicité, la confiance et la relation fusionelle entre Maître et Soumise. C’est cette même confiance qui permettra à certains, s’ils le désirent, de partage ensuite leurs plaisirs avec d’autres protagonistes. La jalousie n’ayant pas sa place dans la relation naturelle qu’entretiennent Maitre et Soumise. Ce gage de fidélité devient alors possible grace au cadre intime d’une relation sentimentale profonde, saine et sincère.
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Bonjour, je vous remercie pour la demande d'amitié, dont je n'ai pas eu la fin du petit laïus. Je n'accepte pas les demandes d'ami sans savoir auparavant échangé de manière un peu soutenue via le MurG, les articles et autres lieux communs. Au plaisir de vous y croiser.
Je ne sais pas si d’aucun se reconnaîtront dans mon propos mais j’aime admirer ces Dames et je m’incline pour celles d’entre elles qui auront su allier tout autant l’élégance et le goût que la provocation que la malice dans leur apparence.
Helas, je suis très conscient que l’insécurité de nos villes contraigne ces Dames à se faire discrètes. Je suis tout aussi conscient de la souffrance et de la charge mentale que représente la pression constante que nos quotidiens malveillants pour éviter les pièges. Ainsi, j’admire leur courage à savoir défendre leur liberté d’être séduisante tout en restant en sécurité. C’est tout autant une prise de risque mesurée qu’un équilibre délicat qu’il leur faut préserver à chaque instant. Tant par leurs gestes que par leurs attitudes.
Ainsi, et en toute logique, rares sont celles qui ne cèdent pas à la simplicité et au confort des tenues qui les rendent invisibles. Car, à l’évidence, ne pas se faire remarquer dans la jungle urbaine c’est avant tout un enjeu majeur de sécurité. Hélas, pour nous, les dandys modernes, les gentlemen respectueux (le jour en tous cas), les Hommes de vertu (le jour, et encore), cette dérive naturelle vers la banalité de l’apparence est parmi les plus tristes des spectacles.
Aussi, lorsque ces Dames se sentent en sécurité; que cela soit au bras d’un Gentleman protecteur ou au sein d’un groupe d’amis, les trouve-je délicieuses d’oser la provocation et l’audace de tenues savamment choisies pour ravir nos yeux. Comme une expression sensuelle de leur liberté de briller, de séduire et d’être convoitées à dessein.
Je reconnais pour ma part, trouver une Femme d’une beauté “simple en apparence”, mais élégamment habillée d’un charme beaucoup plus intense et envoûtant qu’une Femme à la “plastique parfaite” habillée sans soin. En effet, lorsque l’une aura eu le courage et la force, chaque jour, de vouloir sublimer les saveurs exquises des imperfections; l’autre aura céder à la facilité d’une beauté imméritée et déliquescente dont l’amer souvenir s’estompera quand celle-ci ne suffira plus à la rendre attirante.
Cela denote également de deux psychés bien distinctes et, même si c’est un lieu commun fort usité; à mon sens, trop souvent la richesse intérieure et l’attirance qu’on peut ressentir pour une Femme ne peut être résumée à la seule arrogance de physique. Mais tout cela n’engage bien évidement que moi …
Ainsi, outre mes propres penchants prononcés pour les codes vestimentaires de l’univers BDSM, j’apprécie tout particulièrement l’effort, le sens de l’esthétisme et la détermination nécessaires à la sublimation de son propre corps dont une Femme parfaitement apprêtée saura faire montre. A l’instar de l’artiste, celle-ci aura pris le soin de mûrement réfléchir chaque détail, de parfaire chaque technique, de mettre en application sa magie de l’apparat afin de faire de son image un chef d’œuvre.
Pour son plaisir et le nôtre Messieurs.
Et c’est cette démarche intellectuelle, artistique et sensuelle à la fois qui va susciter en moi l’attirance et l’emoi au quotidien. Car je fais aisément la différence entre la Superficielle qui aura cédé aux codes futiles et insipides de la mode passagère et l’Elegante qui saura chaque jour se réinventer dans une image toujours plus exquise et raffinée.
Pour ma part, je prend plaisir à offrir à ces Dames des tenues élégantes et de qualité dans lesquelles elles peuvent se sentir imbues du pouvoir que leur confère leur féminité. Des tenues qu’elles peuvent sublimer de leurs charmes et de leurs démarches félines. J’aime qu’elles se sentent belles et puissantes.
Vos imperfections sont à mes yeux vos forces et vous voir les mettre en valeur, un gage rare de finesse, de volonté et de liberté.
Lorsque d’aucuns vous jugeront sachez, à votre tour les toiser du haut de vos atouts. Faites de vos complexes des charmes et osez montrer a la face du monde votre indépendance d’esprit à travers vos apparats. Chacune d’entre vous mérite de se sentir belle, désirée et fière. Soyez assurées que les vrais Gentlemen sauront, à travers les codes de votre apparence, prendre toute la mesure de votre féminité et reconnaîtront la puissance de celle-ci.
Fier de mes propres kinks et autres déviances perverses, j’aime également que ma Complice sache s’offrir dans le secret de ses dessous à celui qu’elle aura choisi. Adepte du CNC/FreeUse/Taming, je veux avoir la possibilité d’entreprendre en tous lieux et à chaque instant. Ainsi prend-je un malin plaisir à gâter celle-ci de dessous chics, de qualité, mûrement choisis et savamment ouverts qui lui permettent à d’être à ma disposition, même en public, tout en conservant, en apparence en tous cas, sa vertu et sa bienséance.
Il n’est pas plus délicieux à mes yeux que de profiter, à ma guise et en secret, d’un objet de convoitise aussi attirant qu’une Femme qui assume son corps, le sublime avec soin et provoque l’envie chez les autres.
Ainsi, Mesdames, je vous exhorte à résister, dans les limites de votre sécurité s’entend, aux promesses du faux naturel et du confort et de vous faire belles chaque jour. Pour vous sentir puissantes, attirantes, désirées. Pour vous libérer des jugements mesquins. Pour votre plus grand plaisir et le notre également ...
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La femme que je suis te remercie, sincèrement, et du fond du coeur... et fait partie de celles qui assument comme elles peuvent dans la rue
... mais il me semble constater que plus on prend de l'âge moins on est emmerdées dans la rue. Des amies d'une vingtaine d'année me contaient des comportements que je ne vis plus voire d'autres que je n'ai même jamais connus à leur âge d'ailleurs : d'ailleurs, d'autres amies d'une soixantaine d'années me disaient que, dans les années 1980, le harcèlement de rue n'était pas aussi prononcé... puissions-nous ne pas glisser dans un monde de violence inter-sexe. Puisse la révolution ne pas entraîner de contre-révolution mais malheureusement je le crains.

Je rajoute que, samedi, je vais participer à la soirée ForensicsParis (machine du Moulin Rouge) ambiance Techno Berlinoise.
Ceux qui auront la curiosité d'aller lire sur instagram la politique de cette soirée constateront qu'il y a une volonté de fournir un espace sécurisé aux femmes - habillées ou plutôt déshabillées lol - (et autres "minorités"...j'ai d'ailleurs découvert la notion de "Finta"1f609.png, démontrant a minima que notre société est encore synonyme d'insécurité pour certains d'entre nous ; et encore, on parle de minorité mais les femmes sont une majorité statistiquement.
Bref, triste constat mais super soirée en perspective, qui sera certainement un bel exemple qu'être dénudé ou sexy n'est pas synonyme d'appel aux viols !
Pardonnez-moi, je digresse ....
pour esclave cultivé cérébral avec potentiel maso à développer, fétichiste cuir latex vinyl.
amateur de "session" s'abstenir .:.
17/05/25
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Madame,
Je le confesse de bonne grâce: j’éprouve une joie sans limites à vous dominer. Non pas pour le mesquin plaisir de m’adonner à la violence gratuite. Ni pour venger une frustration ou soigner un ego malade. Non plus pour me sentir exister lorsque je vous diminue. Non, si je vous veux Soumise et moi Maitre, c’est sans aucune malveillance mais, bien au contraire, parce que c’est un plaisir délicat que nous partageons tous deux.
Je m’épanouis autant dans le contrôle que vous dans l’emprise. J’aime à prendre l’ascendant sur votre chair et votre esprit autant que vous aimez me les confier.C’est un équilibre sain et heureux dont nous jouissons l’un et l’autre.
Et si nos ébats sont d’apparence crus, violents, dégradants, voire abjects dans la forme. Nous les apprécions d’autant plus car ils sont le reflet de qui nous sommes vraiment: épanouis, assumés, chacun à la place qu’il a choisi et qui résonne avec sa propre nature. Aussi, si je vous violente aujourd’hui et que vous y prenez plaisir, c’est parce que c’est notre manière de communier.
Si mon rôle est bel et bien d’être votre Maître, sachez qu’il me ravi et m’honore à la fois. Celui-ci me confère, certes, de multiples privilèges et plaisirs que vous me réservez mais également tout autant de responsabilités. Ainsi, est-il évident pour moi de savoir honorer celles-ci du mieux qu’il m’est possible. Ainsi, parmi celles-ci je me dois tour à tour d’être le gardien de votre sécurité, de votre confiance et de votre plaisir.
Aussi, m’incombe-t-il avant toute chose de vous assurer la sécurité physique et psychologique en toute situation et à tout instant. Et ce, malgré les multiples risques, déviances ou autre chemins sinueux que nos corps perdront ensemble à la recherche de nos vices et de nos extrêmes secrets.
Je me dois ensuite d’être celui qui saura être digne de votre confiance; afin que vous puissiez sereinement explorer et repousser vos propres limites. Sans jamais douter de mes intentions envers vous. Naviguer parmi certains plaisirs singuliers ne peut être entrepris qu’avec un guide dont la bienveillance reste l’assurance du respect mutuel.
Enfin j’ai également le devoir et l’honneur cumulés de vous faire prendre autant de plaisir qu’il vous en sera possible, dans les limites sans cesse repoussées de votre chair et de votre psyché. Je me dois, avec votre concours, d’être un artiste suffisamment talentueux afin de pouvoir faire de notre union un véritable chef-d’œuvre. Un esthète des sens qui saura maîtriser avec tout autant de passion les souffrances et la violence de nos actes que les mécanismes délicats du plaisir qu’ils nous procurent tous deux.
Enfin, sachez Madame, qu’afin de vous mériter pleinement; je dois être celui dont le contrôle, la perversité et la créativité sans limites sauront vous ravir et vous envoûter chaque jour pour. Afin que vous ne puissiez jamais résister à l’envie de m’appartenir …
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"Aussi, m’incombe-t-il avant toute chose de vous assurer la sécurité physique et psychologique en toute situation et à tout instant.....Je me dois ensuite d’être celui qui saura être digne de votre confiance; afin que vous puissiez sereinement explorer et repousser vos propres limites....Enfin j’ai également le devoir et l’honneur cumulés de vous faire prendre autant de plaisir qu’il vous en sera possible, dans les limites sans cesse repoussées de votre chair et de votre psyché..." Sécurité, acceptation en confiance et sensuelles ivresses: les mots clés de ces partages qui nous sont chers...? Une bien belle bannière que tou(te)s Dominant(e)s doit faire sienne...
Bonjour,
Ouch! En effet. Sincèrement désolé. Je prends encore mes marques sur ce site comme vous aurez pu le constater.
Si jamais suite il y'avait lieu de donner, je tacherai de la publier au bon endroit.
Merci.
Soyez la première personne à aimer.
La Poupée (ep.1)
« Nous sommes lovés chez toi, dans l’intimité de ton salon, par un bel après-midi de printemps. Echappant un instant à au monde qui s’affaire autour de nous. Comme il nous est récemment apparu beaucoup trop convenu et routinier de nous terrer sans cesse dans la pénombre. Aussi, aujourd’hui, avons-nous entrepris de livrer cours pleinement à nos petites déviances préférées, sans fard, ni artifices; dans la clarté crue et assumée de la pleine journée.
Nous sommes donc en train de siroter une coupe de champagne paisiblement. Un plaisir qu’il serait devenu dommage de réserver aux seules entrevues nocturnes. Nous nous tenons à distance raisonnable, volontairement. Chacun a une extrémité de ton canapé, pour pouvoir mieux apprécier le spectacle de l’autre. Nous nous regardons avec gourmandise et sans aucune pudeur et nous délectons tous deux ce moment hors du commun.
Nous avons désormais l’oeil qui pétille et le sourire facile. Je vois ton regard félin s’appesantir peu à peu sur cette énorme bosse emprisonnée dans mon pantalon et y deviner l’erection qui me tiraille douloureusement depuis déjà un long moment.
Pour ma part je ne peux m’empecher de remarquer que tu portes un catsuit en voile ravissant dont, j’en suis sûr, une ouverture indécente me permet presque de sentir la moiteur de tes cuisses, ainsi que les odeurs mêlées de ta chatte et de ton cul brûlants; tous pourtant sagement drappés sous une jupe serrée, très classique et presque innocente. Je me réjouis de penser que, sous cette tenue, pourtant insoupçonnable, tu t’offres à dessein. Un haut sobre, un simple corsage blanc aux manches bouffantes, en apparence studieux lui aussi; mais qui laisse poindre par endroits le noir soyeux de ce bas intégral qui te gaine fermement le corps. Je te regarde, comme hypnotisé, savamment croiser et décroiser tes longues jambes dans le bruissement délicat de leur écrin.
Tu es d’une telle élégance! Une parfaite working girl raffinée, hautaine, vicieuse et irascible qu’il me tarde de dresser sèchement. Tu es telle un chef d’œuvre d’un art déviant qui fait ressortir le pire de la nature chez l’Homme. Je ressens des bouffées de chaleur à chaque fois que je pense aux multiples punitions qui t’attendent. Et j’admire avec un sourire carnassier au coin des lèvres ces petits détails résonnent en moi comme des appels au vice. Juchée sur tes talons interminables. De très beaux gants en latex noir, courts, parfaitement entretenus et luisants à souhait au bout de tes doigts fins. Un collier en cuir large âprement serré autour du cou. Une laisse massive dont la chaîne, trop lourde, pend entre très seins pour venir se blottir entre tes cuisses serrées; la bride sagement posée sur ton sexe, perte à être saisie. Un masque intégral noir et huileux, inconfortable et odorant qui t’emprisonne le visage fermement. Je n’ai cure d’apprécier chaque détail de ce splendide objet que tu es sous mon regard, et dont je vais bientôt m’emparer. Je sens monter en moi des pulsions sales et malsaines qui me font tourner la tête. Mon coeur bat fort et je ressens comme une vilaine fièvre tant les idées perverses se bousculent en moi.
Je me délecte de ce spectacle décadent que tu m’offres. De tes yeux brillants et impeccablement maquillés et félins. De tes lèvres pulpeuses qui me parlent et que je vois bouger, m’attirer, me rendre ivre de désir; alors que je ne les écoute déjà plus depuis un bon moment.
C’est ainsi, qu’après avoir enfin avalé cette interminable coupe de champagne, je pose mon verre lentement, me lève et me saisit de la laisse au ras de ton cou pour te sortir du canapé et te guider avec poigne vers ton boudoir. Faussement surprise mais véritablement ravie tu te dresses maladroitement, dans tout l’inconfort de ton corps de poupée en plastique, et te presse désormais pour m’emboîter le pas. Tes talons claquent sur le parquet et tu trottines derrière moi comme une belle petite jument qu’on emmène au manège par la bride ... »
Soyez la première personne à aimer.
Bonsoir la communauté. Merci pour toutes vos réponses. Je ne m’attendais pas vraiment à être lu pour être honnête. Encore moins être compris. Quoiqu’il en soit vos réponses ont toutes été de qualité, enrichissantes et bienveillantes. L’underworld serait-il finalement plus tolérant, plus sain et plus honnête que la complaisance bien-pensante du common world? Assumer pleinement nos natures contre-natures gommerait-il la mesquinerie de l’ego mal placé pour lois ramener à des relations plus saines? …
Je note dans vos commentaires plusieurs axes de réflexion que je vais m’empresser d’explorer:
L’égoïsme sain du Dom.
L’égoïsme de la Soumise.
L’équité de l’échange.
Ce qui est très beau en ça, c’est que malgré l’apparente violence unilatérale de l’acte, le rapport humain, lui, semble beaucoup plus équilibré. J’avais tendance à considérer que l’équilibre s’acquérait à posteriori comme je le fais de chérir plus encore ma Soumise en dehors de l’acte. La où finalement celle-ci retire tout autant de plaisir que moi pendant celui-ci.
Je vais donc devoir expérimenter. Tout ceci me donne également plein de nouvelles idées de cruautés délicieuses …
Merci encore à tous!
Soyez la première personne à aimer.
My 2p. #1 : The fine art of dirty Love
Disclaimer:
Récemment invité à partager avec vous les méandres retorses de ma psyché deviante (et quelque peu malade j’en conviens), j’ose aujourd’hui une première réflexion publique. A l’évidence celle-ci n’engage que ma propre appréciation (savamment biaisée) de l’acte d’Amour. Et, à ce titre, celle-ci n’a donc aucunement vocation à moraliser (je hais par-dessus tout le prosélytisme béat des prophètes du passé). Aussi j’espère que cette réflexion aura pour unique nourriture vos commentaires avisés, si toutefois vous me faites l’honneur d’en laisser un.
Hétérosexuel par essence, ma prose fait plus souvent état d’Homme et de Femme et je m’en excuse. J’invite donc tout ceux qui pourraient s’en ressentir exclus, Messieurs, Mesdames, I.e.lles mais aussi tous ceux qui refusent la categorisation genrée, à transposer celle-ci avec l’être qui vous anime. L’Amour ne connaît heureusement pas les frontières du genre.
Qui suis-je donc? Moi qui ne suis pas coutumier d’en faire état. En toute honnêteté, j’aurais de bonne grâce fait l’impasse sur cet exercice si je n’y avait pas été préalablement invité lors de mon arrivée parmi vous, mais le défi m’excite assez pour que j’accepte tout de même de m’y plier.
Je suis donc un être logique, mais à la fibre artistique. Extrêmement logique mais aussi extrêmement chaotique. Mes moyens d’expression principaux sont donc le verbe, le son et le sexe.
Sapiophile amateur, je pratique peu le premier, mais apprécie particulièrement le sens du mot juste (idoine), le bel Esprit et l’humour. Noir. Cela va sans dire …
Le second est mon violon d’Ingres, depuis toujours, comme une évidence. Pas besoin d’épiloguer.
Le troisième enfin, s’est révélé à moi à l’adolescence lorsque ma première fois m’a demandé de la gifler (puis plus fort encore) pendant l’acte. J’en ai gardé un certain penchant pour la punition. Marqué depuis, mon identité sexuelle s’est peu à peu construite à travers ce nouveau prisme piquant et délicieux. Je suis donc « Capable du meilleur comme du pire, mais pour le pire je suis le meilleur » (F.F.F.). De cette rapide introspection m’est donc venue cette réflexion nouvelle autour de l’Amour et de l’épanouissement des sentiments dans une violence assumée.
Et c’est tout aussi naturellement (et sans grande réflexion j’en conviens) qu’il m’est apparu que le Sexe devait absolument être approché et vécu comme une forme d’Art. Comme une pulsion sacrée. Un épanouissement absolu …
A l’instar des chefs-d’œuvres des arts usuels; dont l’étincelle originelle aura été tour à tour ressentie, réfléchie, travaillée, répétée, tentée, rejetée puis reinventee mille fois dans le secret par son créateur; le Sexe ne pourrait-il pas, lui aussi, prétendre à toute cette tourmente émotionnelle, cette recherche et cette expression brute du Soi inhérente à chaque création?
Pour ma part, j’aime qu’un tableau intime ait été prévu dans ses moindres aspects. J’aime le travail du détail et la maîtrise de chaque émotion. Je n’aime pas ce sexe rapide, bâclé, à peu près, et hygiénique qui soulage les corps sans jamais libérer les esprits.
C’ert pourquoi me fétiches sont aussi prononcés quant aux apparats, au déroulé, à l’atmosphère qu’a l’acte même. Tous, sombres et assumés. Et j’aime également en maîtriser la temporalité. La surprise. Être celui qui décide du moment exact ou l’évasion hors du temps va se produire.
Une pensée en menant à une autre, j’en suis venu aux acteurs et à leurs rôles respectifs. Quelle part laisser aux sentiments quand l’acte, même assumé de part et d’autre, reste violent dans sa nature et dans sa forme? Quelle place laisser aux sentiments, à la tendresse quand le sexe revêt ses formes les plus extrêmes?
En tant que Dom, c’est pour moi le rôle et la lourde responsabilité du Maitre que de savoir guider sa partenaire dans l’exploration de ses limites. Et, même si les codes peuvent sembler abjects lorsqu’il nous sont étrangers, il ne faut jamais céder à la médiocrité, au vulgaire et à la facilité de de l’a peu près.
Une étreinte, même sauvage, est une œuvre artistique, éphémère et souvent égoïstement réservée au cadre de l’intimité. C’est l’expression des pulsions les plus libératrices et intenses que d’assumer sa place sur scène.
Le sexe est Amour, qu’elle qu’en soit sa forme. Il faut savoir lire finement entre lignes pour apprécier la tendresse de certaines relations bestiales.
Si l’on prend pour exemple le duo classique DomSub. Le maître sur qui repose toute la responsabilité et la confiance du duo, qui dose savamment son propre égoïsme afin de permettre que sa soumise se libérer de ses propres limites en toute sécurité. La soumise, elle, généreuse qui s’offre, abandonne sa sécurité physique, son contrôle émotionnel et encaisse avec envie pour que son Maître puisse libérer tout son égoïsme sans tabous et sans limites. C’est donc un partage heureux et épanoui qui se crée. Basé sur la bienveillance, la confiance mutuelle et l’envie d’aller plus loin à deux …
Pour ma part, j’aime également le crépuscule de l’acte, quand il faut libérer sa Soumise de son emprise pour lui rendre sa condition de Femme. J’aime être reconnaissant de sa générosité, de tout ce qu’elle vient de m’offrir d’Elle et qui nous a libéré tous les deux. Plus l’acte aura été vil, plus je tacherai de la combler et redoubler d’attentions en retour.
On parle souvent de Sexe et peu dAmour lorsqu’on est un Dom. Mais toute relation consentie, si étrange et violente fut-elle, s’apparente à de l’Amour. Car ce dernier est un échange qui n’existe à mon sens qu’au travers des diverses preuves qu’on sait en faire ...
Merci d’avoir lu. Et merci à ceux qui auront laissé un commentaire (même péjoratif!). Votre avis m'intéresse ...
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Bonsoir et merci pour votre message @goodgirlfromheaven,
Je prend bonne note de vos conseils experts pour m’orienter dans cette partie reculée de la jungle humaine et vais tenter de me fondre dans son bestiaire extraordinaire pour y pousser mon propre cri; tel l’animal que je suis.
Merci également pour toute cette chipote que j’accepte non seulement de bonne grâce, mais également avec délectation!
En effet, celle-ci m’aura permis de me poser à nouveau la question de ma véritable identité (au sens littéral s’entend). Et il me serait a tout le moins odieux de cesser de m’interroger sur celle-ci, pour seule raison qu’une réponse unique et évidente ne saurait poindre. Bien au contraire! …Dorénavant je vais donc tacher de parfaire ma prose en ce sens en y semant les graines de cette nouvelle introspection.
En vous remerciant chaleureusement pour cet accueil que vous me faites dans votre univers, dont je découvre les codes avec envie.
Au plaisir,
M.
PS: Heureux d’apprendre qu’il est ici de bon ton de se présenter à autrui sans limite de mots. Moi qui pensai justement qu’en dire trop fut rédhibitoire! Peut-être cela est-il un premier signe que j’aie effectivement ma place parmi vous.
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Présentation
Bonsoir la communauté, je me présente à vous!
Homme de 48 ans, posé, élégant, raffiné et bienveillant le jour. Vil dominateur, autoritaire et exigeant la nuit.
Au quotidien je suis ouvert d’esprit, sociable, plaisant et attentionné. Mais j’aime à ce que mon univers sexuel soit sombre, piquant et assumé.
Je ne suis pas ni sociopathe, ni manipulateur et ne cautionne en aucun cas les relations abusives. Aussi, dans l’intimité, chaque jeu doit-il être clairement consenti ou accepté avec confiance.
Actuellement engagé, je cherche surtout rencontrer et échanger avec la communauté. Des échanges sains et dans jugement autour d’une passion commune et singulière.
Et si le destin décidait d’entremettre une rencontre, ma faveur sentimentale est aux relations durables. Les limites de chacun prenant leur temps être explorées et appréciées!
Ma courtisane idéale est une soumise qui s’assume. Feminine, cérébrale, et sans tabous. Une princesse à chérir sans limites le jour, mais qui retrouve avec délice sa place auprès d’une main ferme et intransigeante la nuit.
Gourmet et gourmand dans tous mes appétits, mes délicatesses sont : discipline, hard sex, CNC, bondage, contraintes, humiliation, brat taming, fetish (anal, toys, fisting, lingerie, latex), pet play, role play et mises en scène.
Au plaisir ...
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